Ariel & Maria ☆ La mode se démode, le style jamais [pré-intrigue]

FEAT. ARIEL & MARIA

Pré-intrigue

La mode se démode, le style jamais.

En arrivant à Pré-au-lard, Lola et Peter avaient tout de suite émis l’envie de manger quelque chose. J’avais alors regardé Peter dans le fond des yeux, mal à l’aise. Nous étions ici pour acheter une tenue pour le bal. Un bal où il aurait pu m’inviter ou j’aurais pu l’inviter. Mais ni lui ni moi n’avions fait le premier pas, si bien que j’avais décidé de m’y rendre seule. Les nerfs à fleur de peau, je leur avais dit d’y aller sans moi préférant acheter ma robe en premier lieu. Ils s’étaient éloignés sans discuter, sachant tous deux que rien ne me ferait changer d’avis. Mes yeux se posèrent alors sur une chevelure reconnaissable entre mille, ma mauvaise humeur s’en alla aussitôt et je courus vers la gryffondor avec qui je m’entendais si bien. « Ariel ! » Je me postais à côté d’elle, lui souriant de toutes mes dents. « On fait du shopping ensemble ? » J’étais certaine qu’elle ne refuserait pas, la mode ça nous connaissait toutes les deux et c’était cela qui nous avait rapproché. Elle n’eu même pas le temps de me répondre qu’un poids s’abattit sur nous. « Alors si je vous dis que j'ai l'intention de vous coller jusqu'à ce que vous trouvez une robe qui vous convienne, vous me mangez ? » Je me retournais, baguette en main, prête à envoyer bouler la personne qui avait osé nous surprendre ainsi. Mes yeux se posèrent alors sur une fille que j’avais déjà croisée en cours. Une gryffondor. Je l’avais trouvé jolie à ce moment-là et ma colère partie en fumée. C’était fou comme j’étais lunatique ! Mais que voulez-vous j’ai mes têtes et la tête de cette fille, je l’aimais bien. En plus elle était de mon temps et de mon année, c’était une certitude. En plus, elle voulait nous aider à trouver une robe, ce genre de fille ne pouvait être que la bienvenue. Je lui adressais un sourire tout en rangeant ma baguette. « Tu m’as fait flipper ! La prochaine fois préviens, j’aurais pu te blesser… » Je sentais moi-même le sourire qui ornait ma voix.

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Spoiler:

Pré-Intrigue

« Ariel ! » La dénommée Ariel, qui jusqu'à là, se dirigeait forever alone, vers le village des sorciers dans le but d'assouvir sa folie acheteuse pour le bal qui arrivait ; se retourna et eût le plaisir de se retrouver face à une de ses grandes amies, Elena Abrahams. Un sourire ravi s'étira sur les lèvres rose de la rouge et or et cette dernière accueillit son amie avec plaisir. Cette dernière lui proposa joyeusement de se joindre à elle pour le shopping de la journée. Avant même qu'Ariel ait pu s'exclamer de façon un peu trop voyante, enthousiaste et vive sa joie de l'avoir à ses côtés pour cette journée qui ferait d'elles les plus belles sur la piste de danse le jour de bal, un autre voix retentit à l'arrière, voix qui leur sautait littéralement dessus : « Alors si je vous dis que j'ai l'intention de vous coller jusqu'à ce que vous trouvez une robe qui vous convienne, vous me mangez ? » Dans un sursaut, la jeune femme se dégagea violemment de cette folle qui venait de leur atterrir dessus tandis qu'Elena avait dégainé sa baguette. En face des deux amies se trouvait Maria, une élève de Gryffondor de la même année qu'Ariel, venant du présent. Genre on ne sait pas se choisir une robe, pensa acerbement la jeune Gryffondor du futur. Cette fille venait de l'agacer au plus au point, et la renvoyer d'où elle venait n'était pas l'envie qui lui manquait. Même si on pouvait dénoter la bonne attention dont la brune voulait faire preuve. Ariel fronça les sourcils alors qu'Elena annonçait : « Tu m’as fait flipper ! La prochaine fois préviens, j’aurais pu te blesser… » Immédiatement, la jeune femme se détendit. Ariel était comme Elena sur les bords. Lunatique. Qui se ressemble s'assemble. Enthousiaste, le rire cristallin de la petite sirène se fit entendre et d'une voix joyeuse, elle déclara : « Oh my fucking god, t'es folle ! J'aurais pu faire une crise cardiaque par ta faute ! » Bien qu'Ariel ne connaissait pas personnellement la jeune Maria, la futuriste s'approcha et lui fit une bise dynamique, puis salua son amie qu'elle n'avait pas eu le temps de saluer. « Bon, je vous préviens tout de suite. Il faut que je passe à la filiale de Weasleys, farces pour sorciers facétieux ! Oh et puis s'il y a un peu trop de monde dans les magasins, on aura qu'à les pousser ! » Ariel ria de nouveau, consciente d'être un peu trop bavarde et excitée.

