Regulus Black Ҩ Elizabeth Faucett

« Un pat vers l'obscurité »

Une journée passée à attendre, a regardé l’heure à vouloir une fois de plus passé du temps avec lui. Enfin, là j’étais en cour plus précisément en cour d’histoire de la magie. Il y avait un point positif, c’était que j’adorais cette matière, et encore plus dans cette époque puisque je venais du passé, ce qui était pour le passé, était pour nous le futur donc c’est comme si je savais a peut près ce qui allais se passer. Nous étudions la première guerre mais j’avais une impression étrange qu’ils nous cachaient des choses. Ils ne nous disaient pas qui était mort et pourquoi, juste une vague de chose. Pourtant j’étais sur que beaucoup de gens sont mort a cette époque, peut-être qu’ils ne voulaient pas nous le dire par peur de changer le cour du temps.

Une fois le cour de magie finie je me dirigea vers mon dortoir, dit le mot de passe et rentra pour me changer comme Regulus m’avait dit. Il voulait que je m’habille d’une tenue foncer. Une tenue foncer… Ce n’était pas facile a trouver mais une fois que j’ai eu sous la main un jean noir et un col rouler je les pris, non seulement cette couleur était discrète mais elle portait chaud. Cette fois je pris une veste pour ne pas avoir froid. C’est par ses erreurs que l’on apprend non ? Bien sur que si, et cette fois je ne voulais pas le décevoir. « Dit tu vas où comme ça Liz ? » Zut, pour une fois on m’avait remarqué. C’était une poufsouffle, assez curieuse, beaucoup trop même mais je l’appréciais comme elle était.

« Et bien je vais là où je vais tout les soirs, au lac mais je préfère prévoir des vêtements chauds, hier il faisais un peut froid »

Oh mon dieu qu’est-ce qu’il me prenais ? Moi ? Elizabeth Arélia Faucett j’avais menti ! C’était bien la première fois.
Mais qu’est-ce que j’allais lui dire ? Que j’allais dans la forêt interdite avec Regulus Black ? Elle m’aurait retenue et traiter de folle, elle ne l’aimait pas vraiment, enfin comme pratiquement tout les poufsouffles qui était on peut dire… Maltraiter par les Serpentard, mais bon, moi se n’était pas mon cas et j’étais d’ailleurs souvent avec eux. Même Pansy qui parait si méchante et arrogante, j’avais trouvé un bon fond en elle et elle était sympathique avec moi.

Une fois habiller et sortie du dortoir je me dirigea vers le lac puis ensuite alla devant la forêt attendre Regulus regardant un peut autour de moi, pas trop rassurer. La lune était pleine et le noir dominait a cette heure de la soirée. Espérant qu’il arrive vite, je pris ma baguette afin de faire une toute petite lumière presque invisible mais suffisante pour que je puisse voir dans la nuit sombre et dangereuse, j'étais a la fois impatiente et d'un autre sens je ne savais pas trop dans quoi je me lançais.

J’avais attendu assez longtemps dans le noir sans personne et entendre le bruit de craquement me fit un peut frissonner ne sachant pas ce que ça pouvait être. Un renard ? Sûrement en tout cas, les pats était vraiment discret, doux mais j’avais du mal à les discerner. Quand je senti un souffle près de ma nuque, je me stoppa net. Je m’étais fait repéré ? Mais par quoi ? Il n’y avait pourtant rien ici, juste des chouettes, des hiboux et le reste était dans la forêt même. «Alors, comme ça tu es vraiment venu. » Je sursautais et me retourna, rassurer de le voir. Je ne pu m’empêcher de le prendre dans mes bras tellement j’étais terrifier, puis je le lâcha un peut gêner de mon jette.

« Excuse moi, mais tu m’a fait peur. »

La lune qui était juste derrière moi pouvait éclairer son visage, il riait, et s’a me rassura puisqu’il n’avait pas l’air d’avoir peur. Il était tout habillé de noir avec une cape verte mais qu’on ne pouvait pas vraiment distinguer à cause de la lumière sombre. Dan la forêt il faisait encore plus sombre et ça m’effrayait, si j’étais seul, il était hors de question que j’y aille mais je ne voulais pas paraître pour une lâche puisque je ne l’étais pas. J’avais pris mon courage à deux mains m’efforçant de ne pas paraître ridicule en face de lui. Il était si brave comparer a moi qui n’était qu’une petite et innocente jeune fille. Les gryffondors eux était courageux et je les admirais pour ça mais d’un autre côté des fois ils se croyaient supérieur et je trouvais ça assez dommage tout de même.

