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| My blood know something I don't know | |
| Auteur | Message |
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Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: My blood know something I don't know Lun 9 Juil - 14:03 | |
| ღ My blood know something I don't know ღ Voilà une semaine que Shailene était arrivée dans le présent et elle n’avait toujours pas eu de nouvelles de son futur. Elle était divisée. Devait-elle se rendre au ministère de la magie afin de chercher l’adresse de la elle du futur ? Ou ne rien faire et patienter. La jeune femme grimaça, elle n’avait jamais été patiente, mais elle avait peur de découvrir quelque chose qu’elle ne voulait pas… Elle ferma forts les yeux et se retourna dans son lit. Voilà une heure qu’elle ne cessait de gigoter dans le lit à la recherche d’un sommeil qui ne venait pas. Tellement de questions se bousculaient dans sa tête depuis son arrivée, elle en avait pourtant parlé à Victoire et sur le coup, elle s’était sentie beaucoup mieux ! Mais le lendemain tout était revenu, elle se sentait oppressée et angoissée. Si elle était morte, elle ne tenait pas vraiment à le savoir, mais si elle était toujours en vie avec des enfants et que Thomas faisait toujours parti de sa vie, se serait un très grand bonheur pour elle, mais rien n’était sûr et elle ne voulait pas risquer de souffrir alors qu’elle pouvait l’éviter. Elle se retourna une énième fois dans son lit et soupira fortement. Elle en avait assez de ne pas trouver le sommeil. Elle se leva donc, enfila son peignoir blanc en soie et se posta à la fenêtre. La lune était haute dans le ciel et pleine, Remus Lupin devait se trouver dans la cabane hurlante à cette heure-là… Elle observa le paysage un moment en quête d’une quelconque activité à faire. Elle était à jour dans ses cours, elle n’avait encore aucun devoir à corriger. Que pouvait-elle donc bien faire ? Ses yeux se posèrent soudain sur les serres, une idée germa dans son esprit. Elle allait s’avancer et faire des réserves pour ses cours de potions. Heureuse d’avoir enfin trouvé une solution à son problème. Shailene sorti de sa chambre qui débouchée sur son bureau et sorti dans les couloirs sombres des cachots en peignoir et chemise de nuit. Il était dix heures, les élèves étaient tous déjà couché à cette heure-ci, elle ne croiserait donc personne, sortir dans cette tenue ne posait donc aucun problème. Elle se dirigea d’un pas décidé vers le grand hall et ouvrit la grande porte. L’air frais de la nuit lui caressa le visage et fit voleté ses cheveux. L’air frais de la nuit lui faisait un bien fou, se sentant déjà mieux, elle sortie et se rendit jusqu’à la serre numéro un. Les plantes étaient nombreuses et on voyait clairement que le professeur Chourave en prenait soin. Shailene caressa une feuille du bout des doigts. Elle était consciente que les plantes étaient des êtres vivants, c’était d’ailleurs la raison pour laquelle elle détestait la botanique lorsqu’elle était plus jeune. Faire du mal à des êtres vivants lui brisait le cœur. Elle aperçue un banc à l’autre bout de la serre et s’y posa, les yeux rivés sur la lune. Si elle arrivait à rester jusqu’à minuit, elle pourrait cueillir du sisymbre qui entrait dans la composition du polynectar qu’elle devait apprendre à réaliser aux élèves de septième et huitième année. En attendant, elle pouvait déjà commencer par cueillir de la valériane qui lui permettrait d’apprendre la potion d’amnésie aux premières années et le filtre de MortVivante aux sixièmes années. Elle se releva donc et se mit à la recherche de la fleur blanche. |
| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Lun 9 Juil - 22:05 | |
| -Il faut que j'y aille.
Elliot me retint par la taille, suppliant de ses yeux de ne pas quitter son bureau. C'est a peine que j'entendais les dix coups de l'horloge, marquant la fin de nos rendez-vous galants. Toutes les douceurs avaient un terme, toutes étaient éphémères, et les départs se faisant autant plus difficile. Rester était impossible car les retours discrets aux dortoirs se faisaient dangereux après une certaine heure. L'excuse de prendre des cours supplémentaires d'arithmancie avait trop souvent été utilisée et mes notes trop excellentes trahissaient mon mensonge. J’étais bien trop douée en la matière. Captive des bras d'Elliot que je ne voulais pas quitter, je parvins néanmoins a me convaincre de le repousser gentiment. Nous savions tous deux a quel point il était compliquer de se voir en dehors des cours et nous étions encore plus conscient des sanctions qui pourraient tomber si nous etions découvert. Mais nous n'y pouvions rien, nous avions tous deux voulus jouer trop loin. Et c'est bien connu, une fois qu'on touche a la soie, on ne veut plus de coton. Sachant a quel point les adieux pouvaient être long et péniblement tendre avec Elliot, je l'embrassai une dernière fois avant de disparaitre derrière sa porte avec un sourire. Je quittais toujours nos rendez-vous l'esprit léger. La présence d'Elliot me procurait une sensation sereine, véritable baume apaisant qui effaçait tous mes soucis de mon esprit. Mais a présent, il fallait que je rentre dans la salle commune sans me faire remarquer. Je connaissais un chemin discret par coeur étant donner que je faisais se parcours depuis plusieurs moi déjà. Elliot proposait toujours de me ramener, assurant que si jamais quelqu'un me trouvait il pouvait toujours dire que j’étais sous sa responsabilité et m’éviter des ennuis. C’était trop tirer par les cheveux et j'avais refuser. Combien de fois m'avait-on dit que Poudlard était un des lieux les plus sur du monde? Des dizaines, des cinquantaines de fois, peut-être même plus. Tout le monde me le disais, ma mère, mon pere, mes oncles et tantes. Mais Poudlard pouvait avoir toutes les protections qu'on voulait, il ne pourra jamais me protéger du regard et du jugement des autres. Alors je rentrais dans ma salle commune, seule, amoureuse, heureuse et fatiguée.
Je m’arrêtais dans l’allée extérieur, vers une fenêtre qui s'ouvrait sur le ciel noir. Quelques heures avant minuit et les étoiles brillaient avec une telle force qu'elles éliminaient toute trace d'ombre et de froideur. La lune, pleine, majestueuse et monotone, émettait juste assez de lueur pour faire ressortir les pierres grises du château. Poudlard était si imposant la nuit, une masse sombre qui se détachait sur un décor d'encre. La foret n’était que tenebre et mystère. Seul le lac présentait une source de lumière qui n’était même pas la sienne, volant et réfléchissant les joyaux de cette menteuse de lune. Le silence qui régnait était impressionnant, et je coupai mon souffle, immobilisai mes pied, craignant de perturber ce moment solennel par des bruits parasites.
