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| « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] | |
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Dim 16 Sep - 17:08 | |
| Pansy attendait avec une impatience enfantine la réponse de Graham. Elle adorait être dans cette position de force, celle qui savait tout sur tout le monde. Ca lui procurait un sentiment réconfortant de pouvoir. Et c’était important pour elle. La brune avait rapidement compris que les commérages de Poudlard serait le moyen de s’imposer et s’était rassurant d’avoir une quelconque influence. Surtout quand ses meilleurs amis et petit-ami étaient des garçons importants de l’école. Draco, Blaise et Théo se faisaient tous respecter d’une façon ou d’une autre et elle n’avait jamais voulu être vue comme la petite Pansy Parkinson sous leur protection. Elle voulait avoir tant de couilles qu’eux et avait vite trouvé comment. N’importe qui à Poudlard craignait ses commérages, elle en savait plus que la majorité des gens et savait comment blesser, comment les atteindre, bien mieux que le poing droit de Goyle. Aussi, savourait-elle toujours ce moment de supériorité face aux autres. « De toute façon, Potter est un tordu. Normal que ça famille le soit un peu aussi. » Une autre raison pour laquelle elle adorait Graham, sa haine pour Potty. Elle eut un rire amusé tout en tournant la tête autour d’elle. La prof de potions était toujours en train de cuver dans son coin et elle était persuadée que ce serait McGonagall qui la réveillerait pour lui annoncer que sa permanence était finie et le repas du soir déjà servi. Elle haussa les épaules amusées avant de reporter son attention sur Graham. « Et sinon Pansy, dis-moi... Tu ne saurais pas, par hasard, si il y aurait certaines...rumeurs par rapport à moi ces derniers temps ? » La brune haussa les épaules en le regardant comme s’il venait d’évoquer un sujet particulièrement ennuyeux. Il n’y avait rien de drôle à évoquer les rumeurs provoquées par Graham Anderson parce qu’elles étaient toujours les mêmes : il avait couché avec un tel, quelqu’un disait qu’il avait couché avec lui – généralement faux – ou encore un prude ou homophobe de service disait qu’il avait eu une liaison particulièrement écœurante avec machin ce qui était aussi faux. Plus que ça, c’était elle qui lançait les rumeurs sur le garçon, les tenant de sa propre bouche. Elle allait lui répondre comme d’habitude, évoquant la dernière en date totalement impensable avec un certain dédain quand elle se stoppa avant même d’avoir ouvert la bouche. Graham lui avait en fait posé la même question que d’autres personnes qu’elle ne tenait pas en estime. Est-ce qu’on dit quelque chose sur moi à traduire par chez un petit secret et j’ai peur qu’il soit découvert. Pansy ne montra rien mais intérieurement elle jubila. Graham ne lui aurait jamais demandé ça s’il n’y avait pas eu autre chose. En plus en retournant la question dans sa tête, elle était formulée bizarrement. Il y avait toujours des rumeurs à propos de lui, là il évoquait « certaines ». Il cachait un truc et Pansy voulait découvrir quoi. Et elle savait très bien exécuter cette extraction. Elle se pencha sur la table dans le ton de la confidence. « Tu te rappelles de Marcus Flint, je ne sais pas si tu l’as croisé, peut-être en première année. Il était capitaine des Serpentards. Pendant sa dernière année, ce cher Flint a filé la syphilis à une de ses conquêtes, maladie sexuelle qu’on trouve rarement chez les sorciers à moins de se taper une moldue. Pour un Serpentard fils à papa et sang-pur coucher avec une moldue c’est pas terrible tu crois pas ? L’affaire a été étouffée et si j’ai rien dit, c’est parce que Draco me l’a demandé. Et je l’ai écouté parce que c’est mon meilleur ami. Même chez moi, loyauté ça veut dire quelque chose. » Elle lui fit un sourire engageant sachant très bien qu’il se demande pourquoi elle lui parle de ce Troll de Flint au lieu de lui. « Oui, il y a une rumeur sur toi. Enfin, il y avait. Quand j’en ai entendu parler, j’ai pas voulu y croire et j’ai menacé la fille qui savait pour qu’elle se taise. J’ai fait mes petites recherches et j’en suis arrivée à la conclusion que c’était vrai. » Elle lui lança un regard un peu vexé avant de reprendre. « Je comprends que ça pourrait nuire à ta réputation mais tu n’étais pas obligée de me le cacher. Comme tu vois je n’ai rien dit. Franchement Graham, je suis une des rares personnes avec qui tu es ami et que tu ne couches pas, je mérite plus de confiance non ? Pour te faire rattraper, donne-moi tous les détails et j’oublierai cet écart de conduite de ta part. » Et voilà comment Pansy Parkinson avait toujours les meilleurs ragots de Poudlard. |
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Lun 17 Sep - 16:20 | |
