Othello Fidelis. Original n’est-ce pas ? Il parait que c’est le nom d’une Tragédie, d’un certain William Shakespeare. Je serais bien incapable de vous dire ce qu’ils ont bu, le jour où ils m’ont donnés naissance.
C’était quand déjà ? Ah ouais, ça me revient. 15 Novembre 1960 à L’Hôpital Saint-Mangouste. Mes parents sont sorciers, ce qui fait de moi un Sang-pur. Un père détaché à la Commission des Sortilèges Expérimentaux, Jagger Fidelis. C’est le père le plus déplorable de tout l’astre terrestre. Un soumis de première, lui parlez pas de résistance il a abandonné depuis un bon moment sa condition « d’homme ». L’homme de cette maison c’est moi. Oui je n’ai pas honte de dire, que je tiens tête à mon père, et que dieu merci je tiens le caractère de mon grand-père, et pas de cette larve qui me sert de père. D’ailleurs, ma mère est la seule qui réussit à calmer mon taux de grande impulsivité dont je fais preuve. Elora Fidelis, une médicomage. Je me suis jamais réellement pencher sur son travail, du moins en quoi ça consisté, mais parait que là-bas ou elle est, y a pas mal d’horreurs. Je devrais t’être m’y pointer un jour, ça me donnerait de l’inspiration sur de mauvaises actions futures.
Autre chose, je viens du passé. C’est un détail superflu. Il n’empêche pas que quand je vois les larves qui vont représenter notre descendance. On touche le fond. Je me dois en tant que grand maître de la finesse, et de la sournoiserie. Oui un vrai roublard, et j’ai la baguette facile fais attention à ton petit commentaire que j’ai perçu derrière ta grande barbe touffue, petit homme. On me compare à un Stroumph Grognon. Je dois avouer, que je suis rarement satisfait et qu’il en va de mon plaisir personnel de contredire toutes personnes qui pense différemment de moi. Tolérance zéro, j’ai le droit de véto intégré dans ma caboche, et il n’est pas prêt d’en sortir. Je suis toujours très confiant de mes capacités à n’en déplaire à certains mon aisance pourrait bien plaire. Eh non, je ne suis pas un chérubin. Mais un démon caché derrière des traits angéliques. Méfiez-vous de moi, j’ai beaucoup d’appétit, je pourrais bien vous manger tout cru, où vous torturer, humilier où que sais-je.. Vous tuez tout simplement.

Désagréablement vôtre.

Othello.