Captive de se spectacle nocturne, je n'eu plus aucune envie de retourner dans mon dortoir. Le silence apaisé des dormeuses était trop naturel et manquait de cette magie qui rendait le moment symbolique, alors autant rester dehors. Je pouvais facilement passer par le parc sans être vue. Ainsi fut penser, ainsi fut fait, et bientôt je me retrouvais a dévaler le chemin vers le lac, le sourire aux lèvres, les bras ridiculement ouvert comme un enfant imitant les ailes des oiseaux. J'ai toujours aimer les escapades nocturnes, le goût de l'interdit désobéir aux règles du couvre feu. Si j'avais pu, j'aurais plonger dans le lac, malgré toutes les horreur qu'on raconte sur ses habitant. Mais je ne pouvais pas, alors je m'assis, levant les yeux vers la lune, rêvant encore de la soirée que je venais de passer avec Elliot.
Un mouvement dans l’obscurité attira mon attention. C’était une ombre qui bougeait, une silhouette qui se dirigeait furtivement vers les serres. Mon cœur se serra. Même avec la distance et l’obscurité je reconnus la prof de potion, autrement dit, ma propre mère. Elle venait de resurgir du passes il y a quelque semaines, et j'avais insister auprès de ma sœur qu'il ne fallait pas qu'elle sache que nous étions sa fille. Je pensais qu'il serait plus sage de la laisser profiter de sa jeunesse. La question était : avais-je fais le bon choix ? Aurait-elle préférée savoir qu'elle serait mariée a l'homme qu'elle aime, et cet heureux mariage aura pour fruits deux jeunes enfants ? Je ne sais pas. Mais la tentation fut trop grande, et je ne pus m’empêcher de la suivre.
De loin, j'admirais l’élégance de cette femme. J’espérais toujours secrètement d'en avoir hérité, bien que je ressemble peu a ma mère. Elle avait cette classe et ses manières que peut de femme avaient et qui tiraient d'une grande éloquence. Même vêtue d'un sac poubelle elle serait magnifique. Maman était entrée dans les serres. Je ne la suivit pas directement, ne voulais pas risquer de me faire découvrir. Je voyais sa silhouette évoluer a l’intérieur de la maison de verre, s'assoir au fond sur un banc. Elle devait être pensive. Maman a toujours eu des nuits de sommeil profond,et elle etait rarement agitée. Je voulais aller la voir, la prendre dans mes bras, lui dire qu'elle n'avait pas a se soucier de son avenir, qu'elle avait réussis sa vie et que tout allait bien.
Mais bien sur, je ne pouvais rien faire de cela. Cependant, l'envie d'etre près d'une personne aimée fut trop grande, et apres une inspiration profonde, je décidai d'aller la rejoindre.
-Madame ? Murmurais-je après être entrée dans la serre. Je suis désolée de vous déranger...
Seul le ciel savait ce que je faisais. |
| | | Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Mer 11 Juil - 19:43 | |
| Shailene cherchait la fleur blanche avec ferveur. Elle ne connaissait pas les serres de cette époque, alors elle ne doutait pas qu’elle mettrait du temps à trouver où se trouvait ladite plante. Elle fouinait dans tous les recoins lorsque la voix d’une de ses élèves la surpris pendant sa recherche. « Madame ? » La jeune femme se retourna vivement, le cœur battant la chamade. Le silence était installé dans la serre, c’était pourquoi Shailene avait eu tellement peur en entendant quelqu’un. Elle s’était habituée à ce silence. Elle plissa les yeux dans le noir afin de distinguer qui était la jeune fille qui était encore levée à cette heure de la nuit – car elle avait nettement distinguée la voix d’une fille. Cependant, elle ne reconnaît pas ce timbre. Elle fit donc un pas en avant. « Je suis désolée de vous déranger... » Cette fois, Shailene se trouvait assez près pour distinguer les traits de la jeune femme qui étaient illuminés par la pleine lune. Elle hésita un moment, puis, le prénom lui revint en mémoire. Elle ne comprit pas pourquoi il lui avait échappé alors que c’était un prénom qu’elle aimait énormément. « Maria ? » Shailene s’approcha encore jusqu’à se retrouver face à son élève. La brune venait du présent, c’était pourquoi Shailene ne l’avait pas reconnu tout de suite. Elle n’avait pas encore assimilée toutes les nouvelles têtes. « Tu ne me déranges pas du tout, mais que fais-tu ici à cette heure-là ? Si Rusard te trouve, il ne va pas te laisser t’en tirer comme ça. » Sur ces paroles, un souvenir revint en mémoire à Shailene, sa réaction la première fois qu’elle avait vu Maria dans sa classe. Le visage de la jeune femme lui était étrangement familier, mais elle n’arrivait pas à trouver d’où. Elle était magnifique. Si la professeure de potion aurait voulu avoir une fille, elle aurait aimée qu’elle ressemble à Maria. Bon d’accord, Shailene se souvenait brièvement que Maria était nulle en potion. La jeune femme se prit donc à essayer d’imaginer si ses enfants auraient pu être mauvais en potion si elle en avait eu… Cela était possible, le talent dans une matière n’était pas héréditaire, il venait de l’amour qu’on éprouvait pour la matière elle-même. Tout à coup, Shailene se prit à s’inquiéter, si elle-même était là, c’était parce qu’elle n’arrivait pas à dormir à cause de questions qui hantées son cerveau. Etait-ce aussi le cas de Maria ? « Quelque chose ne va pas ? » S’inquiéta-t-elle alors prête à rendre service s’il le fallait. - Spoiler:
désolée c'est court ><
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| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Jeu 12 Juil - 19:44 | |
| Connaissant ma mère, il y avait deux réactions possibles. Soit elle m'hurlait dessus en me faisant la moral sur comment je ne devais pas être debout et encore moins dehors a cette heure-ci. Ou alors, elle m’accueillait, engageant la conversation, son instinct maternelle reprenant le dessus. Au fond, j’étais persuadée que maman savait que ma soeur et moi n’étions pas de simples élèves, et qu'elle avait sentit que quelque chose de plus de passait, que nous avions un lien plus profond. Je n’étais pas sur si je devais me réjouir de cela ou plutôt tirer sur la sonnette d'alarme.
« Maria ? »
Entre mon nom venant d'elle, prononcée avec sa voix, ce petit chant qui sortait de ses lèvres me donnait toujours cette familière impression d’être de retour chez moi, avec ma mère du présent qui me réveillait le matin avec l'odeur des chocolats chaud qu'elle nous préparait. J'ai toujours trouver que ma famille, ma vie frôlait la perfection, et je ne savais toujours pas vraiment quoi penser de cet perturbation temporelle. Je lui souris et m'approchai d'elle, me retenant de lui sauter au coup. Malgré toute la préparation mentale que je m’étais faites depuis son arrivée, je ne parvenait toujours pas a contrôler mes pulsions familiale. La chose devenait encore plus gênant quand, en cours, je l’appelais ''Maman'' au lieu de ''Madame''.
