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| JAMES ღ my sadness is so big it can drown up the world | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: JAMES ღ my sadness is so big it can drown up the world Mar 11 Sep - 17:02 | |
| Poppy marchait tête baissée dans les couloirs à une vitesse plus rapide qu’une personne normale. Des petits pas pressés et resserrés comme ceux d’une souris attirée par une bout de fromage qui souhaitait se faire le plus distraite pour ne pas que le chat la remarque. Poppy avait l’impression d’être cette petite souris en ce moment. Elle retenait son souffle comme de peur de faire trop de bruit et plaquait fermement son sac contre son corps pour qu’il ne percute personne et ne la ralentisse pas dans sa course. Mais c’était comme si cette petite souris avait une fourrure rose fluo avec des poids oranges vifs, des fleurs bleu cyan et vert lime, elle n’arrivait pas à passer inaperçue. Poppy non plus. Elle sentait qu’elle attirait toute l’attention quand elle arrivait dans un couloir. Ca passait par les regards en coin, les chuchotements bruyants, les gestes grivois et les remarques obscènes. C’était aussi cruel qu’un chat retenant une souris par la queue, lui faisant croire qu’elle pouvait s’échapper mais ce n’était pas le cas. Dans son histoire ou plutôt dans sa comparaison de sa vie avec celle d’une souris – et malheureusement elle n’était définitivement pas Jerry et le chat était bien plus rusé que Tom – Poppy pensait stupidement que la tour de Serdaigle serait son échappatoire, son trou à elle, là où son bout de fromage – sous la forme d’un lit à baldaquin – l’attendait sagement. Elle n’avait pas pris un détail en compte, c’était dans cette tour que tout était parti, qu’on l’avait méchamment jetée dans le monde de la popularité, de la course social où on parlait de gens qu’on ne connaissait même pas. Poppy n’avait jamais voulu y rentrer mais on l’y avait propulsé avec un coup de pied dans les fesses, en lui tendant le costume de la garce pour alimenter les rumeurs les plus folles. Et elle ne savait pas comment en sortir.
Avec soulagement finalement, elle arriva devant l’entrée qui gardait la salle commune de Serdaigle et attendit qu’on lui pose la question à laquelle elle répondit machinalement, cela faisait trois semaines qu’on la lui demandait, ça ne demandait même plus de réflexion, peu importe les tournures différentes qu’imposait parfois la statue. L’entrée se révéla et Poppy avança finalement dans ce qu’elle pensait être son lieu de paix. C’était bon, elle n’était plus exposée à tous ses élèves qui ne la connaissaient pas mais qui se permettaient de la juger. Elle n’avait plus à affronter les remarques blessantes des Serpentards qui se fichaient véritablement de son histoire ou même de ce qu’elle avait fait, tout ce qu’ils voulaient, c’était rire de quelqu’un. Elle n’avait plus à affronter les regards haineux des Gryffondors qui la disaient briseuse de ménage. Un certain Dennis Crivey avait même été l’accuser de vouloir tuer Harry Potter en faisant du gringue à son père. Et elle n’avait pas non plus à attendre les murmures et rires de Poufsouffles qui sans vouloir être méchants se fondaient dans la masse. La blonde passa une main dans ses cheveux, se relaxant imperceptiblement alors qu’elle pénétrait la salle commune pour ensuite prendre la direction de son dortoir. « Eh Montgomery ! » Poppy se retourna en attendant son prénom. Celui qui l’avait interpellé était un garçon de septième année – de son époque – qui en six ans avait dû lui adresser deux fois la parole et sans doute parce qu’il était obligé. Il était dans l’équipe de Quidditch et à côté de lui se trouvait Jules. Le Serdaigle ne la