| « Tu te rappelles de Marcus Flint, je ne sais pas si tu l’as croisé, peut-être en première année. Il était capitaine des Serpentards. Pendant sa dernière année, ce cher Flint a filé la syphilis à une de ses conquêtes, maladie sexuelle qu’on trouve rarement chez les sorciers à moins de se taper une moldue. Pour un Serpentard fils à papa et sang-pur coucher avec une moldue c’est pas terrible tu crois pas ? L’affaire a été étouffée et si j’ai rien dit, c’est parce que Draco me l’a demandé. Et je l’ai écouté parce que c’est mon meilleur ami. Même chez moi, loyauté ça veut dire quelque chose. » La seule pensée qui vint à Graham à ce moment précis fut : Quoi ? Enfin, quelque chose de plus vulgaire qu'il ne dirait jamais en présence d'une fille. Pourquoi diable, Pansy Parkinson était-elle en train de lui parler d'un dénommé Marcus Flint alors que sa seule demande était de savoir si jamais il y avait X rumeurs sur son compte. Coucher avec une moldue ne dérangerait pas plus que cela à Graham. Il n'avait aucunes mauvaises pensées sur eux. Ils étaient inférieurs aux sorciers certes, mais n'étaient pas déplaisant à regarder pour autant. Mais ce Marcus Flint ne faisait vraiment pas attention à lui si il s'était permis d'attraper une maladie moldue. Quel goujat. Alors qu'il se perdait dans ses pensées son attention fut de nouveau captivé par ce que Pansy se mit de nouveau à lui raconter. « Oui, il y a une rumeur sur toi. Enfin, il y avait. Quand j’en ai entendu parler, j’ai pas voulu y croire et j’ai menacé la fille qui savait pour qu’elle se taise. J’ai fait mes petites recherches et j’en suis arrivée à la conclusion que c’était vrai. » Il y avait donc bien une rumeur sur lui. Oui, mais laquelle ? Graham ne sut vraiment quelle réaction adopté si bien que son visage décida pour lui. Il avait complétement écarquillé les yeux comme des soucoupes et sa bouche s'était ouverte formant un O parfait. Pansy avait fait quoi ? Qui était cette fille qui savait quoi ? Il avait besoin de réponse et il en avait besoin tout de suite. Il toussota et reprit convalescence. Cependant, il savait pertinemment que son regard bourré de questions, le trahissait. « Je comprends que ça pourrait nuire à ta réputation mais tu n’étais pas obligée de me le cacher. Comme tu vois je n’ai rien dit. Franchement Graham, je suis une des rares personnes avec qui tu es ami et que tu ne couches pas, je mérite plus de confiance non ? Pour te faire rattraper, donne-moi tous les détails et j’oublierai cet écart de conduite de ta part. » Oui, il était bien clair que Pansy Parkinson était une de ses rares amies fille avec laquelle il ne couchait pas et à qui il avait accordé une certaine confiance. Cependant, il ne comprenait toujours pas son geste, ni en quoi consistait la rumeur ni qui était cette fille dont Pansy parlait. Heureusement que Pansy n'avait rien dit -enfin c'est ce qu'elle disait- mais justement en quoi consistait au juste ce qu'elle n'avait pas dit ? Elle ne pouvait pas être au courant pour Flynn c'était impossible. « Pansy, tu sais que je ne vais pas aller très loin si tu ne me donnes pas un peu plus de détails par rapport à cette rumeur ? » Il attendit quelques secondes afin de récupérer une respiration à peu près normale et reprit. « Je crois que je dois d'abord te remercier pour ne rien avoir dit et pour avoir fait taire cette fille qui prétendait en savoir trop sur ma personne. Mais si tu ne me dis pas de quoi il s'agit, ce n'est plus vraiment un ragot. » Il lui fit un maigre sourire songeant pertinemment que la situation amusait la jeune femme. Graham se souvint alors d'une situation assez délicate au cours de laquelle il avait quelque peu abusé d'une fille de Poufsouffle qu'il avait à moitié drogué en lui faisant boire de l'alcool. Évidemment, lui aussi avait bu, la jeune fille n'était pas inconsciente mais pas au point de pouvoir se défendre. Il savait très bien qu'elle se souvenait de tous les détails et qu'elle le mépriserait à vie. Depuis ce jour, Graham s'en voulait et s'était promis de se faire pardonner un jour auprès de la jeune femme. Il eut une mine assez peiné. Si c'était la jeune fille en question qui racontait cela sur son dos, cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Ce qui été arrivé était arrivé et le mal était déjà fait. Il reprit un peu confiance en lui. « Si c'est de Susan Bones dont il est question, sache que ce qu'elle dit sur mon dos ne m'atteint pas du tout. Il est certes probable que ce qu'elle dit soit vrai mais je m'en fiche royalement. » Puis il songea que ce n'était pas ça du tout la rumeur dont Pansy parlait. Et si il était réellement question de Flynn ? Et si jamais quelqu'un les avaient vu tous les deux et s'était imaginé certaines choses et était parti les raconter à qui bon voulait l'entendre ? Non personne ne pouvait savoir que Graham Anderson, le libertin de service était en train de tomber amoureux d'un autre garçon. « Alors, de quoi s'agit-il ? » |