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► Awkwardness does not kill.

Embêter les gens était pour moi plus qu'une habitude, c’était une manie presque. Involontaire, peut-etre, mais je supportais tellement pas de rester seule que j’étais obligée de toujours avoir quelqu'un avec qui rester. Et a force de les coller je devais les saouler. Enfin je dis ça, je sais pas, c'est mon impression. Mais c'est juste tellement déprimant de devoir trainer toute seule alors qu’étais ce genre de fille comme beaucoup d'autre, qui adore s'amuser et ne supporte pas l'ennuie. Surtout dans un moment comme celui-ci, dans un contexte aussi passionnant que d'aller acheter une nouvelle robe. Précisons que mes connaissances en mode étaient proche de zéro (oui, j'ai honte!), mais je n'ai jamais vraiment fait attention a mes vêtements vu que nous devions porter un uniforme au collège. Et les seules tenues que j'avais m'ont ete offerte par des personnes ayant toute la classe internationale, je n'avais donc pas de soucis a me faire la dessus.
Mais revenons a mes deux petites victimes. Dans ma tête, je hurlais silencieusement une prière pour pas qu'elle ne me repoussent au risque de passer pour l’imbécile de première classe. J'etais surement un peu immature sur les bords quand je ne suis plus dans un contexte scolaire, mais qui ne l'est pas? Visiblement, elles étaient surprise par mon débarquement improvisé. La poufsouffle avait meme sortie sa baguette, et Ariel avait sursauter comme si une bombe venait d’éclater près d'elle. Je fis quelques pas en arrière pour leur laisser de l'air. La poufsouffle, que je reconnus enfin comme une certaine Elena, immédiatement suivie par ma camarade de maison, me dit que je lui avait fait peur et que j'aurais pu la prévenir, au risque de me blesser. Je souris, amusée et gênée a la fois. « 'Scusez moi, c'est l'excitation, vous savez... » Puis ce fut les bonjours avec une bise de la part d'Ariel qui me surpris un peu, et nous étions parties pour cette chasse a la robe. « Bon, je vous préviens tout de suite. Il faut que je passe à la filiale de Weasleys, farces pour sorciers facétieux ! Oh et puis s'il y a un peu trop de monde dans les magasins, on aura qu'à les pousser ! » Passer acheter quelques farces? Et pousser quelques personne? Mais voila qui semblait etre une bonne idée! J'avais aussi quelques petits gadgets qu'ils fallait que j’achète, en ce moment dans le dortoir c’était la guerre des farces. Les nouvelles première années étaient des véritables chipies a ce niveau, et les gens des autres époques étaient tous aussi joueur. Jamais les dortoirs des lionnes rouge et or n'a jamais été aussi bordélique. « Ben pourquoi pas! Mais après j'aurais vraiment besoin d'un coup de main pour la robe, parce que moi et la mode on fait deux. Puis pour me faire pardonner et mon intrusion, je vous payerai une bierraubeurre. Ca marche? »

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Pré-intrigue

La mode se démode, le style jamais.

