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 ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie

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MessageSujet: ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie   ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie Icon_minitimeSam 30 Juin - 9:15

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Julius était accroupi dans la salle de bain, arborant une blancheur assez inquiétante qui aurait presque être pue comparée à celle d’un cadavre. Sa femme avait quitté la chambre conjugale depuis plusieurs minutes. En colère bien évidemment. Même lui s’en voulait. Il n’arrivait pas à croire qu’un truc comme ça puisse lui être arrivé à lui ! C’était la déchéance d’un homme, Julius en avait conscience. Peut-être un peu trop. Parce qu’il était clairement mortifié – la couleur de sa peau en était la preuve – mais il n’était pas sûr de ce qui le lésait le plus. Ne pas avoir pu honorer sa femme comme il le devait selon son devoir conjugal ou alors n’avoir pas pu tout court. Il se redressa lentement et alla se passer de l’eau sur le visage. Bien qu’il se savait légèrement cynique face à la situation, il n’allait pas bien. On ne pouvait pas aller bien quand on avait trente ans, une bonne santé, une libido toujours active mais qu’on n’était incapable d’avoir une érection pour sa femme. Ca ne voulait dire qu’une chose. Il ne désirait plus sa femme. Sur une échelle de un à dix, ça dépassait largement les onze, à quel point son mariage s’érodait comme une montagne, à quel point la vie qu’il avait toujours voulu n’était clairement plus celle qu’il avait aujourd’hui. Sa famille n’était plus qu’une vague illusion qu’il ne pouvait pas toucher du doigt sans la faire s’évaporer au loin. Sa femme lui tapait sur les nerfs, lui attirant migraine sur migraine et visiblement son corps avait associé Laureen à douleur ce qui le rendait incapable d’avoir la moindre excitation parce que s’il en avait une, elle se mettrait à faire du bruit et sa voix lui taperait sur le système. Cercle vicieux qui n’allait pas améliorer son mariage. Julius tenta de penser à Paris. A leur lune de miel dans la capitale de l’amour. Parce que tout le monde avait un Paris dans sa vie. Une ville dans lequel votre amour avait été tellement fort que vous pensiez qu’il durerait pour toujours, que l’inverse ne serait pas possible. Julius avait pensé cela. Il avait aimé Laureen à un point que son cœur aurait pu exploser. Paris c’était le perfectionnement de leur histoire. C’était l’apogée. Paris avait dix ans. Paris était vieux, fatigué, explosé. Paris n’arrivait pas à digérer la voix agaçante de son épouse. Paris était fini. Il ne pouvait pas contenir tous les bagages. Une petite valise à la rigueur. Mais lui et ses émotions ne tenaient pas dans une petite valise. Il se dit qu’il aurait fallu retourner à Paris avec Laureen. Reconstruire la ville entière avec leur amour. Mais là il savait que ce n’était plus possible. Parce qu’il ne comptait pas investir d’argent dans un voyage. Parce que sa liberté était légèrement mise à conditions et que se barrer à Paris n’irait pas dans son sens. Parce que la société avait assassiné Paris avant même qu’il puisse renaître.