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Sam 29 Sep - 13:35 | |
| Pansy se retenait difficilement de sourire devant le regard de Graham. Elle avait l’impression que s’il avait pu, il lui aurait arraché toutes les réponses qu’il attendait. C’était bien la première fois qu’elle voyait le Serdaigle paraître si dépendent de quelqu’un – à savoir elle et cela était encore plus grisant – et perdre son sang froid. Ca devait être vraiment énorme et elle avait hâte de savoir de quoi il en retournait. Les idées les plus folles tournaient dans sa tête et elle se demanda si elle arriverait à garder cela pour elle si c’était une rumeur qui propulserait sa côte de popularité à des astres infinis. D’un côté, ce serait faire une croix sur Graham mais peut-être qu’il se contenterait de se vexer et Pansy était généralement assez douée pour arriver à se faire pardonner de ses amis. Elle y arrivait toujours avec Blaise et même Draco. Et Graham Anderson ne serait jamais une aussi grande diva que Draco Malfoy. Oui, il ne pourrait pas s’empêcher de tout révéler si c’était trop énorme. « Pansy, tu sais que je ne vais pas aller très loin si tu ne me donnes pas un peu plus de détails par rapport à cette rumeur ? » Il avait dit ça à une telle vitesse que Pansy eut du mal à saisir tous les mots. La curiosité dévorait la brune. Qu’est-ce qui pouvait être aussi dérangeant pour mettre Graham Anderson dans tous ses états ? Elle plissa légèrement les yeux en espérant qu’il n’avait mis personne en cloque. Ce serait dérangeant pour lui. « Je crois que je dois d'abord te remercier pour ne rien avoir dit et pour avoir fait taire cette fille qui prétendait en savoir trop sur ma personne. Mais si tu ne me dis pas de quoi il s'agit, ce n'est plus vraiment un ragot. » En fait, ça n’en avait jamais été un et ça ne le serait pas tant que Graham aurait vendu la mèche. Pour cela, il fallait qu’il finisse par craquer et tout avouer. Mais Pansy sut à cet instant précis qu’elle devrait le pousser un peu plus pour qu’il lui dise tout. Il n’allait pas balancer son petit secret sans opposer de résistance sinon ça n’avait rien d’intéressant. « Si c'est de Susan Bones dont il est question, sache que ce qu'elle dit sur mon dos ne m'atteint pas du tout. Il est certes probable que ce qu'elle dit soit vrai mais je m'en fiche royalement. » Susan Bones… Oh non pitié. Pansy était déjà au courant, ça ne pouvait pas être ça qui inquiétait Draco. Elle le savait par Ernie MacMillan. Si on demandait à Pansy, non elle n’était ni amie avec Susan Bones ni avec Ernie MacMillan qu’ils soient des sangs-purs ou pas. C’était avant tout des Poufsouffles… Bon peut-être avec Ernie après réflexion. Pour sa défense, elle s’était liée d’amitié avec lui bien avant Poudlard et comment aurait-elle pu deviner qu’il deviendrait un jaune ? Elle l’aurait placé à Serdaigle ce qui n’était pas aussi bien que Serpentard mais fréquentable. Mais voilà Ernie était toujours quelqu’un qui la connaissait depuis longtemps et qui… se fichait des convenances. Pansy n’aurait pas cru dire cela un jour mais des fois ça faisait du bien de ne plus être au dessus de tout le monde. Elle se confiait à Ernie quand ni Draco ni Blaise ou Théo ne pouvaient l’aider. Généralement, c’était justement parce que ça n’allait pas avec Théo. Bref Ernie avait un jour pesté contre le Serdaigle pour ce qu’il avait osé faire à Bones et il avait fallu toute la bonne volonté du monde pour que Pansy l’empêche d’aller régler son compte à Graham. Ernie en passait définitivement trop pour cette Poufsouffle. « Alors, de quoi s'agit-il ? » Pansy fit non de la tête. « Sérieusement Graham ? » Elle lui lança un regard noir faisant comme si elle lui en voulait de quelque chose – et c’était peut-être même le cas – avant de reprendre. « Tu sais très bien que ça n’a aucun rapport avec Bones, c’est une rumeur de second étage que je n’aurais même pas pris le temps d’étouffer. De toute façon, peu importe ce qu’elle dit sur toi, ce n’est pas pire que d’autres. » Et c’était très certainement vrai. « Tu sais de quoi je parle. Tu le sais très bien et il est hors de question que je le dise à haute voix. C’est juste énorme et tu aurais dû me le dire. Je croyais qu’on était amis Graham et là tu fais comme si tu ne voyais pas de quoi je voulais parler. La moindre des choses que tu puisses faire pour que je te pardonne est de me l’avouer correctement avec les détails. Et là j’envisagerai d’oublier que je ne l’ai pas appris de ta bouche. » Elle croisa les bras faisant mine de bouder et attendit en se retenant de taper du pied.