« Tu ne me déranges pas du tout, mais que fais-tu ici à cette heure-là ? Si Rusard te trouve, il ne va pas te laisser t’en tirer comme ça. »
J’accueillais sa remarque par un petit rire. Même si c’était quelqu'un d'autre que Rusard qui me trouvais, je risquais de passer un mauvais quart d'heure. Shailene elle même pouvait décider de me punir d’être hors des dortoirs si tard le soir. J’étais a quelques mètres d'elle maintenant, et haussa les épaules pour montrer que je me moquais bien de me faire attraper. Mon expression d'insouciance laissait deviner que j'avais l'habitude des escapades interdites, comme tous les autres griffondor de mon année. Nous avions le gout de la désobéissance.
« Quelque chose ne va pas ? »
Sa question me prit par surprise. Tout allait bien pour moi, trop bien. Je voulais juste passer du temps avec elle, parce que je savais qu'ELLE n'allait pas bien. Je sentis le rouge me monter aux joues face a cette dame qui semblait vouloir m'aider. A ce moment la, je voulais me confier a elle, même si tout lui allait bien, lui raconter toute ma vie, ma vie que ma mère du présent ne connaitrais jamais. Mais comment je pouvais dire tout ca a quelqu'un qui était supposer être mon professeur de potion, matière que je haïssais? En aucun cas je lui dirais qu'elle était ma mère. Il fallait que je mente. Urgh, je déteste mentir a maman.
« Tout va bien. Je n'avais pas sommeille, et la nuit est jolie. Et vous? » |
| | | Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Dim 15 Juil - 20:30 | |
| C’était certain que Shailene n’était pas trop rassurée à l’idée qu’une élève soit encore dehors à cette heure de la nuit, mais il fallait dire qu’elle ne donnait pas vraiment le bon exemple. Cependant, ce temps-ci n’était pas l’un de ceux dans lesquels Poudlard était le lieu le plus sûr du monde puisque quelques mois auparavant il avait été la cible des mangemorts et de Voldemort, de plus, il restait encore des mangemorts. D’ailleurs, même dans son temps, il n’était pas très sûr, du moins Shailene ne s’y sentait pas en sécurité. En effet, Voldemort y était présent et la première guerre commençait. Elle se dit que cela ne durerait pas si longtemps puisque dans trois ou quatre ans Harry naîtrait et y mettrait fin pendant un temps. Sa vie serait donc paisible pendant quelques temps, même si la guerre reprendrait. Elle détailla la jeune femme en face d’elle. Comment avait-elle vécue cette guerre ? Elle avait l’air de bien aller et cela était un bon présage. Cet évènement aurait pu être très traumatisant pour d’aussi jeunes gens, déjà qu’il pouvait l’être pour les adultes… Le haussement d’épaule par lequel Maria lui répondit l’amusa. Elle n’était pas une gryffondor pour rien, mais Shailene ne prenait pas vraiment cela pour une marque d’irrespect, juste de l’insouciance et une réponse qu’une élève ferait à une autre élève. Une preuve que Maria l’appréciait un tant soit peu. « Tout va bien. Je n'avais pas sommeille, et la nuit est jolie. Et vous? » La jeune professeure sourit et approuva d’un hochement de tête. Elle était rassurée que Maria aille bien, même si elle continuait de s’inquiéter. De toute manière, elle s’inquiétait toujours pour un rien et cela avait empirée depuis qu’elle avait fait le bon dans le temps. La jeune femme leva les yeux vers le ciel pour le regarder. Oui il était magnifique. « Tu as raison, il n’y a pas plus beau qu’une nuit de pleine lune, j’aime me promener la nuit lorsque je n’arrive pas à dormir. » C’était un peu un défaut chez elle, lorsqu’elle était victime d’insomnie, la nuit l’attirée irrémédiablement, c’était comme un appel, comme si elle était la seule à pouvoir apaiser son cœur et ses pensées. « Je fais le plein de provisions pour l’année, ça occupe et comme ça je suis certaine de ne manquer de rien, tout ira dans les réserves. » Elle sourit à la jeune fille, toujours intriguée par ce sentiment qui hantait son cœur, elle avait l’impression de connaître Maria depuis toujours alors que ce n’était pas le temps et elle ressemblait beaucoup à quelqu’un de sa connaissance sans que Shailene ne mette le doigt sur le nom. « Fais tout de même attention, je ne suis pas persuadée que Poudlard soit redevenue complètement sécurisée depuis la guerre qui a eu lieu… » C’était sa façon de montrer que Maria ne devrait pas rester dehors, s’il lui arrivait quelque chose, Shailene s’en voudrait de ne pas avoir été assez stricte. Toutefois, une question hanté sa bouche, elle ne se souvenait plus du nom de Maria et cela lui semblait important que l’adolescente le lui rappelle. « Excuse-moi, j’ai un petit trou de mémoire, tu peux me rappeler ton nom de famille s’il te plait ? » Elle adressa un sourire confiant à la brune, Shailene était loin d’avoir de mauvaises attentions, mais elle se disait qu’en connaissant le nom de famille, peut-être mettrait-elle le doigt sur la personne à laquelle Maria ressemblait temps. |
| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Dim 15 Juil - 23:11 | |
| Je devais être entrain de sourire bêtement face a cette femme qui me parlait de sa voix quasi magique. Je n'arrivais pas vraiment a expliquer pourquoi j’étais tellement émue face a elle. Limite, les cours de potions devenaient soudain plus passionnant. Pour le moment, je l’écoutais me dire qu'elle aimait se promener la nuit, et je dus résister a la tentation de lui dire que je savais tout ça. A la maison, la fenêtre de ma chambre donnait vue sur le petit jardin que nous avions, et souvent, je voyais la silhouette de maman assise sur le banc de pierre, la tète levée vers le ciel. Même a 16 ans j’étais encore capable de m’accouder au rebord de ma fenêtre et l'observer pendant des heures.
Quand elle me répondit qu'elle cherchait a faire le plein en ingrédient pour les cours de potions, je voulu lui proposer de l'aider. A la maison, c’était toujours Lina qui aidait maman au jardin. Elle prenait toujours tellement soin de ses plantes, ses fleures et ses arbustes qui mettaient tant de couleurs au jardin. Maintenant que j'avais enfin l'occasion d’être seule avec ma mère, bien qu'elle ne soit pas actuelle, je pouvais profiter pour etre proche d'elle alors que ce n'etait pas le cas en temps normale. Et je sais que Shailene a toujours hais la botanique, j'etais persuadée qu'elle ne refuserait pas mon aide.
« Je peux aider? »
Puis ma mere continuai par me dire comment le château n’était peut-être pas encore le lieu le plus sur. Honnêtement, même si je le savais, je m'en moquais royalement. Je quittais les bras d'Elliot pour retrouver ma mère, et même si 500 paires de yeux de mangemorts étaient braques sur moi a ce moment, je m'en moquerais. La bataille a Poudlard, j'y était. Je me suis battue, comme les autres, j'ai tuer, j'ai été blessée. J'ai vu Voldemort, j'ai eu peur, il y a eu du sang et de la terreur. Mais maintenant, tout était finis, nous avions gagner, le soleil brille et je n'allais pas laisser le passer me gâcher l'existence. Je fis un sourire a ma professeur pour lui rassurer. Le troisième de la soirée.