Je n’aimais pas spécialement avoir peur, à vrai dire, je n’aimais pas ça du tout, c’est pourquoi je partais au quart de tour lorsque c’était le cas. Maria avait eu beaucoup de chance. « Oh my fucking god, t'es folle ! J'aurais pu faire une crise cardiaque par ta faute ! » Je hochais la tête, Ariel avait raison. On avait toutes les deux risquées la crise cardiaque, en plus, comme il y avait des mangemorts qui n’avaient pas encore été arrêté, ce n’était vraiment pas très malin de faire. Enfin, heureusement que j’étais lunatique, je l’avais finalement bien pris, c’était comme ça lorsque j’étais dans un bon jour. « 'Scusez moi, c'est l'excitation, vous savez... » Oui, je savais ce que c’était. Lorsque j’étais excitée on ne pouvait plus me tenir, une vraie furie, Lola s’en était plainte de nombreuses fois. Je regardais Ariel faire la bise à Maria, amusée. Elle ne la connaissait pas et allait tout de suite vers elle ! C’était assez drôle en soi. Je me contentais d’un petit bonjour. Puis Ariel me salua, comme elle n’en avait pas eu le temps, je fis de même, me retenant tant bien que mal de rire. « Bon, je vous préviens tout de suite. Il faut que je passe à la filiale de Weasleys, farces pour sorciers facétieux ! Oh et puis s'il y a un peu trop de monde dans les magasins, on aura qu'à les pousser ! » Le rire d’Ariel était contagieux, je me joignis à elle. Je n’étais pas fan des farces, on avait d’ailleurs tendance à me dire que j’étais parfois trop sérieuse et terre à terre. Mais si une blague était réellement drôle, j’étais la première à en rire. Je n’étais pas si compliquée que ça. J’acquiesçais donc à la proposition, qui n’en était pas vraiment une d’Ariel. Pour pousser, c’était moi la meilleure. « Ben pourquoi pas! Mais après j'aurais vraiment besoin d'un coup de main pour la robe, parce que moi et la mode on fait deux. Puis pour me faire pardonner et mon intrusion, je vous payerai une bierraubeurre. Ça marche? » Cette fois, l’excitation me gagna à mon tour. La mode ! Maria voulait qu’on l’aide ! Finalement, j’allais vraiment apprécier cette fille si elle me laissait refaire sa garde-robe. Quant à la bierraubeurre pourquoi pas si elles avaient le temps ? Ça pourrait toujours être sympa de faire plus ample connaissance autour d’un verre. « D’accord je suis partante ! » dis-je à l’attention d’Ariel, puis je me tournais vers Maria. « Tu as de la chance ! Tu viens de tomber sur les deux filles les plus classes de Poudlard ! » J’adressais un clin d’œil à la rousse, certaine qu’elle était de mon avis. « Tu vas voir, on va faire de toi une véritable star ! » Sur ces mots je me dirigeais vers la boutique Wesley en vérifiant que les deux gryffondors me suivaient, leur adressant un sourire éclatant. « Allez, on se dépêche si on veut avoir le temps de tout faire ! » Impatiente ? Non, bien sûr que non….

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« 'Scusez moi, c'est l'excitation, vous savez... » Oui, Ariel se doutait que c'était l'excitation qui lui avait faire ce genre de choses. Bon, peut-être pas que la petite sirène aurait sauté sur quelqu'un. En faite, je n'ai rien dit. Ariel aurait été du genre à sauter sur tout le monde pour exprimer sa joie incommensurable d'aller faire du shopping. La rouge et or hocha la tête, compréhensive. Elle était d'ailleurs persuadée qu'Elena aurait été capable de faire de même, énergique et vive comme la blonde l'était. Qui se ressemble, s'assemble me direz-vous. Ariel fut heureuse de voir que la sortie commençait dans le rire. Rien de tel pour quintupler sa joie et son enthousiasme grandissant. « Ben pourquoi pas! Mais après j'aurais vraiment besoin d'un coup de main pour la robe, parce que moi et la mode on fait deux. Puis pour me faire pardonner et mon intrusion, je vous payerai une bierraubeurre. Ça marche? » Quand je disais que l'excitation d'Ariel n'était que grandissante, je n'avais pas tord. Elle était actuellement entrain de sautiller sur place, comme une enfant à qui on venait d'annoncer une nouvelle qui allait changer sa vie à jamais ! La petite sirène échangea un regard complice alors qu'Elena annonçait : « D’accord je suis partante !. Tu as de la chance ! Tu viens de tomber sur les deux filles les plus classes de Poudlard ! Tu vas voir, on va faire de toi une véritable star ! Allez, on se dépêche si on veut avoir le temps de tout faire ! » - « Elena a raison ! Nous sommes les filles les plus classes de Poudlard ! Oh ! Et avec les plus beaux cheveux également ! Tu vas être l'une des plus belles pour aller au bal ! C'est une promesse. » Les jeunes filles s'approchèrent de plus en plus de la boutique préférée d'Ariel qui lâcha un cri d'extase avant de se mettre à courir en criant : « ALLEZ ! DEPECHEZ-VOUS » De cette manière, elles rentrèrent dans le magasin. Ce qui était bien avec Ariel, c'est qu'elle savait ce qu'elle voulait acheter et connaissait le magasin à l'identique. Il était le même à son époque, et cette pensée lui réchauffa le cœur. Sans plus attendre, la jeune femme partit se chercher deux boîtes à flemme, des pousses-rikiki, une nouvelle plume à vérificateur d'orthographe et des pralines longues langues. Ariel lança un sourire éclatant aux jeunes filles qui l'accompagnaient avant d'attendre son tour pour payer ses achats.