« Oui je suis venue, mais je dois t’avouer que c’est la première fois que je viens ici en 6 ans »

Je souriais, plus rassurer avec lui. La vie n’est pas toujours ce que l’on crois et n’est pas toujours un chemin droit et je voulais qu’on m’apprenne certaines choses qui me permettront de me protéger. J’espère que j’aurais devant moi encore beaucoup de sourires et de rires, surtout venant de ça par puisque durant la journée je ne le voyais pas vraiment rire, il était plutôt renfermer, enfin jusqu'à hier soir. Durant la journée on m’avait dit qu’il avait changé en une nuit. Changer ? Non personne ne change pas totalement mais savoir que je l’avais fait sourire me rendait heureuse, c’était mon ami et savoir qu’il était content me faisait du bien, comme pour tout les autres d’ailleurs.

Nous devions y allez, si nous restions là a nous regarder toute la nuit je pense que ça paraîtrait vraiment étrange. Je regardais un moment la forêt en souriant, j’étais prête, prête à aller plus loin que les limites du château. Si nous nous faisions prendre nous aurions une assez grosse punition mais ils ne nous renverrons pas, se n’était pas notre destin comme ils disaient si bien. Le destin, je me demande ce qu’il me réserve, j’aimerais savoir… Mais d’un sens peut-être que je regretterais de le savoir. Je le regarda a nouveau pour pouvoir lui parler en face.

« Nous y allons ? »

J’étais optimiste, il avais l’air surpris de mes choix d’hier et d’aujourd’hui, mais je veux découvrir d’autre choses pouvoir aller au-delà de mes limites, pouvoir apprendre de mes propres erreurs, mais sans aller trop loin non plus

Il était là, là pour moi et je le savais il ne me laisserait pas il m’avait en quelque sorte sauver de cette bête et j’étais on ne peut plus soulager. Il m’avait entraîné en sécurité et je l’en remercie. Même s’il a l’air un peut plus neutre et rapide il me gardait toujours près de lui, je ne sais pas ce qui m’arrivais mais il ne fallait pas que je ressente quoi que se soit pour lui, c’était un supplice, je savais que je lui faisais peut-être honte même si j’étais apprécier de certains Serpentard. Il était maintenant l’héritier de sa famille et il avait beaucoup de choses sur les épaules, je ne le réalisais que maintenant, je faisais sûrement une bêtises mais les dès étaient jeter et je ne pouvais plus faire marche arrière, c’était beaucoup trop tard.
Où m’amenait-il ? Je me le demandais mais je n’osais pas lui demander a lui, il avait l’air sur ses gardes.

Après nous avoir en quelque sorte fait échappé à une créature assez étrange il pris m’a main pour nous entraîner sur un sentier, inconsciemment je serrais doucement sa main en le suivant discrètement puis quand il lança le sortilège et lâcha ma main je restais près de lui regardant les alentours pour vérifier si quelque chose venait vers nous. Rien, il n’y avait rien, même en pleine lune, et je trouvais ça beaucoup trop calme entendant des pats un peut partout j’attrapa son bras, c’était innocent il n’y avait rien. Innocent, oui c’était le mot n’est-ce pas ? Je ne savais plus, j’étais perdu. Personne chez les Poufsouffles ne pouvais me dire quoi faire parce que je connaissais déjà la réponse : « fuis ! Ne reste pas avec lui ! » Ou « tu te berce d’illusion c’est un Serpentard qui n’aime que lui » Mais comment savoir dans ce cas ? Personne ne pouvait être là, mes parents auraient pu, mon père avait été un Serpentard autrefois et aussi bizarre que ça puisse paraître, ma mère était Poufsouffle. Oui c’est étrange et je me demande même comment ils ont pus ressentir quelque chose l’un pour l’autre.

En y pensant c’était la première fois que j’avais ce genre de relation avec un garçon et ça me faisais bizarre, être aussi proche de quelqu’un ne m’étais jamais arriver. Je suis toujours rester distante avec eux, par peur d’en tomber amoureuse peut-être et aussi de faire des bêtises a cause de ça mais là c’était différent, je savais qu’il ne ferait rien.

Nous marchions doucement avant d’arriver devant un petit lac avec plusieurs licornes, le reflet de la lune sur le lac, c’était magnifique.
J’avais les yeux pleins d’étoiles, voir ces licornes tranquilles et paisibles. Je ne regrettais absolument pas d’être venu c’était beaucoup trop beau pour regretter quelque chose. Je regardais Regulus avec un énorme sourire pour le remercier puis regarda a nouveau le merveilleux paysage qui s’offrait a nous.
Dans cette forêt si dangereuse en apparence, les choses y étaient belles, calme et merveilleuse tout simplement. On aurait pu la comparer a une personne qui paraissait dure a l’extérieur mais qui était splendide a l’intérieur quand on la connaissait mieux, un peut comme… Regulus. Cette penser me figea un instant et je n’arrêtais de réfléchir là-dessus tout en regardant le paysage.