regardait pas mais elle savait qu’il lui en voulait. Elle aurait voulu pouvoir s’excuser, lui dire qu’elle ne s’était pas servie de lui mais son égo masculin en avait pris pour son compte et avec les rumeurs qui couraient, il se retrouvait ridiculiser. Sans compter qu’il était le meilleur ami de Blake et que quand la vérité éclaterait, il prendrait sans aucun doute son parti. Elle aurait beau essayé de lui parler, elle aurait certainement plus de chance avec un mur. « Il fallait dire que ton truc s’était plus genre plan à trois, on serait venu avec Jules au rendez-vous. » Et sur ces paroles méchantes et bêtes – qui atteignirent Poppy – ils se mirent à mimer des gestes obscènes, criant des paroles grivoises qui tirèrent des rires. Même Jules sourit. Et c’est ce qui blessa le plus la blonde qui sentit ses yeux se remplirent de larmes. Elle lâcha son sac et n’écouta pas quand on l’appela. Elle s’enfuit tout simplement de la salle commune en retenant difficilement ses sanglots. Cette fois, elle ne marcha pas rapidement, elle se mit à courir, bousculant quiconque étant sur son chemin et elle n’entendit aucun commentaire – sans doute parce qu’on n’avait pas le temps de la reconnaître. Elle dévala à toute vitesse les escaliers de marbre et se précipita dehors, elle courut – passa devant le cours de soins aux créatures magiques des quatrièmes années – alla se réfugier dans un coin où elle était sûre que personne ne viendrait la déranger. Elle s’assit contre un tronc d’arbre et ramena ses jambes contre sa poitrine. Elle était prise de tremblements, sanglotant difficilement, n’ayant plus de souffle après sa course endiablée. L’intérêt était qu’aujourd’hui sa prof était indisposée – à comprendre ivre – et elle avait fini bien plus tôt. Elle était tranquille pour un bon moment. Elle se laissa donc aller à pleurer, ne voulant plus verser de larmes quand elle était devant quelqu’un – la dernière fois elle s’était pris un commentaire amère en pleine face qui était toujours douloureux rien qu’en y repensant. Elle entendit soudain une branche craquer et sans relever la tête, elle sut que quelqu’un approcher. Elle refusa de relever la tête et entre deux pensées qui ne se résumaient pas « je veux rentrer chez moi » ou « je n’en peux plus », elle fit des hypothèses sur qui cela pouvait être. Peut-être un des élèves d’Hagrid qui voulait savoir si tout allait bien ou Hagrid lui-même. Pendant un instant fou, elle pensa que c’était Ashton, qu’il l’avait vue et était venu la réconforter. Mais depuis leurs baisers, elle n’avait plus de nouvelle, elle ne faisait que le croiser et ils n’étaient jamais seuls pour se parler ou se glisser deux trois mots à l’oreille. Elle aurait voulu lui écrire mais elle n’osait pas pour des milliers de raison. Et si quelqu’un tombait sur la lettre ? Si elle arrivait devant Blake et qu’elle la lisait ? Et si elle le dérangeait ? S’il avait changé d’avis ?
Finalement, au lieu de relever la tête pour voir qui s’approcher, elle se contenta de renifler et garda sa tête enfoncée entre ses bras, eux-mêmes appuyés sur ses genoux. « Qui que ce soit, allez-vous-en. Je ne veux voir personne. » |
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| Sujet: Re: JAMES ღ my sadness is so big it can drown up the world Dim 16 Sep - 9:52 | |