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Désolée du petit retard comme j'ai dit j'étais absente et ta sign (surtout la vidéo) vend du rêve
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Dim 30 Sep - 15:20 | |
| « Sérieusement Graham ? » Le jeune homme ne pu que hausser un sourcil, ne comprenant pas vraiment ce que la jeune femme attendait de lui. « Tu sais très bien que ça n’a aucun rapport avec Bones, c’est une rumeur de second étage que je n’aurais même pas pris le temps d’étouffer. De toute façon, peu importe ce qu’elle dit sur toi, ce n’est pas pire que d’autres. » Il soupira, rassuré. Il n'aimait pas vraiment le sujet de Susan Bones et s'en voulait déjà assez de ce qu'il c'était passé et de ce qu'il lui avait fait. Ensuite, ce que les autres disaient sur lui, le jeune homme s'en foutait royalement car à part ses mésaventures sexuels, ils ne savaient rien du tout mais alors rien sur lui et ne le connaissait même pas, car Graham faisait très attention aux amis qu'il choisissait. « Tu sais de quoi je parle. Tu le sais très bien et il est hors de question que je le dise à haute voix. C’est juste énorme et tu aurais dû me le dire. Je croyais qu’on était amis Graham et là tu fais comme si tu ne voyais pas de quoi je voulais parler. La moindre des choses que tu puisses faire pour que je te pardonne est de me l’avouer correctement avec les détails. Et là j’envisagerai d’oublier que je ne l’ai pas appris de ta bouche. » Eh non, le jeune homme ne savait pas du tout de quoi Pansy voulait parler, il songea même que ce qu'elle savait était peut-être même quelque chose que lui ne savait pas. Pas encore du moins. Il ne faisait pas semblant, il ne voyait pas du tout de quoi la jeune femme voulait parler et tout ce qu'il espérait en ce moment même fut que ce qu'elle avançait n'était pas du tout ce à quoi il pensait. Il n'avait certainement pas l'intention de lui avouer quoique ce soit, se mettant ainsi tout simplement en péril. D'autant plus qu'il ne savait pas exactement, qu'il n'était pas du tout sûr de ce qu'il ressentait pour le jeune homme qui dernièrement hantait très régulièrement ses pensées. Non personne ne devait savoir que Graham s'attachait à quelqu'un et qu'il commençait à ressentir des sentiments. Rien que le simple fait de prononcer dans son esprit ce mot le répugnait et de songer que les sentiments était en relation avec de l'amour, lui donnait des haut-le-cœur. Il n'aimait pas l'amour. Il n'aimait personne. Point barre. Il songea simplement que c'était le plus fréquemment dans des situations les plus compromettantes que les personnes se rendaient parfois compte à quel point elles étaient capables de se mentir à elles-mêmes sans l'aide de personne. Et Graham était tout simplement en train de se mentir à lui-même mais se l'avouer était une toute autre histoire. Il soupira et passa une main dans ses cheveux. Diable, qu'est-ce qui lui avait prit de demander si des rumeurs courraient sur lui, qu'est-ce qu'il en avait à faire après tout ? Certes il voulait vérifier que personne ne savait pour Flynn et lui mais maintenant que la situation était carrément en train de lui échapper des mains, il s'en fichait carrément. Il préférait ne pas connaître la réponse et jouer la carte de l'indifférence, le seul bon moyen pour s'en sortir indemne. Il fixa Pansy durant quelques minutes et jugea son expression. Elle avait croisé ses bras sur sa poitrine et avait adopter pour une expression boudeuse. Et tout cela était du bluff ? Et si enfaite la jeune Serpentard ne savait rien du tout et qu'elle voulait tout simplement que le Serdaigle ne lui révéla tout de son bon vouloir. Il en était hors de question. Graham n'allait certainement pas lui révéler quoique ce soit. Bien qu'il sache pertinemment dans son fort intérieur qu'il y serait d'une certaine manière, obligé. « Pourquoi veux-tu que je te le dise de vive voix si jamais tu es courant de la chose ? Pour que je te la confirme, n'est-ce pas ? Avec des détails en plus, hein... » Il respira un bon coup sentant qu'il n'allait plus tarder à exploser. Le suspens le mettait hors de lui. « Et bien saches que cette chose énorme que j'aurais du te dire, je ne sais pas ce que c'est ! Si seulement tu voulais bien me donner un indice sur ce de quoi il s'agit, je serais ravis de répondre à toutes tes questions ! » Dans l'état d’esprit dans lequel il se trouvait le cynisme ne marchait pas du tout. Cependant, pendant que son cerveau réfléchissait à toute allure, il songea que changer de tactique ne serait pas plus mal. Il allait lui avouer un morceau de son secret et attendrait de voir ce que Pansy lui répondrait ou suivant son expression, il pourrait aussi découvrir si c'était bien ce à quoi elle faisait référence ou au contraire qu'elle ne le savait pas du tout. « Mais tu as raison. Et il y a bien quelque chose qui me pèse sur la conscience. » Il se rapprocha un peu de la jeune femme et prit une mine peiné. « Tu sais que je suis très libertin, n'est-ce pas que tu le sais ? Et bien que je ne connaisse rien à l'amour, celui-ci est bien décidé à me donner une fâcheuse leçon...» Il observa ses traits guettant la moindre réaction tout en la laissant méditer sur ses paroles.
