« Dora,

Tout se déroule pour le moment au mieux, mais je ne pourrais guère t'écrire pendant les trois prochaines semaines. J'en suis navré et tout autant navré de devoir rester encore loin, mais j'espère bien pouvoir revenir avant la fin de l'année. J'espère que tu vas bien.

Tu me manques...
Remus »

J'espère que tu vas bien... Ces seuls mots résonnèrent dans son esprit pendant de nombreuses minutes et seule dans sa chambre, elle répondit à haute voix... « Oui, nous allons bien, Remus... » Nous... Mais il ne savait toujours pas, c'était vrai... Une larme solitaire se mit à couler le long de sa joue alors qu'elle l'essuyait vivement.

Il avait enfin trouvé le temps de lui écrire. Elle était contente, certes, mais pas forcément rassurée. Il ne pourrait pas la joindre durant les deux prochaines mois ?! Pourquoi cela ? N'avait-il pu se douter que juste ces derniers mots la plongeraient dans une folle inquiétude ? Pourquoi ne pourrait-il la contacter ?! Et s'il lui arrivait quelque chose et qu'elle ne le revoyait jamais... Non. Il reviendrait. Elle avait confiance en lui. Il reviendrait. Ce n'était pas non plus parce qu'il fuyait ses responsabilités qu'il était partit. Elle ne pensait pas. S'il avait pu rester, il serait resté. D'ailleurs, il n'était même pas au courant qu'elle attendait un enfant... A son départ, elle ignorait cela et ce n'était pas quelque chose que l'on annonçait dans une lettre. Surtout qu'en plus, il lui avait recommandé de ne pas lui envoyer courrier – au cas où celles-ci se feraient interceptées. On devait penser qu'il ne recevait aucune nouvelles du monde extérieur... Où était-il d'ailleurs ? Où vivait-il ? Tonks se rongeait les sangs. Parfois elle rêvait de lui et il était dans un état qui lui broyait les boyaux... Si cela se trouvait, il n'avait même pas de quoi dormir dans un lit. Pourtant, elle aurait tout donné pour être avec lui même dans ce moment. Même si c'était pour dormir sur un lit de paille... Elle serait au moins dans ses bras.

La lettre était posée sur son bureau, les bords de celle-ci étaient repliés ou abîmés comme si elle l'avait ouverte trop souvent pour la lire. En fait, elle semblait même l'avoir usé des yeux tellement elle l'avait parcourue des yeux. Elle pourrait même la répéter dans sa tête sans lire l'original. Elle la connaissait par cœur. Lorsqu'elle voulait se rassurer, elle la relisait et alors elle se disait qu'il allait parfaitement bien à l'heure où il avait écrit cette lettre qui datait de deux semaines... Elle avait mis deux semaines à venir. Ce qui signifiait donc que, soit le hibou apportant la lettre s'était perdu, soit il avait mis très longtemps à venir parce qu'il venait de loin. Deux semaines auparavant donc, il était en vie. Que faisait-il maintenant ? Où était-il ? Que de questions dans la tête auxquelles elle aurait désiré ne plus pouvoir penser. Elles continuaient néanmoins de se presser avec insistance dans sa tête sans jamais la laisser tranquille… Pourtant, trop de contrariétés n'était pas bon quand on était enceinte.

Depuis quelques temps, ses cheveux avaient pris une couleur noire très foncée, en reflet de l'inquiétude qu'elle ressentait pour celui qui était si loin d'elle et dont la présence lui manquait tant. Il espérait pouvoir être de retour avant la fin de l'année... Ce qui équivalait à une éternité pour la jeune femme. A cette époque de l'année, si tout se passait bien, sa grossesse se verrait bien plus qu'à présent.

Tous les matins, devant son miroir, elle se mettait de profil, posait une main sur son ventre, comme si elle essayait d'intercepter ne serait-ce un bref mouvement de vie à l'intérieur de son ventre... Parfois, il lui semblait sentir quelque chose et alors elle regrettait plus que toutes autres choses que Remus ne soit pas là pour le sentir. Elle était certaine qu'il en serait très ému lui aussi même s'il ne le montrait pas toujours... Elle le connaissait. Depuis le temps, elle n'avait pas besoin de l'entendre parler pour savoir interpréter son regard ou ses gestes.