« Arthy. » Sa voix était plus un filet d’air que de véritables mots mais il n’était pas au meilleur de sa forme donc on l’excuserait. L’elfe apparut aussitôt, dans son misérable haillon et Julius ne porta même pas sur lui un regard méprisant comme il le faisait d’habitude. Il en venait presque à l’envier parce qu’un elfe n’avait pas vraiment de volonté. Il faisait ce qu’on lui disait et voilà. Et Julius qui avait toujours rêvé d’indépendance aurait juste aimé qu’on lui dise pour une fois quoi faire. Pour qu’il ne plante pas son futur comme il avait appris qu’il le ferait avec… Non, ne surtout pas penser à cela. C’était une hérésie, un mensonge d’une folle. Parce que bébé, gay, lui et le drogué de sa fille, ça ne pouvait pas former une phrase. Il n’y aurait jamais assez de verbes pour accorder sujet et complément et tout le reste si le sens était de dire qu’il allait se faire un mec, l’épouser et le mettre en cloque. Peu importe dans quel ordre. « Je sors, j’ai besoin de prendre l’air. Dis à ma femme de ne pas m’attendre pour manger. » L’elfe s’inclina tellement bas que Julius fut presque sûr que son horrible nez toucha le sol puis disparut dans un pop sonore. Julius sortit de la salle de bain, récupéra sa cape, enfila ses chaussures et sortit le plus vite de son manoir. Petit le manoir, pas l’imposante maison des Malfoy – des paons comment dépenser son argent en choses inutiles – mais manoir tout de même. Si on lui avait dit il y a cinq ans – quand sa fille était rentrée à Poudlard – qu’il regretterait les siestes coquines et autres joyeusetés de ce genre il ne l’aurait pas cru. Mais à en voir la situation, c’était désormais le cas. Dès qu’il fut hors de son domaine, il transplana et atterrit à Pré-Au-Lard. Il faisait plutôt beau aujourd’hui et les gens étaient de sortis. Il fit quelques pas hésitants ne sachant pas trop où aller, il avait juste envie de prendre l’air. Finalement, il décida de se trouver un coin tranquille où il pourrait réfléchir en paix. Ou pour ne pas attirer trop l’attention sur lui. En effet, en restant immobile comme ça au beau milieu d’une rue, on commençait à le remarquer et surtout à la reconnaître. Les Corcoran, anti-moldus, ex-mangemorts innocentés selon beaucoup à tort grâce à des pots de vin – ce n’était pas un mensonge en soi – et on n’aimerait pas voir un homme comme lui trainer près de leurs chers chérubins. Dans le fond, Julius s’en sentait presque blessé. Lui, il n’avait pas rejoint le Seigneur des Ténèbres par pureté du sang, ça ne voulait pas vraiment dire grand-chose pour lui surtout qu’il était de sang-mêlé. Mais c’était pour la haine des moldus. Son père qui l’avait battu étant gosse. Il haïssait son père moldu, les moldus étaient violents, méchants, ils auraient voulu exterminer les sorciers s’ils avaient sur la vérité. C’était la seule raison. Il s’arrêta près de la cabane hurlante, là où personne ne venait jamais. Il se laissa tomber sur un banc décrépi. Il avait besoin de calme, de temps pour se ressaisir. Et bizarrement, comme d’habitude, à sa grande horreur. Ses pensées se dirigèrent vers un certain de Serdaigle. Qui était beaucoup plus proche qu’il ne l’aurait pensé.
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MessageSujet: Re: ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie   ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie Icon_minitimeMer 4 Juil - 21:18