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T'inquiètes point pour les retards Merci ! Quand Mark Salling nous sort "Chris Square!" Il me tue et quand Darren lui sort "It could happen", je meurs MDR Mais Mark est vachement remonté dans mon estime quand il réplique "It Should" *_* Okéee je sors xD
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Dim 30 Sep - 17:42 | |
| Pansy en était presque arrivée à taper du pied en attendant que Graham finisse par lâcher le morceau et commençant même à être irritée du fait qu’il ne le fasse pas. Parce que sérieusement, il avait un secret énorme qu’il ne lui avait pas dit et c’était vexant. Elle était honnêtement sa seule amie féminine avec qui il ne couchait pas. Ce qui en faisait presque sa meilleure amie puisqu’elle était la seule. En toute logique, elle savait que sentimentalement, Graham l’appréciait énormément mais pas au point de lui faire confiance aveuglément et Pansy lui cachait beaucoup de choses surtout en rapport avec Théo. Mais peu importait au fond ! Graham aurait dû lui révéler son secret depuis deux bonnes minutes maintenant et c’était vexant qu’il ne veuille pas se faire pardonner. Il allait bientôt devoir s’y mettre sérieusement, Pansy se sentant de plus en plus d’humeur agacée. « Pourquoi veux-tu que je te le dise de vive voix si jamais tu es courant de la chose ? Pour que je te la confirme, n'est-ce pas ? Avec des détails en plus, hein... » Pour te faire pardonner idiot, pensa-t-elle. Elle allait d’ailleurs lui expliquer cela en plus vulgairement – preuve de sa contrariété – mais Graham la coupa avant même qu’elle puisse protester. « Et bien saches que cette chose énorme que j'aurais du te dire, je ne sais pas ce que c'est ! Si seulement tu voulais bien me donner un indice sur ce de quoi il s'agit, je serais ravi de répondre à toutes tes questions ! » Elle roula des yeux et se recula un peu de la table en retenant de ne pas s’affaler un peu. Le problème était que contrairement aux idiots qui venaient lui demander des informations et qu’elle manipulait comme des poupées de chiffons, Graham n’était pas un imbécile fini et n’était pas si impressionnable. Néanmoins, elle était persuadée qu’il savait de quoi elle parlait. Elle visait ce secret qu’il s’était promis de garder pour lui-même évidemment comme n’importe qui. Il ne devait pas y en avoir trente-six des promesses ou pire il n’était pas naïf au point de ne pas voir où elle voulait en venir ? Non, il savait mais il était coriace. C’était de toute façon impossible qu’elle en sache hypothétiquement plus sur lui qu’il n’en savait sur sa personne. Il fallait qu’elle lui donne un indice. Elle réfléchit un instant avant de trouver quelque chose de passe-partout qui devrait convenir. Ca ne servait à rien de chercher quelque chose de subtil, elle n’avait aucune idée de quoi ils parlaient mais il fallait que ça paraisse convaincant. Elle allait lui répondre mais Graham se pencha soudain sur la table et elle en fit aussitôt de même sachant que cela signifiait qu’il allait lui avouer un petit secret – le secret ? – qu’elle apprécierait certainement. « Mais tu as raison. Et il y a bien quelque chose qui me pèse sur la conscience. » Eh bien voilà, on y arrivait. Pas besoin d’en faire un dramashow mais après tout Graham était une dramaqueen. « Tu sais que je suis très libertin, n'est-ce pas que tu le sais ? Et bien que je ne connaisse rien à l'amour, celui-ci est bien décidé à me donner une fâcheuse leçon...» Oh. My. Fucking. God. Pansy se retint d’écarquiller les yeux brutalement et d’ouvrir la bouche en enfonçant durement ses ongles dans la paume de sa main. Ne rien montrer. Ne surtout rien montrer de ce qu’elle ressentait. Elle connaissait la leçon. A chaque fois qu’elle portait des talons vertigineux qui lui blessaient les pieds à chaque pas, elle se forçait de faire comme si c’était un exercice ridiculement simple et qu’elle était au dessus des stupides ampoules. Elle donnait l’impression d’être supérieure aux autres filles qui la jalousaient même si elle souffrait comme pas possible. Elle se força donc à ne rien montrer bien que la nouvelle était juste énorme. Graham Anderson venait de lui parler d’amour. Bon il n’avait pas parlé d’amour venant de sa personne mais si ça lui pesait sur la conscience, c’était tout sauf anodin et elle s’imaginait déjà des choses de natures différentes le plus ridicule étant Graham Anderson. Mais d’un côté, ce n’était qu’une question de temps, l’amour était un sentiment humain qui ressemblait souvent à une maladie contagieuse mais dont on ne pouvait échapper. Même elle était amoureuse. Ce n’était pas Graham qui passerait à la trappe. Au final, elle n’avait aucune idée si ce que venait de lui avouer Graham était le fameux secret mais elle s’en foutait royalement. C’était suffisamment croustillant pour qu’il désire tout savoir à propos de cette leçon d’amour. Elle reprit donc sur elle et s’éloigna de Graham. Elle lui commença à tapoter sur la table, faisant rebondir ses ongles parfaitement manucurés. « Alors de un, si je veux que tu me le dises avec des détails c’est justement pour te faire pardonner de ne m’avoir rien dit. De deux, ne prend pas ses airs de dramaqueen, tu n’es pas très discret pour protéger un secret. De trois, je te donne un indice : tu y penses matin, midi et soir et dès que tu as une minute de libre parce que tu n’en reviens pas que ça puisse t’arriver. De quatre et pour finir, tu n’avais pas besoin d’indice puisque tu viens d’évoquer le sujet tout seul comme un grand alors tu me parles de… » Pansy se coupa brutalement. Elle n’avait aucune idée du sexe de cette personne. Garçon ou fille ? Elle aurait pu dire de cette personne mais son hésitation passerait bel et bien pour une hésitation et Graham aurait la puce à l’oreille. Alors garçon ou fille ? Garçon. Un garçon ça n’avait as de règles, c’était moins chiant. Une fille enamourachée se serait fait jeter, un garçon c’était à voir. Elle laissa courir ses yeux sur la salle se demandant qui avait ravi l’attention de Graham et puis lui offrit un autre sourire. « … de cet adonis. Dans tous les détails et je te pardonne de ne pas m’avoir dit que tu voyais quelqu’un. Ou même sortait. Si je n’étais pas intervenue, c’est ce qui courrait sur ton compte maintenant. Tu peux franchement me dire merci. » Elle savait qu’elle jouait gros en commençant à donner des détails inventés. Graham avait tout de même été évasif mais c’était plus fort que Pansy. Elle s’imaginait déjà tout, ce type accro à Graham et lui commençant à céder en niant en même temps ressentir quoique ce soit. C’était tellement cliché et Graham était lui-même un cliché que ça ne pouvait être que ça. Il fallait que ça le soit ou alors elle se serait bien plantée et resterait sur sa faim avec un Graham agacé sur les bras.