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► We're sexy and we know it.

On devait ressembler a des petites gamines sur le moment. Même de loin, n'importe quel passant devinerait surement que nous étions les pires hystériques, et nous ne faisions pas grand chose pour le cacher. Apparemment, je venais de tomber sur les deux filles les plus classes, les plus belles et avec les plus beaux cheveux, ce que je croyais volontairement. C'est vrai qu'Ariel, avec ses yeux espiègles et ses traits rieurs et Elena avec son visage angélique avaient tout pour plaire. Bon je vais me taire ici, parce que j'ai l'air d'une lesbienne. Heureusement que personne peut lire dans mes pensées! Je leur fis le plus grand sourire, heureuse et flattée de leur gentillesse. Pour la première fois depuis un bon moment je sortais a prè-au-lard avec des amis. La dernière fois, mes camarades avec qui je trainais avaient reçu une retenue, et avaient été prives de sortie. J'avais donc errer seule dans les rues du village, me consolant avec des tasses de chocolat chaud au grappa. Je me sentais toute légère, et avec une petite nostalgie, me promis d'essayer de faire copine-copine avec ces deux créatures que je trouvais déjà géniales.
Nous étions a moins de dix mètres du fameux magasin de farces et attrape que Ariel poussa le cri le plus euphorique possible, avant de hurler « ALLEZ ! DEPECHEZ-VOUS »! Des vrais gamines, vous dis-je. Sans réfléchir, nous la suivies au même rythme qu'elle et nous engouffrions dans le magasin. Alors que chacun d'entre nous allait de son coter, j'hurlais a travers le magasin, demandant des conseils a Ariel quant aux meilleurs idées pour piéger mes camarades de dortoirs. Les rayons étaient de tous les couleurs et présentais les produits aussi étranges les uns que les autres. Je pris en plus quelques lampion explosif et ces fameuses plumes qui écrivent toute seule. Puis on passa tous a la caisse, et je sortis attendre les deux demoiselles dehors une fois mes achats payer. Je sautillais sur place, fourrant rapidement mon petit paquet de farce et re-ajustant ma veste et mon écharpe, l'esprit remplis de tissus de matières différentes, de couleurs différentes, de robes moulantes, volantes, longues et courtes, et j'avais déjà hâte de voir a quoi ressemblerait les trois plus jolies filles de Poudlard.

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SHOPPING !

La mode se démode, le style jamais

« Elena a raison ! Nous sommes les filles les plus classes de Poudlard ! Oh ! Et avec les plus beaux cheveux également ! Tu vas être l'une des plus belles pour aller au bal ! C'est une promesse. » Évidemment qu’elle avait raison, elle avait toujours raison. La remarque sur les cheveux lui tira un sourire, Ariel était obsédée par les cheveux ! Encore plus qu’elle ! Elle avait raison de dire l’une, parce que les plus belles seraient certainement Elena et Ariel, elles savaient vraiment bien y faire avec la mode. Elles se dirigèrent vers la boutique Weasley qui avait rouvert à la rentrée. Fred était mort et George avait voulu faire son deuil avant de rouvrir. « ALLEZ ! DEPECHEZ-VOUS » La blonde leva les yeux au ciel, la rousse était impossible ! En plus, Elena avait mis des talons, bah oui c’était mieux pour essayer les robes ! Elle se mit donc à courir autant qu’elle pu. Elles se séparèrent en entrant dans le magasin, ce n’était pas vraiment son genre, mais elle s’acheta tout de même une plume à vérificateur d’orthographe, paya ses achats et fui le monde qui se bousculait dans la boutique pour rejoindre Maria avec un sourire. Peu de temps après, Ariel les rejoint et elle s’exclama aussitôt. « Allez, maintenant aux robes ! » Elle était tellement pressée ! Elle sautillait limite sur place à présent. Elle voulait s’acheter une robe !