Émerveiller par le merveilleux paysage, Regulus réussi a lire en moi, il réussi a percevoir a quoi je pensais. Si seulement il en savait plus, mais c’était peut-être idiot, mais j’aurais voulu voir sa réaction si il savait se que je ressentais pour lui, il me rejetterait sûrement, c’était même la seul solution qui me parvins a l’esprit enfin jusqu'à se que je senti son doux regard sur moi. Je le voyais bien, il me regardait différemment des autres et moi, je le regardais différemment aussi et j’en avais conscience. «Tu vois même les endroits les plus sombres peuvent regorgé de lumière.» J’avais compris ce qu’il voulais dire par là et ça me fit sourire, c’était a quoi je pensais un moment avant. Il était tellement solitaire, mais il avait quelque chose que les autres n’avaient pas. L’amour pour ça famille. Même si il voulait montrer qu’il était dure au fond peut-être n’était-ce qu’un masque ?

Il me posa doucement vers la clairière « Si tu t'approches silencieusement je pense qu'elles te toléreront. Vas-y moi je t'attends ici. » Il pensait que j’étais digne d’elle ? Les licornes étaient si pures, si blanche et douce qu’elles n’acceptaient pas les personnes avec un mauvais fond. Il pensait que je pouvais les approcher et peut-être les toucher. Je le regardais un moment dans les yeux lui chuchotant ces paroles doucement

« Merci beaucoup »

Il prenait peut à peut plus de place dans mas vie, chaque jours je tenais encore plus a lui que la veille et la seul chose que je voulais c’est qui ressente la même chose que moi. Pourtant ses oeils brillait de milles feux, pourquoi ne me disait-il rien ? Il pouvait avoir confiance en moi, chaque paroles qu’il me dira je le gardera cacher au fond de moi sans le dire a qui que se soit, même aux personnes les plus dignes de confiances.

Je me retourna un moment pour m’approcher doucement des merveilleuses créature de la nature, une pris peur mais je la calma sans trop de difficulté et pris sa tête entre mes mains afin de pouvoir caresser sa joue doucement en souriant. Elle était tellement magnifique, et les rayons de la lune la faisaient comme… briller.
Elle broutait je ne sais quel herbe magique et je la regarda un moment dans ses yeux bleu, un bleu azur qui ressemblait a la mer. Je jeta un coup d’œil a Regulus afin de lui sourire, j’aurais voulu qu’il vienne lui aussi mais il n’avait pas l’air de vouloir, ou plutôt il avait peut-être peur qu’elles parte en le voyant. En tout cas, moi je n’étais pas parti et je ne risquerais pas de partir.

Un merveilleux moment passer avec ces licornes je me dirigea a nouveau vers lui regardant de temps en temps les licornes mais comme la maladroite que je suis, je tomba sur lui par manque d’attention. Heureusement que l’herbe était assez haute pour amortir notre chut et ne faire aucun bruit. Sa tête me fit un peut rire mais je riait d’un rire discret.

« Encore merci de m’avoir amener ici »

Je le regardais doucement dans ses beaux yeux émeraude, attendant le pire, il allait probablement me pousser ou alors me faire des yeux noirs pour que je me lève, je n’en avais aucune idée.

Heureusement il ne l’avait pas mal pris. Je le regardais allonger dans l’herbe, il fallait que je lui dise, c’était obligatoire, je ne pouvais plus tenir. Et surtout je savais que c’était trop tard, mes sentiments ne pourront plus fuir. Quitte à me faire rejeter mais il fallait qu’il sache, je pris sa main doucement toujours en regardant ses yeux puis je fixa sa paume un moment. Je ne faisais pas de la divination mais une amie m’avais appris quelque trucs que je trouvais tout de même pas mal. Quand je glissais doucement mon doigt à l’intérieur de ma main juste pour savoir qu’elle réaction il aurait mais à la place je vis… Je ne comprenais pas trop, je n’avais jamais fait ça au paravent. Et surtout, je n’avais jamais vue Voldemort dans la main de quelqu’un. Je repris mes esprits, la forêt me faisait perdre la tête. Je le regarda a nouveau.

« Il faut que je te dise quelque chose, tu vas peut-être me dire que je ne devrais pas mais voilà… »

Je repris ma respiration un peut pour me lancer lâchant sa main et me mis confortablement dans l’herbe afin de reprendre ma phrase où elle c’était arrêter.

« J’ai l’impression qu’avec toi, je suis différente. Je tiens vraiment beaucoup a toi, et je ne voudrais t’avouer que depuis ces derniers mois, nous avons passer beaucoup de temps ensemble et plus les jours passe, plus tu prend de la place dans mon esprit. Bon j’ai fini vas y dit le, je suis folle »

Je cachais mes yeux morte de honte mais il fallais bien que ça sorte, on ne sais pas ce que l’avenir nous réserve et j’aurais pu le regretter un jour ou l’autre. Au moins là je n’aurais pas de regret enfin peut-être si il m’envoie balader comme il fait avec les autres filles qui le collent sans arrêt mais je n’étais pas pareille moi et j’espère qu’il le savait. Je ne passais pas du temps avec lui pour avoir une quelconque demande au mariage ou même une autre chose totalement absurde ! Non, moi je restais près de lui parce que je l’appréciais vraiment et que je voulais en savoir plus sur lui. Enfin, savoir est un grand mot, je dirais plus, mieux le comprendre.