« Excuse-moi, j’ai un petit trou de mémoire, tu peux me rappeler ton nom de famille s’il te plait ? »
Mon sang se glaça. Devais-je répondre? Sur le coup, la question paraissait tellement piege. Jones, je portais le même nom que mon père qui était son amant de l’époque. Tant mieux si elle ne se souvenait pas de mon nom, ca lui empêcherait de faire le lien. Mais apres tout, il y avait tellement de Jones ici, non? Ca aurait pu passer inconnu. Ou pas. Peut-être pas quand j’étais certaine que Shailene doutait de quelque chose, que je prenais peur pour rien et que je craignais trop. Et pourtant je ne pouvais pas le lui cacher, ou dévier la conversation. Tôt ou tard elle allait retrouver mon nom. Alors je pris un air vexer, le genre d'expression qu'aurait une élève quand son professeur préférer le néglige.
« Jones. C'est facile a s'en rappeler, tout le monde s'appelle Jones en Angleterre.»
Je ris un peu. Ma petite nuance devait rendre le sous entendu implicite, voir inexistant. Et puis, je devais l'avouer, si Shailene insistait, ou devinait que j’étais sa fille, je n'allais pas le lui cacher plus longtemps. Même pour moi c’était difficile. |
| | | Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Jeu 26 Juil - 20:50 | |
| Shailene s’était toujours sentie très proche de ses élèves, elle les aimait tous comme s’ils étaient ses propres enfants. Ils avaient besoin d’elle ? Elle était là. Elle avait besoin d’aide et un élève lui proposait ? Elle ne refusait pas. Jamais. Elle aimait ce sens du contact qui la rendait proche des gens, elle aimait être entourée, elle ne se voyait certainement pas finir sa vie seule. Cela était impensable à ses yeux, elle avait trop besoin des autres pour cela. De plus, il était ici question de plante et il fallait dire que la professeure de potion n’avait pas une grande infinité avec celles-ci. Elle ne les utilisait que pour faire des potions. Etant jeune, elle avait tout juste la moyenne dans cette matière ce qui lui avait suffi pour se spécialiser vers les potions. Elle avait cependant toujours du mal à différencier les différentes plantes, elle regardait toujours l’image avant de venir chercher ce qu’elle voulait par peur de prendre la mauvaise. « Je peux aider? » Un grand sourire s’étira sur le visage de la jeune femme. Elle replaça une mèche de cheveux rebelle derrière son oreille tout en acquiesçant. « Si tu le souhaites, mais tu ne partiras pas après minuit d’accord ? Je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit par ma faute. Je cherche de la valériane tu sais à quoi ça ressemble ? » Shailene ignorait si Maria était douée en botanique ou non, elle n’avait pas encore étudiée avec approfondissement les dossiers des élèves du présent étant donné que ceux-ci avaient déjà leur propres professeurs de présent. Elle avait donc privilégié ceux du futur à ceux-ci. La réaction que Maria eu alors que Shai lui demanda de lui rappeler son nom, l’étonna. Il y avait d’abord eu un léger silence que la jeune femme n’avait pas compris, puis la brune avait pris un air vexé qui l’avait étonné. Bon d’accord, elle était fautive, mais allait retenir le nom de trois cents élèves… Elle connaissait déjà par cœur ceux du passé, c’était déjà pas mal du fait que cela faisait qu’une semaine qu’elle se trouvait dans ce temps. Elle se préparait à se justifier lorsque Maria répondit à sa question. « Jones. C'est facile a s'en rappeler, tout le monde s'appelle Jones en Angleterre.» Shailene se sentie mal d’avoir oublié le nom de son élève. Maria avait raison, elle aurait dû se rappeler de son nom. « Je suis désolée, j’ai encore un peu de mal avec les noms des nouveaux él… » Shailene s’arrêta net avant la fin de sa phrase. Les paroles de Maria venaient de se frayer un chemin en elle et elle venait de réagir de leurs portées. Elle leva la tête et plongea les yeux dans ceux de l’adolescente. Elle venait enfin de faire le lien. Cette ressemblance qu’elle voyait en la jeune fille qui lui faisait face avec une personne qu’elle, Shailene, connaissait. Elle ressemblait à Thomas… Même yeux, même bouche, même nez et à en croire le peu de caractère dont Shai avait pu avoir un aperçu, elle avait la même mentalité. La professeure ouvrit la bouche, la referma. Elle savait que ce nom était courant en Angleterre, mais la ressemblance était trop frappante pour que Shai fasse un trait dessus. Cette adolescente était-elle la fille de Thomas ? Et de ce fait, peut-être la sienne ? Un frisson parcourut le dos de la jeune femme. Elle ne comprenait pas comment elle avait bien pu oublier le nom de Maria. Maria…c’était le prénom de sa grand-mère aujourd’hui décédée qu’elle avait toujours adorée et qu’elle s’était promise de donner le prénom à sa fille… « Jo…Jones ? » Shailene avait du mal à parler, elle avait la gorge nouée et son cœur battait à cent à l’heure. « J’ai un Jones dans une de mes classes... Thomas, tu n’aurais pas de lien de parenté avec lui par hasard ? » Elle avait essayé d’amener la question avec délicatesse, elle sentait le stress montait à elle, ses mains devenir moite à l’attente de la réponse de la jeune Jones. |
| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Mer 1 Aoû - 0:16 | |
| [Haaaaan mais tu me stresses avec ta reponse, je ne sais pas quoi dire! Desolee si mon poste est un peu decevant.]
Comme je n'arretais pas de le repeter a la plupart de mon entourage quasiment tout le temps, ma vie avait toujours ete quasi parfaites jusqu'a present. Actuellement, j'etais une bonne eleve qui avait fait une bonne annee, j'avais des ambitions, des reves et les moyens de les realises. J'avais suffisement de succes pour ne pas etre classee de ''ringarde'' ou etre hais par tout le monde. J'avais beaucoup d'amis, et meme un amant que je ne laisserais partir pour rien au monde. Le gout de l'interdit rendait notre relation encore plus excitante. Je n'avais pas d'ennemis particuliers, et je n'etais pas ressortie trop endomagee de la bataille contre les Mangemorts l'an dernier. Par dessus tout, j'avais une famille en or.
Jusqu'a ce que cette ''famille en or'' double de participants. Non parce que personnelement, je n'etais pas fan de me promener avec le clone de mes parents d'il y a 20 ans.