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Pré-Intrigue

Le magasin était toujours aussi énorme, toujours aussi fantasmagorique et fantasmatique ! Ses couleurs lumineuses et chaudes relevaient du pays des merveilles. Et Ariel se sentait réellement pousser des ailes lorsqu'elle déambulait dans les multiples rayons en attrapant les produits clés qu'elle avait besoin. A la caisse, la petite sirène put apercevoir notre petite squatteuse adorée, Maria, payait ses quelques achats avant de sortir puis d'être rejointe par la princesse Raiponce, qui, elle aussi, avait terminé ses achats. Cela n'étonnait pas plus Ariel de savoir qu'elle serait la dernière à sortir du magasin Weasley. Cela paraissait même être une évidence. Avec un sourire espiègle pour le vendeur, Ariel sortit toute guillerette, à son tour, de la filiale afin de rejoindre ses deux compagnes. Ariel ne put qu'élargir son typique sourire mutin et adorable lorsqu'elle eut conscience de ce qui allait se passer par la suite. Elena lui confirma même sa pensée : « Allez, maintenant aux robes ! » La jeune Hemingway se voyait déjà entrain d'hésiter entre de multiples robes, toutes aux tissus merveilleux et si différents les un des autres. De robes avec de la dentelle, des robes en mousseline de soie, des robes bustiers et quelque peu échancrées. Les possibilités étaient telles que ça lui faisait déjà tourner la tête de plaisir. De plus, elle se permettrait ainsi de s'acheter LA paire de chaussures qui s'accorderait voluptueusement et parfaitement à sa tenue. De cette manière, Calixte Ariel ne retint pas son cri d'excitation et trainait dors et déjà ses camarades, vers LE magasin de Pré-au-Lard qui leur permettait de s'acheter de merveilleuses robes de soirées et de bal, de qualité équivalente à celle des robes trop chères pour leur budget d'étudiant. Enfin. Surtout pour le sien, étant donné qu'elle venait du futur. Ce fut donc avec une joie incommensurable qu'elles entrèrent toutes trois, dans ce qu'Ariel appelait le paradis bis.

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► Make a princess out of me.

Elle montait, elle voulait pas redescendre! C'était quand déjà la dernière fois que j'avais ressentit autant de plaisir a faire les magasins? Peut-etre l'été dernier, avec Lina quand notre tante venait de nous remplir nos caisses d'épargnes. Peut-etre! En tous cas, cela important peu, pour le moment, elle montait toujours. Qu'est-ce qui montait? Toute l'excitation que j'éprouvais en ce moment en compagnie d'Ariel et d'Elena a la recherche de robes qui feront de nous des princesses. Le chemin qui séparait le magasin de farce et attrape a la boutique aux merveilles, on fit les premiers dix mètres au pas rapide, voulant garder un minimum de décence et ne pas paraitre trop hystérique, puis jugeant que la décence n'était bonne qu'a etre mise la ou je pense, on finit le chemin au pas de course, voir en courant. C'est Ariel, probablement la plus excitée d'entre nous, qui entra d'abord dans le magasin. Elle quelques seconde, on l'avait déjà perdue au milieu de tous ces tissus colores qui engouffrait aussitôt Elena. Et je restais la, plantée, les suivant lentement et laissant ma main glisser sur les robes. Je ne savais pas quel couleur, quel style, quel longueur ni quel tissu m'irait bien, et encore moins comment je voudrais ma robe. Elles étaient toutes si belle!
Je laissais les deux amies chercher leur bonheur seule pour un moment, sortant aussi quelques robes de leurs rayons, réfléchissant sur les couleurs et le style. J'évitais tout de suite le rose et le blanc que je trouvais trop classique et salissant, de même que le noir qui faisait trop sombre et sérieux pour un bal. Je restais loin du jaune aussi, trouvant cette couleur trop pétante canari. Finalement je me retrouvais toute seule devant cet éventail de robes, j'en pris deux au hasard, une longue rouge et une bleu qui arrivait mi genoux, et me dirigeais vers Ariel, a la recherche de conseils.