| Ma mauvaise humeur était à son comble lorsque je mis enfin la main sur mon magnifique Comète 260, cadeau inestimé de mes parents peu avant le tourbillon dans le temps. Je le gardais précieusement, malgré son allure de dinosaur à côté des fantastiques éclairs de feu de mon fils et sa troupe, ou des incroyables engins dont on se servirait deux générations plus tard. Décidemment, la science magique de vol faisait des miracles. Mais ce n’était pour autant que nous perdions nos matchs. J’obligeais mon équipe à compenser nos déficits en vitesse et en précision qu’apportait les nouveaux balais par une condition physique et un entraînement irréprochable. Et pour tout dire, j’étais plutôt fier d’eux. Mais aujourd’hui, nous ne nous entraînions pas, et si je cherchais fébrilement mon balais depuis une dizaine de minute, c’était par besoin de détente et de me changer les idées. En effet, plus la journée avançait et plus mon humeur se dégradait, jusqu’à finir en apothéose lors de ma recherche de balais trop lente à mon goût. Il y avait tout d’abord eu cette mauvaise nouvelle, annoncé par un petit première année, comme quoi Thomas, notre gardien, avait sûrement une tendinite au coude, ce qui le priverait de long mois d’entrainement. J’avais passé ma matinée à chercher une solution de secours pour le remplacer, mais personne ne lui arrivait à la cheville. Pour continuer sur ma lancée, à midi, j’avais pu observer Lily rire tout le repas jeune homme qui selon mes souvenirs venait de cet époque, et qui la dévorait des yeux. Seul Sirius avait réussi à m’empêcher d’aller le frapper. Enfin, alors que j’attendais devant la porte du cours de métamorphose ou pour une fois, je n’étais pas en retard, Jules, l’ex à Poppy si à ce que j’en savais, même si je manquais de nouvelle de cette dernière, avait fait un scandale devant tout le monde en criant tout un charabia dont je ne comprenais pas le sens, qui parlait de Poppy, d’explication, de couple, de baisers, de tromperies, de trahison. Lunard m’avait donné après que nous ayions du rentrer sans que je puisse lui demander explication ou lui casser la figure, son avis sur cette dispute : Il avait cru comprendre que le serdaigle me demandait des explications car il avait entendu que je sortais avec Poppy. Cette rumeur, je l’avais ouïe plus d’une fois, à l’époque peu lointaine ou nous jouions à flirter ensemble. Mais ce qui m’étonnait, c’est que récemment, puisque la blonde était avec Jules, nous ne nous étions beaucoup moins vu, et surtout, nous avions arrêté notre petit jeu. Je n’aurais jamais tenté de faire du mal à Jules, et son accusation me blessait et m’énervait. Je détestait qu’on me nomme coupable sans raison, et alors que je réfléchissais à tout ça plutôt que d’essayer de transformer mon cactus en rose des sables, sors plus que simple, j’en avais déduit que de nouvelles rumeurs devaient courir dans le château et une fois encore, je me promis d’aller voir Poppy avant la fin de la journée, pour prendre de ses nouvelles mais surtout pour tirer cette affaire au clair. Ma résolution n’a pas flanché mais ne s’est toujours pas réalisé, car depuis ce cours, je me suis encore tapé un interminable cours d’histoire de la magie, qui si je l’avais encore, m’aurait sapé le moral, une tonne de devoirs en botanique que j’avais vite arrêté, et une intervention parce que deux premières années qui se disputaient avaient commencé à lancer n’importe quels sorts à tout va sans pouvoir en mesurer la puissance dans les couloirs. Pourquoi fallait-il faire déplacer tous les professeurs et préfets-en-chefs pour une broutille de ce genre ? Les premières années que j’avais accompagné à l’infirmerie s’était pris une telle raclée, amplifiée par mon énervement de la journée, qu’ils n’étaient pas près ni de recommencer, ni de m’approcher. Lorsque j’étais enfin revenu à la salle commune, ma seule envie avait été d’attraper mon balai et de m’envoler haut, loin des hommes et de mes soucis. Voilà pourquoi après l’avoir enfin déniché, et enfilé une veste, je me retrouvais le balai sur l’épaule, à traverser les couloirs. Dès que j’eus posé les pieds sur l’herbe, je