Secouée d'un frisson, Tonks se leva de son lit et soupira. Elle avait assez traîné comme cela ; il était temps de se lever. Elle devait sortir un peu. Depuis qu'elle était rentrée du travail, elle s'était laissée tomber sur son lit et n'en avait pas bougé. Se levant, elle alla chercher un pantalon, l'enfila et rajouta un gilet noir par-dessus son débardeur à l'effigie des Bizar's Sisters. Elle mit sa cape sur ses épaules et sortit dehors, remontant le col jusqu'à son cou. Sous la cape, on ne discernait nullement bien sûr qu'elle était enceinte même son ventre était légèrement arrondi. Cela n'était perceptible que pour les yeux les plus avertis...

Lorsqu'elle transplana à Pré-au-Lard, la première pensée d'un lieu où aller fut les Trois Balais. C'était plus une habitude. Depuis sa scolarité, elle se rendait là à chaque sortie organisée. Seule ou accompagnée de ses amis. Tout comme elle se rendait souvent à proximité de la cabane hurlante. Cette cabane l'avait toujours particulièrement attirée, sans savoir si c'était le danger qui l'y attirait ou non, mais il y avait quelque chose qui s'en dégageait qui avait toujours eu tendance à l'intriguer. Aujourd'hui, elle savait pourquoi elle l'avait trouvée si intrigante... Elle aurait presque aimé que ce soit pour une autre raison pour laquelle on disait qu'elle était hantée. D'ailleurs, la prochaine pleine lune n'était pas dans si longtemps que cela... A chaque pleine lune, ses pensées étaient loin de chez elle et accompagnait Remus. Avait-il trouvé un endroit sécurisé ? Et tous les matins, elle aurait aimé être à ses côtés pour prendre soin de ses blessures... De l'âme comme du corps. Elle aurait aimé qu'il...

Oh, qu'il lui manquait... !

Alors qu'elle se trouvait plongée dans ses pensées, la jeune femme ne se rendit même pas compte qu'elle était arrivée devant le pub. Levant la tête subitement, elle aperçut l'enseigne. Bifurquant sur elle-même, elle se dirigea vers la porte pour entrer à l'intérieur du pub, au chaud. La chaleur ambiante lui vint au visage dès qu'elle fut entrée. Certes, il n'y avait pas la même ambiance que lors de sa scolarité, mais les temps n'étaient pas aussi les mêmes. Néanmoins le pub demeurait un endroit chaleureux dans lequel elle aimait mettre les pieds. Même si évidemment il restait quelque chose dans l'atmosphère d'assez... Sombre.

S'approchant du bar, elle commanda une Bierreubeurre. Elle avait besoin de quelque chose qui réchauffait. A la fois pour oublier un peu ses propres soucis et pour décompresser aussi. Elle fit demi-tour ensuite sur ses pieds et parcourut la salle du regard, à la recherche d'une table libre. Ce qui était en fait assez difficile... Tonks se souvint qu'il y avait une sortie pour les élèves de Poudlard et par conséquent, la moitié du château devait être de sortie dans le village. En y réfléchissant, elle avait croisé pas mal de monde pour venir jusqu'ici. Beaucoup de tables étaient donc occupées dans le pub, surtout qu'il faisait assez frais dehors... Donc les élèves se réfugiaient dans les boutiques.

La jeune femme se faufila à travers les tables, manquant s'étaler par terre à plusieurs reprises à cause d'un sac d'élève qui dépassait de sous une table jusqu'à ce qu'elle finisse par se demander si elle ne devrait pas plutôt rester accouder au bar. C'est alors que son regard se posa sur un jeune homme plus loin qui portait une écharpe aux couleurs de Gryffondor et dont le visage lui était sensiblement familier même si elle ne pouvait en être sûr. Alors qu'elle s'était arrêtée en plein milieu de l'allée, elle se sentit bousculée par quelqu'un qui apparemment désirait passer – et ne connaissait pas le mot « s'il vous plait ». Sa choppe lui échappa des mains et manqua se renverser sur le sol. Quelques gouttes allèrent d'ailleurs s'y échouer.

« Vous ne pouvez pas avancer non, au lieu de bloquer le passage aux gens ?! » s'écria une voix bourrue et en colère. Colère qui fut bien inférieure à celle que ressentit soudain la jeune métamorphomage qui vit subitement ses cheveux devenir rouge écarlate. Peut-être aussi que cela fut aidé par le fait de ses hormones de femmes enceintes qui lui faisaient perdre plus facilement son calme... De même que ces temps-ci, elle avait tendance à se mettre à pleurer très facilement.