La situation dans laquelle je me trouvais a ce moment etait a la fois stressante, angoissante et des plus bisares qu'on puisse trouver. D'abord, je lui avais proposer de trouver des ingredients en potions, ce qui devait etre la chose la plus stupide que je puisse faire. J'etais deja nulle en la matiere, et je n'allais probablement rien pouvoir faire d'autre que de me ridiculier. Et puis, Shailene avait tous les indices et toutes la logiques des choses qui pointaient sur le fait que j'etais sa fille. Mon nom qu'elle adorait, mon nom de famille meme, ma ressemblance avec mon pere, ce ''lien'' invisible mais pourtant present entre nous deux... « Si tu le souhaites, mais tu ne partiras pas après minuit d’accord ? Je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit par ma faute. Je cherche de la valériane tu sais à quoi ça ressemble ? » Je sentis une legere bouffee de bonheur monter en moi quand je realisais que Shailene semblait s'inquietter pour moi. Elle avait toujours ete une bonne mere protectrice, et quand je desirais sortir le soir, elle ne me privait jamais du droit de m'amusait, mais s'inquiettait rapidement lorsque je depassait le couvre feu. Et puis, qu'est-ce que je disais. Je n'avais absolument aucune idee a quoi ressemblait une valeriane, bien que le nom me disait quelque chose. Je l'avais deja etudier lors de la preparation de la potion Tue-Loup et celle du Veritaserum. Histoire de ne pas passer pour une grosse inculte qui n'ecoute pas en cours (ce qui n'etait pas le cas), je tentais rapidement de trouver parmis les ingrediens des deux potions, une chose qu'elles avaient en commun. Quelques images de racines et de plantes me vinrent en tete et je tentais ma chance. « C'est cette espece d'ecorce epaisse et epineuse qui devient rouge et qui ne pouce que pres de la racine? » Pas tres convaincante ni academique comme reponse, mais j'avais deja fait l'effort de me souvenir ce qu'etait la valeriane... L'expression qui apparut sur le visage de ma mere m'inquietta. Ses traits etaient tires d'une maniere qui affichait quelque chose qu'on appellait le doute. Mon coeur manqua un battement: elle a du realiser quelque chose. « Jo…Jones ? J’ai un Jones dans une de mes classes... Thomas, tu n’aurais pas de lien de parenté avec lui par hasard ? » Mon premier reflexe fut de me cacher dans l'ombre afin de cacher mon air terrifier. Comme je disais, j'etais incapable de mentir, et je ne pouvais pas non plus tout simplement lui dire que oui, j'etais la fille de ce Thomas, et qu'elle etait ma mere, et que voila. Mais qui sait, peut-etre qu'elle aurait aimer connaitre son futur, savoir qu'elle aura un marriage heureux ? Non. Je devais me taire. Et si je voulais dire quelque chose, alors ce ne serait pas avant en avoir parler a Lina. « Je ne connais pas de Thomas, desolee... » Je fis une pause. Cette reponse ne suffirait simplement pas: elle va me dresser une descirption detailler du ledit Thomas. Alors j'allais lui dire la veritee, sans pour autant la dire en entier. « Mes parents sont Vanessa et Nathan. »Si elle voyait le lien, tant mieux pour elle. Sinon, tant mieux pour moi, je ne tenais pas a ce qu'elle insiste. Vanessa et Nathan etaient le deuxieme nom de mes parents. Voila. Je ne leur avait juste pas dit la veritee. Maintenant, il fallait que je devie la conversation. Je jettais un coup d'oeil a ma montre: il etait onze heure et demi. J'avais juste le temps de l'aider a trouver ce qu'elle cherchait, repondre a quelques question et rentrer au chateau. Je ne pouvais pas faire de revelation se soir.« Et vous, vous avez trouver des liens de parentee avec des gens du presente? » |
| | | Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Lun 13 Aoû - 10:20 | |
| Shailene était loin d’être une jeune femme observatrice, elle était plutôt naïve et pouvait croire tout ce qu’on lui disait si elle était persuadée que la personne était quelqu’un de sincère. C’était le cas avec Maria, elle ne doutait pas un seul instant que la jeune fille était une adolescente honnête. Si bien que Shailene ne percevait pas le moins du monde le stress qui habitait sa fille. Pour elle c’était une élève rien de plus, imaginez si elle devait avoir des soupçons auprès de tous ses élèves. Si elle devait se demander si chacun des élèves du présent à qui elle adressait la parole était son enfant. Elle n’en aurait pas fini. « C'est cette espèce d'écorce épaisse et épineuse qui devient rouge et qui ne pouce que près de la racine? » La jeune femme se concentra sur son élève afin de deviner si elle était sérieuse ou pas, en voyant son air déterminé, elle pris ça pour un oui et ne pu réprimer un rire. Elle n’allait certainement pas reprocher à Maria de ne pas écouter en cours ou autre, elle-même détestant la botanique. Allait chercher le lien, Shailene était professeure de potion, mais ne pouvait pas supporter la botanique. Oui c’était très logique. Elle adressa un clin d’œil à la brune. « Non la valériane est une petite fleur rose ou blanche dont on utilise les brins dans la potion d’amnésie et les racines dans le philtre de mort vivante. » Certes, Shai savait à quoi servait ladite plante, mais avant de regarder dans un livre elle avait un peu de mal à savoir à quoi celle-ci ressemblait. Elle fronça des sourcils en voyant Maria reculer dans l’ombre. Ce comportement était quelque peu suspect, mais elle ne fit aucun commentaire, laissant la jeune femme lui répondre. Shailene avait le cœur qui battait la chamade. S’il s’avérait qu’elle avait raison, elle serait tellement fière de sa fille. Elle était si belle. Elle ne douta pas une seconde que l’adolescente pouvait lui mentir. Elle était certaine qu’elle serait honnête avec elle. « Je ne connais pas de Thomas, désolée... » Cette réponse déçue la jeune femme qui avait eu un relancé d’espoir. Comment aurait-elle pu trouver la fille de Thomas aussi facilement ? Et mieux, comment aurait-elle pu trouver sa propre fille aussi facilement ? Elle avait tout simplement dû rêver. « Mes parents sont Vanessa et Nathan. » Mademoiselle Sawyer tiqua à ses prénoms. Son deuxième prénom était Vanessa et elle savait pertinemment que celui de Thomas était Nathan, mais pourquoi utiliseraient-ils leurs seconds prénoms dans le présent ? C’était insensé. Il ne pouvait s’agir d’eux, cela était impossible. Shailene n’arrivait pas à croire qu’elle pouvait finir avec Thomas. Elle se résigna donc aux mots de Maria. « Je vois, j’ai dû te confondre avec quelqu’un d’autre, je suis désolée. » Shailene s’efforça de cacher la déception qui serrait son cœur. « Et vous, vous avez trouvé des liens de parentés avec des gens du présent ? » La professeure sourit à la brune dans un sourire contrit. Certains professeurs auraient pris cela pour de l’indiscrétion, pour Shailene, c’était juste de la curiosité, ce qui n’était pas méchant. De plus, elle lui avait posé ce genre de question, l’adolescente lui renvoyait juste la pareille. « Non pas encore, tu sais, pour une femme ce n’est pas facile de trouver ses enfants comme ils portent le nom du père. » De plus, elle n’avait pas le courage d’aller faire des recherches au ministère de la magie. Elle avait bien trop peur de ce qu’elle pouvait bien découvrir. |
| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Jeu 6 Sep - 10:51 | |
| « Non la valériane est une petite fleur rose ou blanche dont on utilise les brins dans la potion d’amnésie et les racines dans le philtre de mort vivante. » Et voila, qu'est-ce que je disais. J’étais une catastrophe en potion, et je n’étais pas non plus un as en botanique. J'eu un sourire un peu gênée, puis acquiesça avant de commencer a chercher cette petite fleur qu'on me demandais. Je venais de passer pour une élève pas sérieuse qui n’écoutais pas au cours aux yeux de ma propre mère. Si elle avait été consciente que j’étais sa fille, je me serais surement fait reprendre. Mais bon, je pouvais encore blâmer cela sur l'heure tardive, et encore.. Il faudrait que j'explique pourquoi je me trouvais debout maintenant. Comme quoi, parfois les mères peuvent être mieux en tant que professeur. J'essayais de négliger la mine déçue de la jeune femme quand je lui dit que je n’étais pas celle qu'elle pensait. « Non pas encore, tu sais, pour une femme ce n’est pas facile de trouver ses enfants comme ils portent le nom du père. » Je me souvenais encore parfaitement de ce jour ou Shailene m'avais perdue dans le grand jardin de ma tante avec tous les gnomes. Comme a l’époque je ne devais pas être plus grand que ces petites bêtes, que j’étais vulnérable et incapable de me défendre, ces horribles créature en ont profiter pour me martyriser. Entre leurs petites griffes, leurs mains et leurs dents qui me terrorisaient, je ne pouvais rien faire. Pourtant, il y avait eu plus de peur que de mal. Quand maman m'avait retrouver près d'un de leur trou une demi heure plus tard, j’étais en larme, couverte de légère égratignures, mais sans plus. Depuis, les gnomes sont ma phobie. Et j'en avais voulu pendant une semaine a ma mère pour m'avoir perdu dans le jardin. Mais je me souviens de sa panique, des larmes et de sa joie quand elle m'a retrouver. Tout cela pour dire que je connaissais bien ma mère, et qu'il fallait dire que Shailene n’était pas la femme la plus forte emotionellement. Elle était légèrement naïve sans pour autant être sotte, et souvent, cela faisait son charme, d’après mon père. Je savais ainsi que ma mère n'allait probablement jamais oser aller elle même au ministère faire des recherches sur son futur. Il fallait que je songe a un moyen pour lui mettre la puce a l'oreille ou l'inciter a se renseigner. Elle n'avait pas de quoi avoir peur, son futur (ou présent, en l'occurrence) était parfait, et elle ne pouvait rêver mieux. Souvent, quand nous étions encore enfant avec Lina, elle nous m’était au lit en nous disant qu'elle était la femme la plus heureuse au monde. Mais comment pouvait-elle le savoir? A sa place, j'aurais eu peur aussi. J'aurais réagis de la même manière qu'elle si un jour je me retrouvais dans le futur. Et même, si demain un petit gamin arrive vers moi en me disant que j’étais sa mère, alors je serais prise d'une peur bleu. Mais peut-être qu’après tout, je découvrirais que le père de l'enfant est Elliot? Et que moi aussi, j'aurais un futur heureux, et je marcherais sur les pas de ma mère qui a monter une jolie petite famille qui vit dans le septième ciel? De toute manière, j’étais bien trop curieuse pour pouvoir rester éternellement dans l'ombre de l'ignorance. « Je comprend, mais j'ai entendu dire que le ministère offrait des services permettant de retrouver de la famille. » J’hésitais a poursuivre. Il fallait que je me mette en tête le fait que la femme face a moi n’était pas présente comme mère, mais comme professeur, et les paroles mal placées ou les indiscrétions pouvaient entre mal vue. Mais je voulais qu'elle sache, au fond. Je voulais qu'elle cesse de dire ''je t'ai confondue avec quelqu'un d'autre'', parce que non, elle ne me confond pas, je suis bien la petite fille qu'elle porte dans ses bras dans ses rêves, je suis bien le visage qu'elle s'imagine quand elle pense a son futur enfant. Ma foi, je devais tenter le tout pour le tout. « Je suis certaine que votre présent est parfait. » |
| | | Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Ven 14 Sep - 12:21 | |
| La famille avait toujours été la chose la plus importante aux yeux de Shailene, pourtant s’imaginer en avoir une elle-même lui semblait inconcevable. Comment aurait-elle osait donner naissance à des enfants dans un monde où Voldemort régnait encore ? Elle dévisagea un instant Maria, c’était une magnifique jeune femme qui devait avoir tous les hommes à ses pieds. Comment imaginer qu’il y avait à peine trois mois elle se battait pour préserver Poudlard et sa vie ? Shailene avait un mal fou à se faire à l’idée que ses propres enfants avaient dû se battre pour rester en vie parce qu’elle avait eu la stupidité de vouloir un enfant tout en sachant qu’ils vivraient dans le danger. La jeune femme ferma les yeux durant quelques secondes. Non, elle ne devait pas avoir d’enfant dans ce temps, c’était impossible, trop dangereux, mais dans ce cas elle était certainement trop vieille pour se permettre d’en avoir et donc n’en aurait jamais. Si Thomas et elle étaient ensemble, n’était-il pas malheureux qu’elle ne puisse lui donner d’enfants ? Non ils ne devaient pas être ensemble. Il avait dû se trouver une jolie fille de son âge comme Quinn. Quoi qu’il arrive, Shailene serait toujours persuadé que Thomas et elle n’avaient pas eu d’enfants. Leur relation était interdite, comme l’auraient-ils pu ? « Je comprend, mais j'ai entendu dire que le ministère offrait des services permettant de retrouver de la famille. » Shai hocha lentement la tête. Oui elle était au courant de cette partie là, la directrice le leur avait dit pour qu’ils puissent s’intégrer comme il fallait ou se rassurer quant à leur avenir… Mais Shailene ne s’en sentait pas capable. Elle était terrorisée à l’idée de ce qu’elle découvrirait. Elle s’essuya les mains sur son peignoir, celles-ci étant devenue moites à cause du stress. « J’en suis consciente… Mais que découvrirais-je ? J’ai peur de savoir, je ne veux pas être déçu ou terrorisée par ce que je découvrirais… Si je ne donne plus de cours à Poudlard, c’est certainement pour une raison, mais laquelle ? Pour ce que j’en sais, je suis peut-être morte durant la première ou la seconde guerre… » Shai ne comprenait pas pourquoi tous ces mots sortaient de sa bouche. Elle s’adressait à une élève et pourtant elle avait l’impression de pouvoir tout lui dire, de pouvoir lui faire confiance. C’était une impression stupide, elle ignorait qui était cette jeune fille, mais elle ne pouvait pas se confier à elle ainsi. C’était censé être le contraire. « Je suis certaine que votre présent est parfait. » La jeune professeure sourit à ces mots. C’était tellement gentil de la part de Maria de lui parler ainsi. Cette jeune femme était vraiment