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C'est la phrase de Darren qui m'a tuée XD Juste largue ta blondasse de copine et sort avec Chris merde XD
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Lun 1 Oct - 12:41 | |
| « Alors de un, si je veux que tu me le dises avec des détails c’est justement pour te faire pardonner de ne m’avoir rien dit. De deux, ne prend pas ses airs de dramaqueen, tu n’es pas très discret pour protéger un secret. De trois, je te donne un indice : tu y penses matin, midi et soir et dès que tu as une minute de libre parce que tu n’en reviens pas que ça puisse t’arriver. De quatre et pour finir, tu n’avais pas besoin d’indice puisque tu viens d’évoquer le sujet tout seul comme un grand alors tu me parles de… » Se faire pardonner de n'avoir rien dit ? Graham réprima un sourire, il ne lui disait pas tout ce qu'il faisait, tous ceux qu'il voyait et se gardait bien de lui répéter quand il se tapait des Gryffondor pour évité qu'elle ne lui fasse la morale ou qu'elle adopte son expression de dégoût et ce n'était pour autant qu'il avait envie de se faire pardonner. De son pardon, il n'en avait strictement rien à faire. Comme les gens disaient, chacun a son jardin secret. Bon certes, il n'était pas très brillant pour protéger ses propres secrets mais il savait tout garder pour lui à l'inverse de Pansy. Lorsqu'elle prononça la phrase à propos de ses pensées, Graham se retint de justesse d'afficher une mine de surprise sur son visage. Alors, elle savait vraiment de chez vraiment ? Elle ne bluffait pas ? Ou alors si au contraire, elle avait compris que vu qu'il venait de lui parler d'amour elle en avait conclut qu'il était attiré par une personne qui ne faisait que hanter ses pensées toute la sainte journée. Comment savoir sans retomber bien emprisonné dans des filets ? Pansy arrivait généralement à bien cerner les gens et elle n'avait pas eu grand mal à cerner Graham dés le début de leur relation amicale. De ce fait, il venait juste de réaliser qu'elle avait tout compris et qu'il n'allait pas tarder à tout lui révéler. Au final à quoi bon se mentir ? Il avait besoin d'en parler à une personne autre que celui qui hantait ses pensées, il avait besoin de conseils et bien qu'il sache que Parkinson n'était pas la mieux placer pour cela, elle restait quand même son amie. Cependant, le fait de lui révéler lui coûterait quelque chose de bien précieux car il était sûr et certain que la jeune femme irait sans aucun doute le répéter à tout le monde même ceux qui s'en ficherait de l'entendre. La question principale était alors: la croiront-ils ? Graham déglutit difficilement. S'ayé, il avait prit sa décision, il allait lui dire. Lui dire certes mais il se garderait bien quelques détails, comme le prénom de cet être qui commençait à lui devenir malencontreusement si cher ou le sexe de celui-ci. Le jeune Serdaigle étant bisexuel, il pouvait donc faire croire ce qu'il voulait. Hommes ou femmes pour lui ça n'avait pas d'importance, même si finalement son cœur balançait pour un homme, un apollon aphrodisiaque. « … de cet adonis. Dans tous les détails et je te pardonne de ne pas m’avoir dit que tu voyais quelqu’un. Ou même sortait. Si je n’étais pas intervenue, c’est ce qui courrait sur ton compte maintenant. Tu peux franchement me dire merci. » Il ne voyait pas quelqu'un en vérité. Il accordait plus d'importance à une personne qu'il ne se l'aurait jamais cru permis, ni possible. Il continuait à voir tous ses autres coups d'un soir sans remords. Il continuait mais plus comme avant, sa fréquence avait diminuée. Et puis enfaite, qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire les bruits qui courraient sur son compte aujourd'hui. Que les gens le savent en couple ou non, au final, il s'en fichait. Pourquoi pas finalement le croire casé ? Qu'est-ce que sa ferrait aux autres ? Il était pratiquement sûr de ne briser aucun cœur chaleureux après tout, alors bon... Il fixa Pansy, son cerveau bouillonnant à dix mille à l'heure. Il était un des libertins des plus célèbres de Poudlard qui n'aimait pas l'amour. Et ensuite ? Il n'était que le froid et distant Graham Anderson qui était en train de se faire fondre la glace par un autre. Il soupira vaincu et se recula, s'adossa au dossier de sa chaise et en croisant ses jambes. Il posa une main sur son genoux et contempla sa main une fraction de seconde. Cette main qui avait été posée sur le torse de tout nouvel amant. « D'accord, tu gagnes. Je vais te dire exactement de quoi il s'agit. Je me passerais, cependant, de tous commentaires cyniques. » Il planta son regard dans celui de Pansy, la défiant presque. « Tu as tout d'abord raison. Je pense à cette personne constamment ses derniers temps, sans vraiment comprendre pourquoi. Elle n'a pourtant rien de plus que les autres ni physiquement ni...intérieurement. Et pourtant seul Merlin sait que j'accorde une plus grande importance au physique qu'à autre chose d'humain. Finalement pour te dire, que je ne comprends absolument pas ce qui m'arrive et que accessoirement, ça m'agace. Ce n'est certainement pas à toi que je m'adresserais pour parler d'amour et je ne vois pas non plus en quoi, savoir cette... où plutôt ce truc sur moi t'apporte quelque chose. » Il soupira une autre fois, avant de décroiser ses jambes et de croiser ses bras sur sa poitrine. « À part peut-être t'apporter une joie immense de savoir que je suis royalement en train de foncer droit dans un mur. » Pas de nom, pas de sexe. Il venait juste de lui avouer qu'il était en train de tomber amoureux comme un vulgaire débutant. « C'est ce que tu voulais savoir, ou pas du tout ? Puis enfin merci, vu que tu voulais tant que je te le dise. » Un sourire cynique s'afficha alors sur ses lèvres, bien qu'il n'avait aucune raison de sourire après tout. |