Il était un grand ami et c’est possible qu’en une petite phrase, une seule phrase qui partait d’une dévotion ça allait tout gâcher, en tout cas je ne voulais pas ça, je voulais juste qu’il sache une chose que personne ne sais, une chose que je cache et que je garde pour moi comme tout les autres secret que l’on m’a confier. Il fallait savoir aussi que j’étais digne de confiance, enfin je n’avais jamais déçu personne. Mais le décevoir lui était la pire des choses que je pouvais imaginer, surtout perdre tout ces bons moments que nous avons passer ensemble sur un simple coup de tête. Je commençais à regretter, des millions de choses se bousculait dans ma tête et je me cachais toujours même si le paysage était beaucoup plus beau que mes misérables mains. Qu’elle idiote, jamais il ne s'intéresserais a moi, je ne suis qu’une misérable Poufsouffle, naïve et innocente et lui un honorable Serpentard ! Pourquoi j’ai dit ça ?! C’est n’importe quoi ! Je débloque complètement je n’étais pas digne de lui et je le savais. Ma vie était bercer par de douces illusions, d’autres filles bien plus belles que moi avaient beaucoup plus de chances avec lui. Elles étaient non seulement belle, riche, a Serpentard mais aussi elles étaient de sang pur. Alors que moi je ne savais pas de quel sang j’étais !

Je n’aurais pas du dire ça… Je savais qu’au fond il ne voulait pas de moi, pourquoi est-je été stupide à ce point ? Ce flash, je venais de comprendre ce que ça voulait dire, je compris pourquoi il était si distant. Mais moi je le voulais lui, qu’il soit n’importe quoi en réalité, ses secrets importait peut, j’aurais aimé lui dire mais qu’est-ce que ça importait ? Je n’allais que souffrir dans ce voyage où je ne savais très bien où il m’amenait. Dans le fin fond d’un gouffre sûrement, là où la peine est reine mais pourtant, habituellement j’étais si joyeuse.
Il glissa la mèche qui se trouvait sur mes yeux pour la mettre derrière mon oreille. D’un coup j’étais un peut plus rassurer. Puis il se leva avant de m’aider a me relever et il me sorti un peu froid « Ce n'était pas une bonne idée de t'emmener ici.» Se fut le coup fatal, je ne pouvais plus rien dire, là c’était bel et bien fini, j’avais tout gâché et je m’en voulais, je m’en voulais énormément, cette phrase m’avais en quelque sorte brisé.

Je le suivais sans rien dire, d’un pat lent et pas trop rassurer. Pour la première fois, j’étais triste je regardais la lune tout en marchant, ne faisant attention a rien d’autre a par a la lune, j’essayais de me changer les idées, de partir en quelque sorte sur un petit nuage, m’évader un instant ce moment. J’avais découvert le vrai Regulus sans même qu’il le sache mais pourtant je ne pouvais pas me séparer de lui, même après ce que je venais de découvrir.
Il s’arrêta net et se retourna, j’étais plus que surprise puis il me regarda dans les yeux avant d’essayer de parler « Je suis différent aussi... Quand je suis avec toi. Je... » Je ne comprenais pas trop se qu’il voulait dire, si quelqu’un l’aurait vu a ce moment là il aurait paru pour un fou. Mais je ne le voyais pas ainsi et je le regardais aussi dans les yeux afin de le rassurer puis il reprit « Tu n'es pas folle... Mais on ne peut pas aller plus loin... » Trop loin, par où voulait-il en venir ? Aune idée.

« Regulus, calme toi et explique moi. »

J’étais calme, je voulais juste qu’il me dise la vérité, rien de plus. Il n’avait pas à se mettre dans des états comme celui là. Je passa alors ma main dans ses cheveux pour le calmer doucement le regardant dans les yeux avec un petit sourire rassurant. Il avait l’aire tout chambouler mais d’un côté ce n’était pas plus mal.

« Ecoute moi, si je t’apprécie c’est pour ce que tu es et non pour le reste, tout à l’heure j’ai vue… Tu sais qui et j’en fait mes propres hypothèses, tu es peut-être un mangemort ou il te menasse, je n’en sais rien mais dans tout les cas, tu resteras toujours le même a mes yeux. »

Pourquoi ne voulait-il pas comprendre ça ? De quoi avait-il peur ? J’aurais voulu qu’il me le dise, il arrête de se cacher avec moi et qu’il profite un peut. La vie est courte alors autant en profiter un maximum tant que nous le pouvons. Ce que je dit souvent, et ce qui est vrai c’est : quand tu tiens a quelqu’un, dit lui avant qu’il ne soit trop tard.
Je caressais ses doux cheveux puis sa joue, le voyant calmer je le lâcha doucement pour lui faire un doux sourire. Jamais on ne pouvait changer quelqu’un, moi j’étais venu ce soir pour découvrir une nouvelle chose, je l’ai découverte mais je ne change pas pour autant.