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Petite trouvaille

La mode se démode, le style jamais

EElena gardait bien l’œil sur l’heure, elle se connaissait assez pour savoir qu’elle aurait sans doute du mal à trouver la robe parfaite pour le bal. De plus, si elle savait qu’Ariel pouvait fort bien se débrouiller pour trouver une robe digne de ce nom, elle se rappelait parfaitement que Maria leur avait avoué ne rien connaître en mode. Il faudrait donc qu’Ariel et elle l’aide à trouver la robe parfaite. La rousse fut la première à pénétrer dans la boutique, sans grand étonnement de la part de la blonde qui s’y engagea à sa suite et n’attendit pas ses compagnes pour parcourir les rayons. Elle les regarda un à un et tomba sur LA robe. Cette robe était absolument parfaite, noir en tulle, cela mettrait en valeur sa blondeur. Elle était magnifique. Elle s’en saisit et alla de suite l’essayer. Puis, elle se dirigea vers ses deux amies, observant au passage les autres robes, non pas pour elle, car elle était persuadée d’avoir mis la main sur le gros lot, mais pour Maria. Elena n’aurait jamais pensé qu’elle trouverait une robe aussi vite, elle s’arrêta alors devant les paires de chaussures et pris des escarpins noirs. Elle qui était petite, cela la grandirait quelque peu. Elle retourna alors à sa recherche de robe pour la gryffondor, finalement, elle vint près de la brune avec les bras chargés de tissus de différentes couleurs. Elle ne connaissait pas les goûts de Maria, elle avait donc pris à peu près de tout et en tout, ses bras étaient encombrés de huit robes. Elle se planta devant la brune qui était avec Ariel avec un sourire sadique. Elle lui tendit les tissus. « Tu vas dans une cabine d’essayage et tu vas nous faire un défilé, Ariel et moi déciderons ensemble de la robe qui te va le mieux. » Elena adressa un clin d’œil à la rousse tout en poussant la brune vers les cabines. Elle montrait bien à Maria qu’elle n’avait pas à protester. Elle se saisit d’un tabouret et s’assit devant la cabine, satisfaite. Elle espérait que l’une des huit robes serait la bonne. Personnellement, elle avait eu un petit faible pour la longue blanche, qui faisait vraiment bal, pour la noire moulante en simili cuir et la robe violette assez classique.

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We are princess !