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Lun 1 Oct - 15:15 | |
| Pansy attendait avec impatience que Graham lui raconte enfin toute l’histoire et se retenait de jubiler parce que Graham Anderson apprenant enfin que l’amour existait, c’était excellent. C’était l’arroseur arrosé et Pansy adorait toujours fanfaronner : « je te l’avais bien dit. » « D'accord, tu gagnes. Je vais te dire exactement de quoi il s'agit. Je me passerais, cependant, de tous commentaires cyniques. » Elle fit un geste de la main pour dire qu’elle en ferait certainement et que ce n’était pas la peine d’espérer le contraire. Qu’il commence donc à enfin tout lui avouer. Elle se retenait de sourire, impatiente qu’elle était – on aurait dit une enfant pensa-t-elle quelques secondes plus tard en se ressaisissant, elle n’était pas un vulgaire Poufsouffle ! « Tu as tout d'abord raison. Je pense à cette personne constamment ses derniers temps, sans vraiment comprendre pourquoi. Elle n'a pourtant rien de plus que les autres ni physiquement ni...intérieurement. Et pourtant seul Merlin sait que j'accorde une plus grande importance au physique qu'à autre chose d'humain. Finalement pour te dire, que je ne comprends absolument pas ce qui m'arrive et qu’accessoirement, ça m'agace. Ce n'est certainement pas à toi que je m'adresserais pour parler d'amour et je ne vois pas non plus en quoi, savoir cette... où plutôt ce truc sur moi t'apporte quelque chose. » Sa bouche manqua de s’ouvrir en un joli « o » bien dessiné tant elle ne s’attendait pas à ce que Graham soit déjà aussi mordu… Ni à ce qu’il se confie aussi honnêtement. Elle s’attendait à ce qu’il lui donne un nom, qu’il lui explique sordidement qu’il avait couché avec ce type sans doute un peu trop souvent et que ça ne voulait rien dire. Mais aucun nom – et Pansy se promit de travailler sur ça – ni même aucun déni. Graham admettait qu’il parlait d’amour et qu’il était réellement perdu. L’envie de jubiler était passée. Sous ses couches profondes de dédain, de phrases vulgaires, de moqueries en tout genre et de méchanceté, Pansy n’en restait pas moins une personne sensible et romantique à ses heures perdues qui, contrairement à ce que la majorité de Poudlard pensait, était capable de s’attendrir. Et généralement, ce n’était qu’en présence de Draco, Blaise et évidemment Théo mais elle appréciait sincèrement Graham et elle pouvait admettre sans peine que la période qu’il traversait n’était pas facile. Elle avait connu ça avec Draco et elle n’avait pas vraiment envie d’être méchante avec le brun pour qu’ensuite il se referme. L’amour, aux yeux de Pans, était une chose indispensable qui donnait un sens à la vie. Certes, elle adorait critiquer tout le monde et lancer des piques et rumeurs à tout va mais si personne n’était là pour l’apprécier, pour l’aimer, où était le but ? « À part peut-être t'apporter une joie immense de savoir que je suis royalement en train de foncer droit dans un mur. » Et non ça ne lui apporta aucune joie immense, seulement une certaine satisfaction qu’elle lui ferait évidemment connaître. « C'est ce que tu voulais savoir, ou pas du tout ? Puis enfin merci, vu que tu voulais tant que je te le dise. » Elle ne releva pas le cynisme et pensa que oui, c’était définitivement ce qu’elle voulait entendre. « Eh bien j’attends toujours d’autres détails mais oui c’était ça. Et au passage, ça m’apporte deux choses. Un la satisfaction d’avoir cette information et de deux celle de pouvoir dit : je te l’avais dit. » Un instant, Pansy envisagea de lui avouer la vérité sur Théo. Qu’elle ne l’avait jamais trompé et qu’elle en était folle amoureuse, etc. Mais Graham le prendrait certainement mal puisqu’il pensait partager quelque chose avec elle qui était faux. Cela mettrait en péril leur amitié et elle savait que ce n’était pas ce qu’elle avait de mieux à faire. Elle décida donc de ne pas parler de son petit-ami de nouveau. Elle ne pourrait définitivement pas faire croire qu’elle en était amoureuse mais qu’elle le trompait tout de même. C’était peu crédible ou alors cela sous-entendait que Théo était un amant lamentable et ce n’était définitivement pas le cas. « Mais sinon je ne vais pas jubiler ni le répéter si ce que tu penses. Tu te rappelles ? J’ai déjà étouffé cette rumeur, je comprends que tu veuilles garder ta réputation de play-boy. C’est ton droit et en tant qu’amie, garce d’accord mais amie quand même, je respecte