You and me
It's a beautiful lie

Julius & Elijah



C’était une énième sortie à Pré-au-Lard pour Elijah. Après tout, il était en huitième année. Quelle blague cette année supplémentaire. Sous prétexte que les mangemorts avaient pris possession de Poudlard l’année précédente, ils devaient refaire une année. Certes, l’année précédente avait été dure pour la grande majorité des élèves de Poudlard, Elijah compris puisque sa mère était une moldue, mais devoir la recommencer ressemblait plutôt à une punition. Même si le jeune brun avait toujours ce goût amer dans la bouche lorsque quelqu’un prononçait le mot « moldu » à cause de sa mère, il était suffisamment intelligent pour faire la part des choses. Si de nombreux élèves nés-moldus avaient toujours leurs parents, ça ne pouvait signifier qu’une chose, les moldus n’étaient pas tous identiques. De plus, c’était comme partout, les blancs n’étaient pas supérieurs aux noirs, les catholiques n’étaient pas supérieurs aux juifs, les bruns n’étaient pas supérieurs aux blonds. Un peuple n’était pas une entité de personnes exactement pareilles. Il y avait du bon et du mauvais partout et non du blanc d’un côté et du noir de l’autre. De plus, Elijah savait que si les sorciers étaient capables de vouloir réduire à néant les moldus, chose ô combien stupide, les moldus étaient tout aussi capables de l’inverse, alors autant ne pas attirer l’attention sur eux par des guerres fratricides. Ainsi, même si le serdaigle n’était pas spécialement courageux, il y avait une chose qui le hérissait autant que l’ennui, l’injustice. Et l’année précédente n’avait été qu’un ramassis d’injustice. Elijah n’avait pas fait partie de ceux que les élèves avaient appelés l’ « AD ». Une part de lui voulait qu’il en fasse partie puisque malheureusement, dans ce monde, seules les masses faisaient bouger les choses mais son côté solitaire et son désir de garder une certaine distance afin de rester objectif face à tout cela l’en avait empêché. Alors il s’était contenté de lutter seul quand il en avait l’occasion, envoyer bouler un sang-pur qui martyrisait un autre élève par exemple. En plus de cela, être le petit-ami de Snow A. Corcoran lui avait donné une sorte d’immunité du côté des mangemorts même si ça avait un côté complétement contradictoire. Il n’avait par contre pas participé à la bataille finale car Snow l’en avait empêché. Il faut dire qu’il n’avait pas non plus fait de gros efforts pour y aller, loin de lui l’idée de foncer au casse-pipe. Par principe, il y serait allé mais il était alors persuadé que Potter et ses amis allaient perdre donc il n’avait pas insisté.
Alors que le jeune homme marchait dans la rue principale de Pré-au-Lard en laissant glisser son regard sur les différentes devantures, il se remémora ce qu’il était venu faire dans le village. Il avait commencé par dévaliser la librairie du peu de livres qu’il ne connaissait pas encore, et louée soit la magie et ses dix-huit ans, il avait pu réduire le tout pour le mettre dans sa poche. Elijah était d’ailleurs habillé de ses éternelles frippes : un simple T-Shirt blanc qui n’était pas de dernière faîcheur, un jean légèrement trop grand et de ses simples baskets noires. Le tout accompagné d’une grise mais les vêtements importaient peu pour le brun, il savait qu’il avait une belle gueule et du charme et ça suffisait amplement pour pouvoir coucher avec qui il le désirait. Le serdaigle se repassa ensuite le moment où il était entré dans la Tête du Sanglier pour se réapprovisionner. Dernièrement, il en avait manqué et il ne le supportait pas. L’état dans lequel cela le mettait était absolument pathétique et il détestait se sentir paniquer en pensant qu’il n’en avait pas assez.
Désormais, il se cherchait un endroit calme pour entamer l’un des livres qu’il avait acheté. Naturellement, la cabane hurlante s’imposa dans son esprit. Bien qu’il y ait de temps en temps des 3èmes années imbéciles qui découvrent Pré-au-Lard, l’endroit était le plus calme des alentours. Avant même d’atteindre la cabane hurlante, le serdaigle avait déjà sorti l’un de ses livres et commencer à le lire. Il n’aimait pas marcher sans être occupé car ses pensées vagabondaient toujours vers des endroits qu’il n’appréciait guère. C’était d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles il se défonçait souvent. Connaissant le chemin, il lisait en marchant, tout en regardant le sol à ses pieds de temps en temps, pour ne pas trébucher sur une racine ou quelque autre chose. Il se posa alors sur un banc juste à côté de la cabane sans remarquer que quelqu’un s’y trouvait déjà. Sans remarquer non plus que c’était la personne qui hantait une partie de ses pensées depuis qu’ils s’étaient rencontrés : le père de Snow, Julius Corcoran.
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MessageSujet: Re: ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie   ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie Icon_minitimeMer 11 Juil - 17:01