« D'abord ça ne se fait pas de bousculer les gens ainsi alors apprenez la politesse, et ensuite seulement vous pourrez venir vous plaindre !!! »

Les mains sur les hanches, elle fit volte face et s'éloigna de ce gros bonhomme malpoli mais s'arrêta quelques instants plus tard, posant une main sur sa tête. Et voilà elle s'était énervée... Son état lui imposait pourtant d'éviter toute état de contrariétés possibles. Elle se reprit bien vite et continua d'avancer...

Pourtant, elle s'immobilisa de nouveau. Elle venait de s'arrêter à proximité de la table du Gryffondor qu'elle avait aperçu plus tôt et sans doute curieux par le vacarme qu'il avait entendu, il avait relevé la tête de son journal. Elle ne comprit pas réellement pourquoi elle se sentit chanceler lorsqu'elle vint à croiser son regard mais c'est comme si... Comme si elle venait de voir un fantôme ou quelqu'un qu'elle avait espéré voir depuis très longtemps.

C'était impossible. Elle devenait folle. Voilà qu'elle avait des hallucinations maintenant et qu'elle le voyait partout... En plus, il était beaucoup plus jeune. Pourtant, cette sensation en elle persistait et elle était certaine de le connaître...

Elle connaissait ce regard... Elle le connaissait, elle le reconnaîtrait parmi des milliers... Et... Ce visage couturé de cicatrices... Non... Certes il restait plus jeune, les traits demeuraient plus fins que ceux qu'elle connaissait mais pour avoir parcouru ces cicatrices du bout des doigts des dizaines de fois... Elle les connaissait par cœur... Elle était incapable de prononcer le moindre mot ; instinctivement elle porta une main à son ventre et se sentit défaillir. Elle se rattrapa au premier dossier de chaise qu'elle trouva à sa portée.

La logique des choses veut que lorsqu'on lit le journal il faut lire une page par une page ou aller directement aux articles qui nous intéressent dans l'exemplaire qu'on a entre les mains. Mais le fait est qu'on ne reste jamais à fixer la date. Cela faisait pourtant dix minutes que je fixais la date du jour. Je ne me faisais toujours pas à ce bon dans le temps, ce n'était pas naturel du tout ! Il fallait trouver le moyen de retourner à la maison, à notre époque. Que se passe-t-il la bas ? Notre absence a telle été remarqué ? Cherche-t-on à nous faire revenir ? Nos parents sont-ils au courant ou sont-ils tenus dans l'ignorance ? Et ici à l'époque où nous somme arrivé n'est-ce pas malsain ? Le fait est qu'une personne saine d'esprit ne nous renverrait plus à notre époque. Pour la simple et bonne raison que nous ne sommes plus les mêmes à présent, nous en savons trop sur ce qui va se passer.

Et même si on découvrait le moyen de rentrer tout en jurant de ne rien changer ou révéler, on en arriverait tout de même à changer notre futur, par une décision si petit soit elle, pourrait engendrer des désastres sans nom. Voilà une conclusion qui me faisait mal au cœur. Mais une solution restai néanmoins... elle ne me plaisait guerre mais si cela permettait de tout remettre en ordre cela serrai sûrement plus bénéfique : nous effacer la mémoire, ou plus précisément effacer tous ce qui c'était passé dans le futur pour moi mais dans le passé pour d'autre. D'ailleurs, les personnes arrivant du futur comment font-il pour ne pas essayer de changer le passer ? Personnellement je ne sais pas ce que je ferai dans leur situation....

Je fus coupé dans ma contemplation de ma date et ma réflexion par une jeune femme qui remettait en place une personne et qu'elle femme, métamorphomage par la même occasion, c'était bien la première fois que je voyais ça, j'avais lu quelques lignes dans un grimoire au détour d'un rayons de la bibliothèque. Mais dans tous les cas, cette femme venait de remettre en place l'inconnu, pour une raison qui m'était égal et inconnu. Mais de toute évidence cela avait secoué la jeune femme car elle avança jusqu'à une chaise qu'elle cramponna non loin de ma table. Il m'était impossible de rester de marbre et de la laisser seule en état de choc ou énervement. Je ne saurais définir son état, toutes les personnes alertées par l'altercation entre les deux personnes avaient remis le nez dans leur boisson. Ne se souciant plus de ce qui c'était passé. Je me déplaçais donc doucement afin de ne pas non plus l’effrayer, il manquerait plus que ça. Étant donné mon apparence cela pourrait en faire fuir plus d'un. Une fois devant elle, je restais tout de même à distance dans un premier temps.