adorable. Inconsciemment, Mademoiselle Sawyer approcha sa main de la joue de son élève avec un sourire au coin des lèvres. Elle posa sa main et sentit un petit frisson lui parcourir le dos, comme si ce contact était tout à fait naturel. Elle ôta vivement sa main et retourna s’asseoir sur le banc, abandonnant sa recherche, elle n’avait plus vraiment la tête à cela. « J’espère que tu as raison… Je l’espère de tout mon cœur… » Elle secoua la tête et tapota doucement le banc pour faire signe à Maria de venir s’asseoir auprès d’elle. « Enfin bref, je ne suis pas censée exposer ma vie personnelle à mes élèves. Mais je suis curieuse à propos de votre manière de vivre. Les gens ont dû avoir peur de faire des enfants avec Voldemort qui régnait sur le monde magique, alors comment se fait-il que vous soyez aussi nombreux à Poudlard ? Voldemort forçait les gens à faire des enfants ou… il n’a pas régné autant de temps que je ne le pense ? Tu as grandi en sécurité ? » Shai était vraiment curieuse du comment s’étaient déroulées les vingt dernières années et elle espérait que Maria accepterait de lui donner ces détails qui lui diraient si elle aurait osé avoir des enfants ou non. |
| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Mar 2 Oct - 12:54 | |
| Vas au ministère, maman, VAS au ministère! Toutes tes actions et questions seront justifiées et répondues. je te jure, va au ministère, tu verras que tu es heureuse, que tu auras tout ce que tu avais voulu. Vas y. Dans ma tête, ces mots tournaient en boucle et je devais me retenir très fortement de ne pas les crier. Je continuais de chercher la petite plante qui servirait a la fabrication de Veritaserum. « J’en suis consciente… Mais que découvrirais-je ? J’ai peur de savoir, je ne veux pas être déçu ou terrorisée par ce que je découvrirais… Si je ne donne plus de cours à Poudlard, c’est certainement pour une raison, mais laquelle ? Pour ce que j’en sais, je suis peut-être morte durant la première ou la seconde guerre… » J'aurais du m'en douter. C’était la guerre qui lui posait un problème, et pour la pauvre, fragile petite Shailene, découvrir qu'elle avait une famille et des enfants dans le présent, c’était pour elle avoir mis au monde des personne qui lui sont chère dans un temps de crise. Du moins, c'est ce que la Shailene de 23 ans pensait. C'est Thomas qui me racontait souvent que maman avait attendu relativement longtemps avant d'avoir des enfants, par peur de nous voir ensuite embobines dans des histoires des forces du mal. Il en a fallut pour la convaincre, et finalement, quand elle même a vu que les choses s’étaient calmée, (et il faut dire qu'a son époque, le mage n’était pas encore tout puissant et la perspective de guerre était loin d'etre envisager), a décider qu'il était temps de réaliser son rêve. Et puis ce n’était pas comme si Shailene et Thomas n'avaient pas ete la pour Lina et moi. Ils voulaient me retirer de Poudlard quand les mangemorts avaient pris le dessus, et il a fallut que Lina et moi leur promettions que nous ferrons attention, quitte a obeir docilement comme des chiens a nos ''professeurs''. Pendant la guerre, je m'etais mise du coter de la résistance forte, comme la plupart des élèves de 5eme année et plus, mais je ne m'etais pas retrouver au coeur de la bataille. A vrai dire, même si je crevais d'envie, je devais m'occuper de ''l’arrière'', etre sur que les plus jeunes étaient en securiter, et je servais de ce que les moldus appelaient ''snipers''. Avec d'autres filles qui étaient toutes aussi douees que moi en magie (parce que oui, en dehors de l'arithmancie, mes dons en sortilèges sont remarquables), nous etions postes dans des coins discret, (sous une poutre du toit pour ma part) et couvrions les arrières de ceux qui étaient en contact directe avec l'adversaire. Cependant, quand les choses semblaient prendre une mauvaise tournure, je me suis quand meme retrouver a lancer des "'Stupefix'' et même des Avada Kedavra a des mangemorts.
Bref, tout cela est du passer, une période sombre qui avait durer suffisamment, mais pas indéfiniment longtemps, heureusement. Shailene pouvait se rassurer, ses deux enfants, elle meme, bref, sa famille n'avait pas été trop touchée par cet guerre, et maintenant, la vie est belle et tout va bien. « Vous n’êtes pas morte... » C'est tout ce que je parvins a articuler, et tout ce que je jugeais bon qu'elle sache. Apres, lui dire ou elle était, ce qu'elle faisait, ce que JE faisais, j'attendrais, peut-être que je ne lui dirais même pas. Mais elle avait besoin de savoir que dans le présent elle était vivante, et j’espérais que cet simple information suffirait pour éveiller sa curiosité et l'obliger a faire plus de recherches par elle même. « Enfin bref, je ne suis pas censée exposer ma vie personnelle à mes élèves. Mais je suis curieuse à propos de votre manière de vivre. Les gens ont dû avoir peur de faire des enfants avec Voldemort qui régnait sur le monde magique, alors comment se fait-il que vous soyez aussi nombreux à Poudlard ? Voldemort forçait les gens à faire des enfants ou… il n’a pas régné autant de temps que je ne le pense ? Tu as grandi en sécurité ? » Je cessais mes recherches. J'avais donc visais juste. Maintenant il fallait que je parvienne a résumer tout ce que j'avais penser dans ma tete quelques instants plus tôt. Je connaissais trop bien ma mère, même si nous n’étions pas aussi proche que je l’étais avec mon père. D'un coter, j’espérais que si elle savait que j’étais sa fille, et que je profites de ce fait pour faire en sorte de me rapprocher d'elle dans le passer. De cet manière, peut-être que cela aura un effet quelconque sur le présent et je pourrais avoir ma mère comme confidente intime. « Vous savez, Voldemort n’était pas aussi puissant quand la plupart d'entre nous sommes nés. Ce n’était pas de l'inconscience de la part des parents comme vous poudrez peut-être penser, parce que tout allait bien. J'ai eu une enfance très heureuse, je n'aurais pas pu esperer mieux, vraiment. C’était juste l’année dernière ou les choses ont chauffes, mais personne n'aurait pu le prévoir... » J'adressais un sourire rassurant a mon professeur/mère. Elle avait raison, ce n'etait pas son role de dévoiler sa vie priver a ses élèves, et en même temps, cela m’évitais de me retrouver dans une situation un peu compromettante, avec le dilemme de tout lui avouer et garder cela pour moi. « Il est tard. Je devrais y aller ». En fait, je n'avais pas du tout envie d'y aller. J'aurais pu rester dans cet serre encore des heures, même a rien dire, juste a apprécier silencieusement la compagnie de ma mère. Mais justement, parce qu'elle ne savait pas que c’était le cas, alors la situation devenait un peu plus douloureuse. Je m'approchais d'elle et lui remis les ingrédients qu'elle m'avait demander, la moitie devant surement être mal cueillis. Je pris soin d'effleurer ses doits en posant la plante au creux de sa main, et, en lui souhaitant bonne nuit, espérait le plus fort possible qu'elle me retiennent et que son instinct maternelle reprenne. |