Les reflets de la lune transperçaient encore les feuillages et je pouvais distinguer l’expression sur son visage. Il était déchiré sûrement à cause de sa famille qu’il ne voulait pas décevoir. A ce moment je ressenti un sentiment égoïste, je le voulait seulement pour moi, que personne d’autre ne puisse profiter des doux moments que je partageais avec lui.
Il me prit dans ses bras, j’étais surprise et je me sentais bien en même temps, j’étais si apaiser dans ses bras, j’aurais voulu y rester encore un peut, j’aurais voulu fuir avec lui, que personne ne sache où nous étions et surtout que personne essai de nous séparer. Je ne pu m’empêcher d’attraper sa main et de la serrer doucement, mon cœur s’emballait a chaque seconde de plus passé en sa présence. J’avais du mal à décrire ce sentiment étrange qui vous donne des papillons dans le ventre, qui vous chatouille doucement chaque membre de votre corps et surtout le seul moment où vous entendez chaque battement de votre cœur.
Ce sentiment était loin d’être désagréable au contraire, mais je ne l’avais encore jamais connu et j’aurais voulu savoir ce qu’il voulait dire. Me confier ? Mais a qui ? Non il était hors de question que j’envisage une tel chose surtout se qui concerne Regulus. Chaque Poufsouffles auraient commencé à paniquer même à croire qu’il m’avait ensorcelé.

C’était le cas non ? Il m’avait ensorcelé avec ses yeux, ses magnifiques yeux bleus avec lesquels il me regardait tendrement avec un regard rassurant et doux. Ces yeux dont je ne me lasserais jamais. J’aimais en lui chaque parcelle de son visage, de son âme. Pour moi il était parfait et il n’y pouvait avoir une autre personne qui l’égalait «Je suis loin d'être parfait. Je ne veux pas que tu souffres à cause de moi. Tu mérites tellement mieux Elizabeth.» Non, ça non je refusais d’écouter ces paroles totalement absurde. Je le voulais lui et je ne voulais rien d’autre, rien ne me ferait plus souffrir qu’être loin de lui. Il devenait la personne que j’aime le plus au monde, le plus après mon père et ma mère, ce qui est normal mais… Je pourrais faire des sacrifices envers mes parents justes pour rester avec lui alors que ne serais pas capable de me séparer du sorcier qui se trouvait devant mes yeux juste pour le bon vouloir de mes parents. J’embrassai doucement le coin de sa lèvre pour lui souffler à l’oreille quelques paroles qui pouvait tout résumer.

« Tu es tellement parfait à mes yeux, tu ne comprend pas à quel point. C’est moi qui ne suis pas digne de toi »

C’était la vérité, je n’étais pas digne de lui et je le savais. Mais comment renoncer ? A ce moment là nous étions si proche l’un de l’autre, un peut comme si nous ne pouvions pas se détaché l’un de l’autre. C’était beaucoup trop tard, c’était impossible de faire marche arrière, les paroles étaient lancer et les actes s’enchaînais au fur et a mesure. Je ne pu m’empêcher de le serrer un peut plus dans mes bras, juste pour me senti bien, pour pouvoir sentir son doux parfum qui le définit parfaitement. Un parfum a la fois doux et brut, un parfum que je ne pouvais cesser de humer. J’aurais voulu rien qu’un instant pouvoir rester ainsi, ne pas retourner dans notre époque, rester nous deux ici quelque en soit les conséquences, je m’en moquais tant que je pouvais rester dans ses bras pour longtemps encore.
Je voulais savoir, j’étais soif de curiosité, de savoir ce que nous deviendrons plus tard, pour éviter le pire ou profiter avant que nous ne le puissions plus. Lily et James eux le savent déjà et je n’aurais jamais cru que ces deux là soit ensemble, ils se chamaillaient sans arrêt. Mais ça se voyait, James craquait vraiment pour elle et se n’était pas de la comédie.