- Mademoiselle, ou plutôt Madame, venez, vous ne pouvez pas rester dans cet état, c'est un coup a vous effondrer sur le sol, vu le monde présent c'est un des meilleurs moyen de se faire piétiner.

[Ce coup-ci je lui pris doucement le bras, d'une main, dégrippant les doigts de la jeune femme un a un de la chaise de l’autre. Je la guidais jusqu'à ma table et lui titrai une chaise afin qu'elle s'installe.

- Si vous attendez une personne, vous le verrez arriver d'ici et vous aurez le temps de vous remettre tranquillement. Vous voulez boire quelque chose ? Ou manger, cela aide quand on est en état de choc !!

Je farfouillais dans mes poches tout en pesant que je me retrouvais inquiet pour une pure inconnu. James et Sirius allaient encore me charrier pendant un moment d'aider les inconnus ainsi. Bien que du peu de ce que j'avais réussi à voir de cette femme, autrement dit quand elle c'était mise à crier sur l'homme, qui entre parenthèse n'avait pas répondu. Cela devait être ça l'art et la manière de clouer le bec a une personne. Elle possédait un fort caractère mais était polie, de toute évidence, elle avait reçu une bonne éducation. Au bout de quelques secondes, je trouvais ce que je cherchais ! Une plaquette de chocolat pas encore entamé et une chocogrenouille. Je déballais la plaquette de chocolat et lui en coupait un large morceau que je lui présentais devant ses yeux.

- J'ai lu dans un livre que c'était bon d'en manger ! Allez-y !! Je vous promets qu'il est bon, pas un des meilleurs certes mais il devrait faire l'affaire, ou au moins vous redonner un peu le sourire !

Je regardais vers la porte d'entrée voir si elle était seule ou si elle était accompagné, tout comme je surveillais l'arrivé des maraudeurs, bien que pour ces derniers avant de les voir arriver il y avait encore pas mal de temps. D'autant qu'il y avait fort a parié que je les entendrais avant de les voir arriver. Je reportais mon attention envers mon inconnue.


[HJ: désolé c'est un peu court ! Désolé aussi pour le retard !! ]

Je fus plus rassuré lorsqu'elle mangea un peu je dois l'avouer. Et je répondis a ses premières paroles, de toute évidence une personne avais feuilleté le même grimoire que moi. A moins que cela soit enseigné dans un quelconque cursus après Poudlard. A moins que cela soit enseigné lors de la septième année ? Quoiqu'il en soit j'avais un point commun avec cette personne.

_Une personne fort bien avisé ce Quelqu'un !

Je lui adressais un sourire afin déjà de la mettre plus à l'aise et ensuite de me rassurer un peu aussi. Sa question bien qu'elle me fit à nouveau sourire je dus me retenir de donner spontanément mon nom.

Devais-je lui donner ? Je ne sais pas si c'était une bonne chose à vrai dire, si je lui donnais et qu'elle connaissait le moi de cette époque ? bien que je ne l’aie pas vue, tout comme Sirius. Pour mon cas ma mort devait être survenue à un moment ou un autre, ou, quand et comment je l'ignore. À moins que le moi de cette époque ai changé de pays. Bien que cela m'étonnerai fortement. Pourquoi je quitterai ce pays ? Fuir ? Je me mordais la lèvre ne sachant si je devais lui révéler mon nom, un fait banal et normal à donner. Pourquoi devrais-je lui cacher ? Je décidais de lui faire part en quelque sorte de mes pensées.

_Je ne sais pas s’il est prudent ou conseillé de vous le révéler. Vu ma situation, à vrai dire, je n'ai rien vue d'officiel qui m’empêche de vous le révéler. Mais je dois avouer avoir peur des rencontres que je pourrai faire.

Je faisais notamment référence aux nombreux changements, j'avais rencontré Harry, le fils né de l'union de deux personnes qui me sont chère. Pourtant à l’époque où j'étais même si les deux avaient des sentiments l'un envers l’autre. Il semblerait qu'ils aimaient tourner autour du pot ou le faire tomber. Et encore mieux le futur Harry finirait pas être avec un Malefoy qui aurai crut ça un jour? je ne parle pas de leurs relations amoureuse, ça cela les regarde. Mais jamais je n'aurais pensé voir un Potter et un Malefoy ensemble et encore moins avoir des enfants. Cela faisait beaucoup et je dois avouer qu'il fallait que j'ai une conversation avec James en tête à tête afin de savoir un peu ce qu'il pense de tout ça mais surtout comment il le gère. A vrai dire comment il le gérait était une grosse épine dans mon pied. Avec lui tout est possible et ses réactions souvent impossible à prévoir. Et je dois avouer que cela commençait a fortement m’inquiéter.