m’envolais, filant comme le vent au-dessus du château, savourant l’air glacial dans mes cheveux ébouriffés, inspirant la liberté à plein poumons. J’avais heureusement pour elle déjà volé un bon quart d’heure, et évacué une grande partie de ma rancœur, quand je la vis. Je volais à ras du sol quand un mouvement avait attiré mon attention. Une silhouette solitaire, qui courrait à perdre haleine en direction de l’orée de la forêt interdite. Je ne m’en serais pas occupé si le soleil n’avait pas capté un éclat blond dans ses cheveux que j’aurais reconnu entre mille. Le hasard devait bien faire les choses, car celle que je désirais voir depuis ce matin se trouvait là, à une centaine de mètre de moi. Poppy. Je volais encore un peu puis posais pied à terre, m’approchant silencieusement de mon amie, effondré contre un arbre, la tête dans les mains. De toute évidence, ça n’allait pas, et son accueil m’en convainquit. « Qui que ce soit, allez-vous-en. Je ne veux voir personne. » Je souris, et m’accroupissais en face d’elle. Elle n’allait pas m’avoir comme ça, j’avais plus que besoin de lui parler. « Fais pas genre, je sais que tout le monde a toujours envie de me voir ». Un peu plus et il y aurait eu le petit éclat sur ma dent, dans mon sourire ravageur. Je lui attrapais les mains, ce qui l’obligeait à relever la tête, lui dit dit d’un ton plus doux, plus compréhensif. « Je crois, je vois qu’il est temps qu’on parle tous les deux » Une petite inspiration puis « Tu veux commencer, je n’aime pas te voir dans cet état, dit moi ce que tu as sur le cœur ! Ensuite, j’aurais besoin d’explication, et peut-être que toi aussi. ». Je posais mon arrière train sur le sol, étendant mes jambes de part et d’autres de la serdaigle, poussant légèrement mon balais pour nous laisser de la place. - Spoiler:
J'espère que ça t'iras #4C117F
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| Sujet: Re: JAMES ღ my sadness is so big it can drown up the world Dim 30 Sep - 9:52 | |
| Poppy n’en pouvait plus de pleurer autant. C’était la quatrième fois en une semaine que ses poumons étaient en feu parce que ses sanglots l’empêchaient de reprendre sa respiration. Elle avait des difficultés à avaler de l’air, s’étranglant à chaque souffle qu’elle tentait de prendre. Ses yeux piquaient désagréablement et sa vision était floue. Ils devaient certainement être rouges à faire peur. Elle sentait aussi ses larmes sécher sur ses joues et la brûler avec le froid qui commençait à tomber sur l’Angleterre. Elle aurait vraiment voulu s’arrêter de pleurer parce que c’était fatiguant, parce qu’elle ne voulait pas être cette fille qui s’écroule au premier temps dur. Mais comment faire autrement quand tout le monde était si blessant avec elle ? Quand on ne la voyait plus que comme un objet, une rumeur, une personne qui ne ressentait rien, qui n’avait pas de sentiments ? Elle était transformée en attraction et ne pouvait plus mener sa vie comme elle l’entendait. Alors il y avait de quoi pleurer même si à chaque fois –malgré leur réconciliation – elle repensait à ce qu’Ashton lui avait dit. Tu sais, les poupées de plastiques. Quand on appuie dessus, elles ne font que chialer. Et pleurer. Et gueuler. Exactement comme tu fais maintenant… Elle savait qu’Ashton devait s’en vouloir de lui avoir dit ça, qu’il avait prononcé ces mots sous l’accès de colère mais ne les pensait-il pas quand même ? Elle pleurait tout le temps. Ca devait être fatigant pour son entourage, ses amis, sa famille. Ca le devenait pour elle. Elle voulait juste s’arrêter de pleurer un instant mais elle ne pouvait pas. Alors elle espérait simplement qu’on la laisse sangloter en paix. Elle espérait que cette personne s’en aille et l’oublie.