Moi j’étais dans une bulle, une magnifique bulle verte et argent et je ne voulais pas en sortir, pas maintenant. Je comprenais enfin ce sentiment et je voulais en savoir plus sur lui, en savoir plus sur se que qu’il vas se produire ensuite. Je le serrais dans mes bras doucement en caressant ses cheveux et les yeux fermer voulant profiter ce cette instant encore et encore. Pouvoir profiter d’un instant qui ne durera pas encore trop longtemps.
Quand j’ouvris les yeux je réalisais dans quoi je m’embarquais, je ressentais des sentiments pour quelqu’un qui était non seulement dangereux mais qui aimait le danger. Mais a quoi bon ? Je ne pouvais me défaire de cet homme. Quoi qu’il était, quoi qu’il faisait, jamais je ne lui en voudrait sauf s’il touche a ma famille, là je ne pourrais l’accepter. Il était humble et aimait lui-même sa famille, pourquoi il ferait quelque chose d’aussi absurde ?
J’embrasse a nouveau de joue heureuse d’être dans ses bras, il demeurait un silence entre nous, un silence pure et doux. Je n’entendais que les bruits de la forêt qui nous entourais, peut-être que si, peut-être qu’il a bien fait de m’amener ici, si nous étions rester a notre époque je ne suis pas sur que ce moment aurait exister et je m’en serais peut-être voulu de ne pas lui avoir dit. De ne pas lui avoir dit en quelque sorte, pas directement mais je me l’avais avouer a moi-même, ce sentiment qui résidait depuis déjà bien longtemps au fond de moi. J’aimais Regulus. Ça expliqua beaucoup de choses, il restait en continue dans ma tête, même si j’essayais de le cacher des Poufsouffles me le disait de temps en temps. « Pourquoi tu traîne avec lui ? Il est dangereux tu sais ? » « Arrête tu vas finir par trop t’attacher et après tu ne pourra plus te défaire de lui » « Ouais et tu risque gros » Tu risque gros ? C’était une Poufsouffle du présent, mais qu’est-ce que ça voulais dire ? Allait-il partir ?

Je le serrais encore plus contre moi à cette idée qui me faisait peur. Le futur, notre futur qui était le passé pour tout les autres, eux qui savaient déjà ce qui allait se produire pour nous.

Je le voulais, je le savais, j’étais folle de lui. J’avais déjà en quelque sorte perdue mon meilleur ami parce que je le fréquentais. James le détestait et il l’avait pris comme une trahison, mais moi je ne pouvais réciter plus longtemps. Je posais ma mains sur la sienne en la caressant doucement le regardant dans les yeux, je contemplait son visage, si beau pour moi, si parfait. Pourquoi les autres ne le voyait pas comme moi je le voyais ? Je ne le voyais pas seulement comme une personne de sang pure ou quoi que se soit d’autre. Juste comme Regulus, l’homme pour qui je ferais tout, enfin presque tout. Je voulais tout de lui, tout me plaisais. «Ne dis jamais ça. Tu es digne d'être avec une personne qui sera te rendre heureuse. Avec moi tu serais tout sauf heureuse. Il faut que tu comprennes... ce n'est pas une simple relation entre un Serpentard et une Poufsouffle. C'est bien plus que ça... » Je le savais, il cachait quelque chose de beaucoup plus gros que ça et j’aurais voulu faire partie de la confidence, pouvoir l’aidé, le conseiller et peut-être le sauver de je ne savais trop quoi.

Rien n’était plus parfait que ce moment, seul, dans les bois, personne pour nous déranger. Seul les animaux et nous connaîtrions ce qui c’était passer cette merveilleuse nuit d’octobre. Peut-être que cette scène deviendrait légendaire, peut-être que d’autres personnes nous observait mais je m’en moquais, le plus important pour moi était de rester là, dans ses bras et d’y rester encore très longtemps. Je savais qu’il ne voulait pas décevoir sa famille, mais qui était-elle pour juger un être comme lui ? Qui était-elle pour tracer l’avenir de son enfant ? Des personnes égoïstes tout simplement. Je m’en voulais de ne pas savoir de quel sang j’étais, même si je ne m’en étais jamais préoccupé, a cette instant j’aurais voulu être de sang pure pour pouvoir rester avec lui. «Pourquoi moi ? Il y a des garçons plus fréquentables que moi.» Il marqua une pose, je ne l’avais jamais vue dans cet état au paravent, il avait l’aire détruis, il souffrait et je le voyais. J’aurais voulu l’aider de n’importe quels façons possibles, je voulais le voir heureux, sans contradictions, qu’il profite de la vie, avec, ou sans moi. Tout ce que je voulais à cet instant c’était son bonheur. «Bon sang ce que je déteste parler comme ça.» Cette phrase me fis sourire, alors comme ça il était plus sensible quand il s’agissait de moi ?

Regulus posa son front contre le mien, sa main sur ma joue, la mienne sur la sienne et nos yeux qui se regardait intensément. Ce moment fort que je n’avais jamais vécu avant ça, même pas avec James, et puis après tout ce n’était qu’un ami alors que je ressentais des choses beaucoup plus forte pour Reg. Il ne pu souffler qu’un simple «Elizabeth... » Il ne savait plus quoi dire, je le comprenais c’était la première fois qu’il se confiait autant, même si c’était peut pour moi, pour lui c’était un effort presque surhumain. A ce moment je ne voulais qu’une chose, c’était de poser mes lèvres sur les siennes, mais je ne pouvais pas j’étais en interdiction de faire une chose pareille.