| | | Oh it's "Shailene V. Sawyer"
Parchemins : 403 Date d'inscription : 02/01/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Ven 5 Oct - 14:17 | |
| Oui Shailene était une froussarde et elle l’assumait, elle était une froussarde, une pleurnicheuse et bien d’autres choses. Mais qui n’aurait pas peur de découvrir un avenir lorsque l’on savait pertinemment que le monde était en guerre dans cet avenir ? Ou du moins l’était il y avait encore trois mois. Si son cœur désirait se rendre au ministère pour qu’on l’aide à trouver son elle futur, sa raison était contre. C’était contre nature de connaître son destin, parce que oui, au destin Shai y croyait. Elle y croyait dur comme fer. Pour elle, les seuls couples qui tenaient étaient les âmes sœurs. Thomas était-il la sienne ? Elle en doutait fortement, un élève ne pouvait pas être l’âme sœur de son professeur. C’était une relation vouée à l’échec, une relation interdite. . « Vous n’êtes pas morte... » Shailene dévisagea Maria avec curiosité. Comment la brune pouvait-elle être si sûre d’elle ? La connaissait-elle dans ce temps ? Si oui quel était leur lien ? « Vous savez, Voldemort n’était pas aussi puissant quand la plupart d'entre nous sommes nés. Ce n’était pas de l'inconscience de la part des parents comme vous poudrez peut-être penser, parce que tout allait bien. J'ai eu une enfance très heureuse, je n'aurais pas pu esperer mieux, vraiment. C’était juste l’année dernière ou les choses ont chauffes, mais personne n'aurait pu le prévoir... » Shai hocha la tête et réfléchi à ses mots. Voldemort avait donc perdu du pouvoir au point que les gens avaient eu confiance en un avenir paisible ? Comment avait-il pu revenir ? Tout ce qu’elle savait, c’était que Harry Potter l’avait tué une bonne fois pour toute. Il avait sauvé un futur sombre. Si Maria avait pu être heureuse, alors Shailene avait-elle vraiment pu fonder une famille ? Une note d’espoir apparut dans son cœur et elle entrevit la possibilité de se rendre au ministère de la magie pour découvrir sa vie future. Après tout, si c’était une vie heureuse, que craignait-elle ? De toute manière, elle n’était pas bête, on leur effacerait la mémoire avant de les renvoyer dans leurs temps. Les seuls susceptibles de garder la mémoire étaient ceux du futur puisque cela ne pouvait nuire à personne. Le sourire que lui adressa Maria l’encouragea sur cette voie. Mais les mots que prononça la jeune femme la perturbèrent tant ils étaient inattendus. « Il est tard. Je devrais y aller » Shai ignorait pourquoi, mais elle ne voulait pas que l’adolescente s’en aille, elle voulait la garder auprès d’elle, la protéger. Elle avait l’impression d’être attachée à elle d’une manière si forte et si puissante qu’elles devaient rester ensemble. Elle la couva du regard. Il fallait que Shailene soit responsable, Maria avait raison. Il était tard, elle devait rentrer, si elle croisait un professeur dans les couloirs, elle aurait sans aucun doute une heure de colle voir plus. La jeune femme pris les plantes que lui donna Maria et le frôlement de leurs peaux lui fit ressentir un courant électrique dans tout le corps. Elle leva vivement la tête pour plonger ses yeux dans ceux de Maria. « Tu… tu as raison… Mais je ne peux pas te laisser rentrer seule, je vais t’accompagner. Comme ça, si nous croisons un de mes collègues dans les couloirs je dirais que tu étais avec moi, tu auras moins de problèmes. » Shailene ne savait plus quoi penser, mais elle devait la raccompagner, cette certitude criait en elle. Elle mit les plantes dans un sac qu’elle posa sur ses épaules et adressa un sourire à l’adolescente qui lui avait rendu de l’espoir. « Merci pour ces informations, elles m’ont beaucoup aidé. » |
| | | Oh it's "Maria E. Jones"
Parchemins : 153 Date d'inscription : 28/06/2012
| Sujet: Re: My blood know something I don't know Lun 26 Nov - 12:58 | |
| Franchement, je me demande toujours pourquoi est-ce que je n'étais pas si proche de ma mère. C'est vrai que j'avais plus de points commun avec mon père, et que Lina semblait clairement etre la préférée de maman, cela n'empêchait en rien le fait que je trouve que ma propre mère était une femme absolument génial. C'est pas non plus comme si Shailene et moi c'était la guerre mondiale, mais j'aurais vachement aimer etre plus proche d'elle, pouvoir tout lui raconter, et même avoir des conversations plus.. féminines et intimes? L'exemple tout bête qui me venait en tête, c'est quand j'ai traverser cet désagréable et délicieuse étape de la vie qui s'appelle la puberté. Ce n'était pas vers ma mère que je me suis tournée quand les caprices de mère nature se sont fait voir que je me suis tournée, mais vers la tante de ma voisine qui est une femme absolument charmante et ouverte. Ce n'est que quand maman a remarquer que je devenais comme elle qu'elle a engager la conversation, mais voila. En fait je sais pas, je raconte que des conneries. Je veux ma maman, je veux qu'elle ait bien, je veux que cet maman du passée cesse de stresser et qu'elle voit la vie en rose. De toute manière il n'y avait pas de mal a ça. « Tu… tu as raison… Mais je ne peux pas te laisser rentrer seule, je vais t’accompagner. Comme ça, si nous croisons un de mes collègues dans les couloirs je dirais que tu étais avec moi, tu auras moins de problèmes. »Je souris. C'est claire qu'avoir un renfort adulte, c'est toujours plus pratique que d'affronter les professeurs mains nue sans excuse valable. Non je ne pouvais pas tellement dire que je me promenais seule alors que je n'avais clairement pas le droit, et j'allais encore moins préciser que je venais de flirter avec mon professeur d'arithmancie. Et puis, je ne voulais pas que ma mère ait des soucis a cause de moi, mais en même temps je savais que discuter ne servirait a rien. Alors je lui dit merci et lui assurait que mon aide était volontaire et que ce n'était pas un problème et que étais prête a l'aider n'importe quand. Puis nous sorties des serres après qu'elle ait ranger son sac. Le chemin du retour dura plus longtemps que j'avais espérer. Ou du moins, j'avais l'impression qu'il durait plus longtemps, parce qu'aucune d'entre nous ne parlait. Mon esprit bouillonnais toujours de confessions que je ne devais pas faire, et étais mal a l'aise sur toute la route qui menait jusqu'a la salle commune de Griffondor. Et une fois que nous nous trouvames devant la porte, je pris une inspiration. "Merci de m'avoir accompagnée. J'ai apprécier passer la soirée avec vous''. Je murmurais le mot de passe a la grosse dame endormie, puis, me retournant une dernière fois vers ma mère, lui souhaitais ''Bonne nuit'' et disparu derrière la porte. Cette nuit la, je ne pense pas que je dormirais tranquillement. Demain j'écrirais peut-etre a ma mère actuelle pour lui demander quelques conseil. Est-ce que Shailene du présent devrait-elle savoir que sa sosie était la? Je ne sais pas. TOPIC CLOS POUR MOI |
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