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Inlassablement, quand il était seul avec lui-même, il se mettait penser au petit-ami de sa fille. Oui, il avouait lui-même que présenté ainsi, ça sonnait bizarre et il était le premier à se l’avouer. Mais c’était la première chose qui débarquait dans ses pensées. Il se demandait ce que ça disait sur lui ou sur les sentiments qu’il avait pour ce gamin. Et quand il disait sentiments, il sortait sa baguette pour lancer un endoloris sur la première gamine stupide qui entendait « sentiments » par « amour ». C’était loin d’être le cas. C’était plus une haine assez inquiétante. Il n’avait jamais aimé Elijah. Au premier instant où sa fille avait débarqué avec ce garçon plus que débraillé et lui avait présenté comme son petit-ami avec son air enamouraché l’air de dire c’est l’homme de mon vie, l’homme avait très sérieusement envisagé de lui claquer la porte au nez mais sa fille l’aurait certainement mal pris. La dernière chose qu’il voulait c’était blesser sa fille. C’était tout pour lui même si elle était un peu beaucoup capricieuse. Elle était son bébé qui se calmait dans ses bras quand ça n’allait pas. L’amour qu’il avait pour elle était furieusement énorme. Et en tolérant Elijah, il faisait lui-même souffrir son enfant parce que c’était évident qu’il n’aimait pas sa fille. Julius était quelqu’un de froid qui avait été privé d’amour et qui ne savait pas vraiment s’exprimer sur ses sentiments. C’était souvent maladroit ave sa famille et c’était pourtant les personnes les plus aptes à le comprendre. Mais ça ne voulait pas dire qu’il était aussi froid en apparence qu’il voulait bien le montrer. Cette froidure dépendant de deux choses en réalité. Sa peur de souffrir, de trop s’ouvrir, d’être juste heureux. Et le fait que sa femme soit de sang-pur et qu’il ait dû adopter certaines attitudes pour rejoindre le groupe. Il n’était pas quelqu’un de foncièrement mauvais ni de foncièrement bon. Mais en ce qui concernait sa fille, il aurait tué le premier qui l’aurait fait souffrir. Elijah était en tête de liste. Suivi de lui-même. Au bout de quelques semaines où il avait tenté d’ouvrir les yeux à Snow, il avait fini par réaliser qu’une fois que sa fille se lasserait du Serdaigle ou qu’il lui briserait le cœur en la trompant, il sortirait de sa vie. Néanmoins, Julius n’avait pas envisagé que le brun vienne le draguer lui. Ni même envisager qu’il cède à ses avances. Pourtant c’était ce que sa soi disant fille était venue lui annoncer il y a bientôt trois semaines. Et ça, il refusait d’y croire. Vraiment. Une brune qui venait du futur, qui ressemblait à Elijah, ok. Mais qu’elle dise être sa fille à lui et au Serdaigle. Plutôt mourir. Et puis deux hommes ne pouvaient pas avoir d’enfants ? Julius soupira de frustration. Cette conversation avec lui-même il l’avait eu des milliers de fois et ça finissait toujours au même point. Elle savait qu’il cachait l’argent qu’il gagnait dans son matelas. Un petit trou bien dissimulé. Elle le lui avait dit. Il n’était même pas sûr que sa femme le sache. Si cette Mulan était au courant, c’était qu’elle était très proche de lui. Il ne l’aurait dit à personne d’autre même sous la torture.

Il sentit soudain une présence à côté de lui et alla pour dire à l’inconnu qui s’était assis à côté de lui d’aller voir ailleurs parce qu’il n’était pas d’humeur à supporter quelqu’un. Il tourna la tête sur le côté et manqua de s’étouffer en découvrant celui qui bouleversait toutes ses pensées, ses certitudes et très bientôt sa famille… Elijah se tenait là, à moins de deux mètres de lui et semblait plongé dans sa lecture puisqu’il ne le remarqua même pas. Julius envisagea de partir avant qu’il ne le remarque et lui fasse des avances vulgaires qui le mettraient hors de lui mais une partie de lui voulait rester ici pour voir si Elijah avait plus de réponses que lui. De son côté, il croulait sous les questions et quitte à partager quelque chose avec lui, autant que ce soit des doutes et des questions sans réponse. Là-dessus, il voulait bien tout donner à l’étudiant. Et la différence d’âge aussi… Il n’y avait que lui que ça choquait ou bien… Il observa le brun, comme ça il n’avait pas son visage arrogant qui lui donnait envie de le frapper. Il était vraiment concentré parce qu’il ne semblait pas remarquer le regard insistant de Julius. Il aurait pu être invisible, ça aurait été pareil. Il jeta un coup d’œil au livre et fut étonné, ce n’était pas le genre de lecture qu’il lui aurait attribué… D’un côté, Elijah était un Serdaigle. Il devait bien être intelligent non ? Mais surtout défoncé la moitié des temps. Agacé, il se recala dans le banc et lâcha d’une voix sèche. « Ton manque d’observation pour un Serdaigle laisse à désirer et dangereux. Tu aurais pu t’asseoir à côté d’une créature dangereuse que tu n’aurais rien remarqué. Trop défoncé ou arrogant pour ne pas t’inquiéter de ta sécurité ? »
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MessageSujet: Re: ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie   ELIJAH ☼ you and me, it's a beautiful lie Icon_minitime

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