_Il y a des choses que je suis curieux de savoir mais je dois avouer que je ne sais pas si je dois savoir ces choses. Vous comprenez ?

Non mais Rémus quel imbécile !! Peut être qu'elle n'était pas au courant de tout le récent remue-ménage qui a eu lieu entre les générations futur et passé. D'autant qu'il était fou de parler de ça à une inconnue surtout à cette époque sombre, très sombre. Que mon époque me manque déjà tout était alors plus simple.

Néanmoins, je savais que je pouvais avoir confiance en cette personne. Elle ne semblait pas hantée par le mal. Oui je sais les apparences sont largement trompeuses, j'en suis le parfait exemple. Quoiqu'il en soit je pense que je peux me fier à ce que je ressens et tout en cette personne m'indique que ce n'est pas une ennemie. La question restait entière tout du moins. Premièrement il me fallait son nom et secondement savait-elle pour le mélange des générations ?

_Je dois avouer ne pas aimer agir de la sorte, et je vais vous paraître impoli. Excusez-moi par avance. Mais je ne vous ai pas donné mon nom pour une raison simple. J'aimerais savoir tout d'abord si vous savez ce qui s’est passé à Poudlard, le mois dernier ? Mais j'aimerai aussi connaître votre nom. Oui je sais c'est très impoli ! Excusez-moi encore

Je ne pouvais être que désolé, je n'avais a aucun moment penser que je rencontrerai quelqu'un en dehors des élèves de Poudlard. Et l'évidence était là, je ne savais pas comment me comporter ou encore réagir la dessus.

Je fus soulagé de savoir qu'elle était au courant et d'autant plus d'apprendre qu'elle était auror, peut-être avait-elle des informations qui pourraient me dire comment agir?

Il était clair que les chances de retourner à mon époque étaient mince, et même si cela venait à ce passé, qui serai assez fou pour nous laisser repartir avec tout ce que nous savons sur le présent ? Non il était clair, net et précis que notre mémoire serait effacé.

- Auror... Vous savez peut être ce qu'ils vont faire de nous ? Ce n'est pas naturel notre arrivé...Il doit y avoir un moyen de nous renvoyer non ? Et un sortilège pour supprimer de notre mémoire ce voyage dans le temps ?

Les questions étaient nombreuses a tournoyer qu'a force cela me donnait le vertige rien que d'y penser. Comme un enfant qui mets ses bras en croix et qui se mets à tourner, tourner, tourner sur lui-même jusqu'à en tomber sur le sol. Seulement si l'enfant lui était mort de rire, Je ne l'étais pas, je n'aimais pas être dans ce flou. Et mieux je ne savais même pas comment agir pour la pleine lune. Je ne peux pas rester à Poudlard, mais la cabane hurlante est-elle encore sur ? Ce qui me ramena a l'atmosphère apaisante du bar fut d'entendre le nom, Prénom ? De la jeune femme, ce qui me fit sourire, de toute évidence il y avait une partie de son nom ou prénom qu'elle n'appréciait guerre pour qu'elle veuille qu'on l'appelle ''juste Tonks''.

- Juste Tonks alors parce que vous n’aimez pas votre prénom ? Y a-t-il une chance que vous me connaissiez ou m'ayez connu ? Mes amis ont eu de sacré surprise en arrivant ici...

Je pensais a James et Lily essentiellement, après tout pourquoi pas, si ils avaient vu, parlé à leur fils, j'avais le droit de savoir aussi non ? Je répondis à nouveau à Tonks, au sujet de son don, elle n'était pas passé inaperçu en changent de couleur de cheveux.

-Oui, il était difficile de passer à côté vus la couleur des cheveux. Pourquoi d'ailleurs, si ce n'est pas indiscret vous avez réagi ainsi ?

Je n’avais pas vus grand-chose de l’altercation, j’avais levé la tête de la Gazette du Sorcier qu’au moment où j’avais entendu Tonks crier après la personne et donc voir ses cheveux passer du châtain au rouge, tout comme je commençais a sérieusement me demander pourquoi elle c’était senti mal d’un coup. Avait-elle vu une personne et cela l’avait contrarié ou, ou je ne sais pas à vrai dire.




[HJ: Désolée a nouveau pour le temps de réponse et pour la pauvreté de la réponse >< je dois avouer ne pas avoir beaucoup d'imagination en ce moment]