Malheureusement ce ne fut pas le cas pour elle. Des mains se saisirent des siennes et l’obligèrent à ouvrir les yeux. Au début, elle ne vit rien si ce n’est une lumière forte qui lui agressa les rétines et rendit sa vue encore plus floue. Plus son cerveau outrepassa les larmes qui lui brouillaient les yeux et commença à distinguer des images. Avec la voix de la personne qui prit la parole, elle assimila qui était en face d’elle. James. « Je crois, je vois qu’il est temps qu’on parle tous les deux » Elle hoqueta doucement, d’un côté soulagé que ce soit James parce qu’il était comme un protecteur ou un grand frère ou un second meilleur ami ou du moins quelqu’un qu’elle voulait avoir à ses côtés dans ces moments-là où tout allait mal. D’un autre côté, c’était James et si on les voyait, elle en larmes, et James si proche de sa personne, elle ne voulait même pas imaginer les rumeurs que cela provoquerait. Pourtant, elle en avait marre de toujours faire attention. D’essayer de faire comme si elle n’existait pas, de s’excuser d’être là, elle avait envie de retrouver sa vie d’avant, d’être heureuse même si elle aimait Ashton d’un amour impossible. A cette époque là, elle avait tout de même des bons moments. Elle riait parfois à ne plus pouvoir respirer. Et c’était agréable. Aujourd’hui, elle avait l’impression de ne plus avoir ri de puis des années. Pour une fois, ne pouvait-elle pas se laisser aller et profiter de la présence d’un ami ? De toute façon, si James était là, c’était en connaissance de cause. « Tu veux commencer, je n’aime pas te voir dans cet état, dis moi ce que tu as sur le cœur ! Ensuite, j’aurais besoin d’explication, et peut-être que toi aussi. »
Et Poppy craqua. Elle en avait marre, elle voulait juste qu’on la réconforte, qu’on comprenne que dans l’histoire elle était victime et elle voulait commencer à se comporter comme telle. Alors, même si James ne s’attendait certainement pas à ça, elle se redressa sur ses genoux et se jeta littéralement dans ses bras, les enroulant autour de son cou et enfouissant son visage dans sa nuque. Et elle pleura encore plus fort, étouffant presque sous ses sanglots. Elle avait peur, elle se sentait abandonnée et tout simplement, elle était fatiguée de vivre comme cela. Elle tenta de retrouver son souffle et d’expliquer à James tout ce qui n’allait pas mais il lui fallut bien cinq minutes pour arriver à aligner quelques mots. « Je suis désolée. Je suis tellement… désolée. Je suis désolée. » Chaque mot était entrecoupé de sanglots et elle les murmura en litanie. Elle était désolée de pleurer comme cela, de se donner en spectacle, de très certainement tremper son équipement de Quidditch, de le mêler à toute cette histoire, d’être responsable sans le vouloir des rumeurs entre eux et d’un tas d’autre chose. « Je suis vraiment désolée mais… Je sais plus ce que je dois faire James. Blake refuse de me parler parce que je lui ai dit… à propos… et j’ai pas vu Ashton depuis des jours et je l’aime et il… Et il y a Jules qui m’en veut parce qu’il pense que je me suis servie de lui et c’est faux ! Et on pense aussi que je sors avec toi, que je veux ruiner ton futur avec Lily… Et tu sais que c’est pas vrai mais… Il y a des rumeurs partout, on me pointe du doigt, c’est un enfer et tout à l’heure ils ont dit… » C’était sans doute le plus dur et le plus humiliant à avouer. Sans doute aussi ce qui la blessait le plus. Ces propos libidineux qu’elle recevait ou ses propositions indécentes et surtout humiliantes comme si elle n’était qu’une catin. On l’imaginait dans des positions affreuses qu’elle n’aurait jamais pu imaginer. Et le fait qu’on remette en doute sa virginité, qu’on la traite de trainée était au dessus tout le plus douloureux surtout qu’elle ne savait pas comment répondre à cela, se défendre et qu’aucun chevalier en armure ne semblait s’offrir pour défendre sa vertu. Pas même Ashton. « On m’a dit que j’aimais les plans à trois et c’est tellement humiliant que je voudrais disparaître sur terre. Je ne suis pas ce qu’ils croient James et je n’en peux plus. Je veux que tout ça s’arrête. » Sa voix se brisa sur le dernier mot et elle continua de sangloter dans son cou.
- Spoiler:
Désolée du petit retard, j'étais absente et puis aussi Poppy est déprimante la pauvre Mais ton rp était très bien
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| Sujet: Re: JAMES ღ my sadness is so big it can drown up the world | |
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