ton choix. » Elle lui offrit un sourire sincère, ceux qu’on voyait rarement sur le visage de Pansy Parkinson mais qui lui allaient divinement bien. « Je ne sais pas ce que tu crois mais l’amour, ça ne rend pas plus faible Graham et ça ne vole pas non plus ta liberté. Certes tu dois être fidèle à la même personne mais c’est quelque chose de plutôt génial tu vois ? Parce que tu sais qu’il y aura toujours quelqu’un qui sera là pour toi. Parce que tu peux t’appuyer sur cette personne et ça te rend plus fort. Et ce que tu partages avec elle est en quelque sorte unique, tu ne pourras jamais l’avoir avec une personne et rien que pour ça vaut la peine de connaître l’amour même si tu peux en souffrir. Et oui même si tu n’auras plus qu’un seul cul dans ta vie, ça ne devrait pas te déranger si c’est un cul que tu aimes vraiment. » Pansy savait qu’elle parlait sans doute trop en connaissance de cause et que Graham n’était pas un Serdaigle pour rien et qu’il finirait par avoir la puce à l’oreille mais elle voulait être là en tant que vraie amie et ce qu’une vraie amie aurait fait. |
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| Sujet: Re: « Let's go for a talk between bitches. » [PANSY P.] Dim 14 Oct - 13:58 | |
| « Eh bien j’attends toujours d’autres détails mais oui c’était ça. Et au passage, ça m’apporte deux choses. Un la satisfaction d’avoir cette information et de deux celle de pouvoir dit : je te l’avais dit. » D'autres détails ? Il était hors de question que Graham les lui donne, cela ne regardait que lui. Évidemment, il adorait Pansy et la considérait comme l'une de ses meilleures amies même si il y avait certain traits de son caractère qu'il ne pouvait supporter. Mais c'est comme cela que l'on aime des personnes, songea-t-il, avec leurs défauts et leurs qualités. Évidemment qu'elle le lui avait bien dit et évidemment qu'il était tombé dans le piège comme un pauvre débutant. L'amour n'était qu'un ramassé de conneries pour lui, malheureusement, celui-ci était bien décidé à lui prouver le contraire. Il n'était pas encore prêt à lui parler de Flynn, ni à lui dire qui il était. Son regard moqueur lui suffisait amplement pour l'instant. « Mais sinon je ne vais pas jubiler ni le répéter si ce que tu penses. Tu te rappelles ? J’ai déjà étouffé cette rumeur, je comprends que tu veuilles garder ta réputation de play-boy. C’est ton droit et en tant qu’amie, garce d’accord mais amie quand même, je respecte ton choix. » Heureusement qu'elle avait soit-disant étouffé la rumeur. Maintenant qu'il y réfléchissait bien, il commençait à ne plus vraiment se soucier de sa réputation puisque tout ce qu'il savait était qu'il voulait Flynn. Le plus dur était de se l'avouer. « Je ne sais pas ce que tu crois mais l’amour, ça ne rend pas plus faible Graham et ça ne vole pas non plus ta liberté. Certes tu dois être fidèle à la même personne mais c’est quelque chose de plutôt génial tu vois ? Parce que tu sais qu’il y aura toujours quelqu’un qui sera là pour toi. Parce que tu peux t’appuyer sur cette personne et ça te rend plus fort. Et ce que tu partages avec elle est en quelque sorte unique, tu ne pourras jamais l’avoir avec une personne et rien que pour ça vaut la peine de connaître l’amour même si tu peux en souffrir. Et oui même si tu n’auras plus qu’un seul cul dans ta vie, ça ne devrait pas te déranger si c’est un cul que tu aimes vraiment. » Si il n'aurait pas été aussi sceptique il aurait surement eu la larme à l’œil face à ce petit discours de son amie. Évidemment comme toujours, il savait qu'elle avait raison. Cependant, le fait qu'elle en sache beaucoup sur la fidélité le titilla quelque peu, mais comme il lui avait promis de ne plus aborder le sujet Nott, il ravala aussi sournoisement ses questions. « Je sais que tu as raison, Pansy. La fidélité ne me pose aucun problème, cette personne aime le sexe, ça me suffis amplement.» Il jeta un regard autour d'eux histoire de s'assurait que des oreilles indiscrètes ne surveillaient pas ce qu'ils se disaient. « Je sais pas vraiment et ne saurais dire quand cette connerie qu'on appelle amour m'est tombé dessus. Je m'en serais bien passé vois-tu... Mais en même temps, je suis en train de me dire, que me poser quelques temps ne serait pas de trop et si c'est cette personne que j'ai choisi et bien... » Il soupira, ne sachant plus trop ce qu'il disait. Il se sentait assez déboussoler et perdu maintenant et tout ce dont il avait envie c'était de retrouver Flynn. « Dans tous les cas, merci Pansy. Y'a vraiment que toi pour m'écouter...alors je te dirais quelque chose d'autre. Il s'agit d'un... garçon. Un vrai. Qui ne comprend pas non plus ce qu'il lui arrive, ironie du sort. J'ai adoré cette conversation avec toi et je compte sur toi pour ne pas...trop commenter cette nouvelle a tout le monde. À plus tard. » Il lui fit un clin d’œil et se leva tout en lui souriant. Il se pencha par-dessus la table et lui déposa un baiser sur la joue, avant de lui lancer un dernier coup de tête et de s'éloigner, l’esprit un peu plus léger mais tout aussi préoccuper.
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