« Regulus… »

Mon souffle était fort, et mon cœur battait lui aussi terriblement vite, j’aurais voulu me donner a lui, totalement, je voulais lui faire confiance, j’aurais voulu être sienne. Mais tout cela était impossible et je le savais, même plus, ça me chagrinait fortement. Une musique dans ma tête, ou plutôt autre part, j’avais l’impression qu’elle définissait ce moment, qu’elle nous emportait et qu’elle voulait nous pousser l’un à l’autre. Il était difficile de succomber à la tentation, c’était beaucoup trop fort. Cette époque nous avait totalement changé, non seulement nous ne portions pas tout à fait les mêmes vêtements que dans notre époque. L’uniforme lui, n’avais pas changer mais les vêtements qui étaient hors du château eux oui. Ça me changer de ma robe d’avant. Je caressais sa lèvre supérieur, la regardant, tellement tentatrice, tellement envoûtante… Je n’y arrivais plus, s’il ne s’aidait pas, moi j’allais le faire, même si je n’avais aucune expérience, je voulais connaître l’effet que ça produisait, mais ce n’était qu’un bonus. Le vrai cadeau était Regulus, si seulement il n’était pas si compliqué, si seulement il se changeait les idées et qu’il arrêtait de penser à sa famille et qu’il pensait à moi. Oui je sais c’était égoïste de ma part de penser une tel chose et je m’en voulais pour ça, mais je ne pouvais pas éprouver d’autre sentiments que celui-ci. Je me rendit compte a cet instant que j’étais si fragile comparé a lui, et que j’avais besoin de quelqu’un. C’était lui, je l’avais choisie et je ne pouvais faire machine arrière, mon cœur l’avait choisie lui et pas un autre. J’avais envie de lui dire, de lui avouer ça, mais à quoi bon ? Il ne m’accepterait pas.

A ce moment précis, je pensais à James, oui le James potter. Celui que j’avais déçu même si il m’avait déçu en retour. Je tenais la main de Regulus sans pour autant la lâcher, je ne voulais pas briser ce contact que j’aimais tellement. Je passais pour une égoïste mais je ne pouvais m’empêcher de l’être un peut plus d’avantage, seulement pour lui, seulement pour l’homme à qui je pensais constamment. Il me parlait mais je n’entendais presque rien, j’étais perdu dans mes pensés, entre ce qui venait de se produire, et les conséquences… Au diable les conséquences ! Je voulais vivre ce moment avec lui et c’était tout ce qui importait, je ne l’entendais même pas me dire « Il doit être tard, tu as peut-être envie de rentrer.» Non je pensais a ce que nous étions en se moment même en trin de faire, un bêtise ? Le destin ? Je n’en savais rien mais quelque chose me disais de continuer, de profiter pendant qu’il en était encore temps. Je ne pu réagir que a partir de son «ça va ?» Je hochais la tête pour lui montrer que ma réponse était positive.

« Oui, oui je vais bien, je pensais juste a certaines choses… »

Je n’allais pas plus loin, si Regulus découvrais que James était mon meilleur ami, je ne pense pas qu’il le prendrait très bien, il aurait peut-être la même réaction que lui. Ils se détestaient et je le savais, et je ne pouvais rien y faire. J’étais on peut dire déchirer mais je me l’enlevais de la tête pour ne me concentrer alors que sur l’homme qui se trouvait devant moi. Celui qui avait grandit, nous étions de la même année et nous connaissions déjà depuis pas mal de temps. Devant lui, je me décida alors a agir une fois pour toute, a prendre les choses en mains même si cela me terrifiais. Je pris son visage entre mes mains et déposa mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser tendrement, mes mains glissais doucement derrière sa nuque et je me sentais bien, ce moment pouvais durer l’éternité je l’aurais désigner bien trop court.

Ce que j’avais envi depuis le début de la soirée, il fallait que ça arrive, tôt ou tard, on devait se prouvé a quel point on tenait l’un a l’autre et se fut par l’intermédiaire de ce baiser que je lui prouva. Je ne voulais plus le quitter, je ne voulais juste qu’une chose c’était rester avec lui, quoi qu’il arrive, qu’il me fasse confiance et que je fasse tous mes efforts pour me surpasser. C’est vrai, depuis que je le fréquentait j’avais pris un peut confiance en moi, seulement un peut. Tout le monde me voyait comme l’innocente petite Elizabeth Faucett, c’était ce que j’étais, ce que j’ai toujours été jusqu'à ce soir. Ce soir où je pu enfin lui dire ce que je ressentais vraiment, et s’il ne l’avait pas compris par les mots il l’aurait compris par les gestes. Je sentais des petits papillons me chatouiller le ventre quand je le serrait un peut plus contre moi. Qu’est-ce que je pouvais aimer être proche de lui, et là je n’ai jamais été aussi proche que cela, en tout cas, je ne regrettais absolument pas.

Je me sentais si bien, je le contemplais, nous ne pouvions plus faire marche arrière et nous le savions tout deux. Je le savais maintenant, je savais ce qu’il ressentait, du désir et même s’il voulait rebrousser chemin il n’y arrivait pas et moi non plus «Je ne sais pas si tu as conscience dans quoi tu t'embarques... » Si je le savais mais je ne disais rien, je le laissais parler, et réfléchir et j’espérais de tout mon cœur qu’il ne me laisse pas tomber. J’avais à ce moment, sans vraiment m’en rendre compte, connu mon premier baiser. Cette idée me fi sourire, mais devoir me séparer de lui était la pire chose qui pourrais jamais m’arriver. Une fois notre baiser terminé j’aurais voulu plus de lui mais je savais que je ne devais pas aller trop loin, il fallais tout de même être raisonnable.

Il glissait sa main sur mon visage, comme si j’étais faite de porcelaine et je dois avouer que je trouvais ça très agréable, il était si doux, si gentil. Je voulais lui dire ce que je ressentais mais je savais qu’il était ailleurs, il pensait à quelque chose, quelque chose que je ne pouvais voir.
«Ici nous sommes loin de tout... Ils ne pourront rien dire ..» De quoi parlait-il ? Je ne savais pas trop il devait sûrement penser a vois haute, Ce fut a ce moment qu’il me délivra un autre baiser, mais cette fois c’était lui qui me l’avais donner et j’était heureuse, il me rendait heureuse. Je prolongea notre baiser un petit moment avant de nous faire volontairement tomber dans l’herbe.

« Tout ça restera secret je suppose »

Je posais mon front contre les siens pour ne pas le quitter une seconde, j’aimais trop le contact de sa peau contre la mienne, de ses lèvres sur les miennes et la volupté de ses baisers. Je caressais sa joue doucement en même temps, je le regardais dans les yeux, des yeux dont je ne me lasserais jamais. Nous étions si bien tout les deux. J’aurais voulu rester ici toute la nuit, allonger sur l’herbe, le contemplant de mille et une façon. Embrasser ses lèvres encore et encore sans nous arrêter mais je savais que se n’était pas possible.

« Sache juste que… » Je ne réussi pas a dire la suite c’était trop dure, j’avais beaucoup trop peur de me faire rejeter. « Je… Je t’aime »

Ouf c’était sorti, j’avais mis du temps à le dire, mais il fallais prendre tout son temps pas vrai ? Je caressait ses cheveux le regardant la lune, juste derrière lui, c’était tellement beau a voir. Je savais que la nuit finie nous devrions retourner à la réaliser et ça m’effrayait. Si les gens nous voyaient ils ne parleraient que de nous, même plus de lord ou du temps. Tout simplement parce que notre relation était contre nature, c’était comme si un ange, sortait avec un démon. J’aurais voulu savoir ce qu’il en pensait, si lui aussi ressentait ce que moi je ressentais.

Je souriais constamment, c’est vrai que nous étions bien là tout les deux allonger dans l’herbe, dans ses bras je me sentais protéger et combler. Il m’embrassa a plusieurs reprise comme s’il ne pouvait plus s’arrêter, comme si pour lui c’était primordiale, comme si c’était une façon pour lui de se nourrir. J’aimais beaucoup ses baisers, à la fois tendre et doux. «Il est préférable pour nous deux de rester discret. Cela pourrait nous porter préjudice et je ne veux pas que tu sois rejeté. » Je comprenais tout a fait ce qu’il voulait dire et j’étais d’accord avec ça, moi qui voulais reprendre contact avec James, si il l’apprenait c’était fini. J’étais contre lui a regarder les étoiles et je commençais déjà a somnoler, fatiguer, il devait déjà être très tard et il était temps pour nous de rentrer «Pour l'instant nous allons faire comme ça. On est tellement mieux tous les deux.» Ces paroles me comblaient, et c’était vrai, nous étions si bien lorsque nous étions rien que tout les deux. La seule chose qui pouvait m’arriver si les autres l’apprenait c’était qu’ils fassent tout pour que j’arrête de la voir. Les autres avaient peur de lui enfin surtout ceux du présent et du futur, pour quel raison ? Je me le demandais.

« On devrait peut-être rentrer, il se fait tard. »

Je me levais alors pour rentrer et je le regardais en souriant toujours autant, je lui tendis la main pour le lever et une fois debout nous marchions en direction du château, encore une fois j’avais passé une belle soirée en sa compagnie. Pour rentré cette fois main dans la main, c’était la nuit et nous ne risquons rien. La nui était belle, merveilleuse, c’était magnifique a voir.

Je regardais la lune, doucement nous arrivions devant le château et il était temps de nous dire bonne nuit. J’embrassais tendrement sa joue avant de me diriger vers le dortoir des poufsouffles, évitant les fantômes et les autres personnes qui traînait dans le hall. Arriver dans le dortoir je partie me changer et me mis dans mon lit accompagner de mon chat, kit kat qui ronronnait déjà a peine arriver. Je m'endormi alors jusqu’au lendemain.