Evidemment, la première à rentrer dans le magasin fut Ariel. Cette dernière sut qu'Elena et Maria l'imitèrent en rentrant à leur tour dans la boutique. La boutique exposait un grand nombre de robes et la petite sirène savait dors et déjà que trouver une robe, la robe parfaite, là-dedans serait une mission des plus périlleuses. Ariel semblait être habitée d'un certain James Bond. Comme 007, la gryffondor serait capable de ruser si une pimbêche souhaitait prendre la robe de sa vie. Oui, bon, Calixte la pousserait juste ou lui jetterait une bombabouse sur elle. Au choix. Dans tous les cas, elle esquiverait tous les obstacles afin d'atteindre son but ultime : la tenue rêvée ! Laissant la Poufsouffle et sa camarade de Gryffondor, se promettant d'aller les aider au cas-où, la rousse se dirigea à vive allure dans les rayons, regardant, triant, jugeant les robes qui pourraient ou pas lui aller. Dans les faits, la tâche se révèla plus difficile que la jeune Hemingway ne l'aurait imaginée. Voilà qu'elle se retrouvait avec deux robes particulièrement ravissantes et deux paires de chaussures tout aussi sublimes, qui complèteraient à merveille chacune des robes prises. La première était une robe courte arrivant au dessus des genoux de couleur rose pâle avec des dorures. Le haut du corps cintré, la robe soulignait parfaitement la poitrine de la demoiselle. La paire de chaussures qu'Ariel avait choisi pour compléter cette magnifique robe, était une paire d'escarpins de la couleur de la robe au talon noir. La seconde robe, elle, au contraire, est une robe longue de couleur rouge, s'accordant à la perfection à sa chevelure. Se croisant au niveau du cou, un peu au dessus de la poitrine, où chaque sein était recouvert par la continuité du tissu, le tissu s'accrochait derrière la nuque et retombait élégamment pour se mêler au bas de la robe. Cette robe laissait apercevoir un dos-nu extraordinaire. La paire de chaussures, quant à elle, était une paire d'escarpins blancs, ressemblant parfaitement à une paire de Louboutins. Immédiatement, lorsqu'Ariel essaya les tenues, elle se rendit compte que la seconde s'accordait bien mieux à l'esprit bal que la première qui s'approchait plus de l'esprit cocktail. Rayonnante dans cette robe, elle s'imaginait déjà capter les regards lorsqu'elle avancerait sur la piste de danse mise en place pour l'occasion. Un sourire large barra son visage, et sortant de la cabine, la jeune femme partit reposer la première tenue avant de rejoindre Elena et Maria. « Tu vas dans une cabine d’essayage et tu vas nous faire un défilé, Ariel et moi déciderons ensemble de la robe qui te va le mieux. » Ariel rit à cette remarque tandis qu'Elena rajoutait les tenues qu'elle avait choisies par-dessus les deux que Maria s'était choisie elle-même. Poussée par la poufsouffle, Maria n'avait pas trop le choix. Elle devait approuver sinon elle subirait les foudres de la blonde. Imitant son amie, Ariel attrapa un tabouret à son tour et se posta devant la cabine de sa camarade de chambre, avant d'annoncer : « Maria !Essayes quand même les robes que tu as choisies ! Elles ont l'air d'être très jolies portées. »

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la robe et les chaussures (1):

la robe et les chaussures (2):

► Make a princess out of me.

“Mais, mais...” Mais il n'y avait pas de ''mais'', et je le compris rapidement alors que les filles me fourrèrent une tonne d'habit par dessus ceux que j'avais pris au hasard et me poussèrent dans la cabine. Elles semblaient avoir déjà trouver toutes les deux leur robe qui feraient d'elle des princesses. Elena avait dégoter une robe noire et Ariel une rouge. Je me sentais stupide sur le moment parce que j'adorais la mode, et pourtant je n'avais strictement aucune connaissance en la matière. Finalement, c'est elle qui allaient rester avec moi jusqu'a ce que je trouve une robe qui me convienne et pas le contraire! J'affichais mon plus grand sourire alors qu'Elena tirait le rideau de la cabine d'essayage derrière moi. Je posais les 10 robes sur le support prévu a cet effet, et commençait par essayer celle du haut de la pile. Une rose, moulante, qui ne me plaisait pas du tout. Je sortis la tete hors de la cabine avec la robe, la tendis a Elena "Pas de rose pour moi, merci! Et mes hanches sont trop larges, elle se verraient trop avec une robe moulante!" Ca, c’était moi qui complexais a fond, et j’espérais que les autres comprendraient que même si elles trouvent la robe ravissante, je ne serais pas a l'aide dedans. La deuxième robe était une robe mauve légèrement satinée, sans manche ni bretelle qui m'arrivait au dessus des genoux. Violet? Pourquoi pas, j'aimais bien cet couleur. J'attachais mes cheveux en queue de cheval afin de montrer mes épaules et mon cou pour que les filles puissent juger, enfila la robe et ouvrit le rideau. "Trop.. courte pour un bal, non?" J'improvisais des commentaires au pif, ne voulant pas paraitre trop inculte a coter de ces deux. Tournant sur moi même une fois, puis deux, les laissant me regarder sous tous les angles, je redisparus ensuite derrière le rideau et essaya la robe suivante. Noir? Non, pas de noir non plus, meme si la forme me plaisait bien. Je tenais ça de mes parents, mon père n'aimais pas les couleurs trop sombres et ma mère ne portait que des vêtement colorés qui lui donnaient cet aura de bonheur, et je me tenais a l’écart des vêtements sombres sauf pour les occasions spéciale ou un look plus vulgaire etait nécessaire. Je la mis de coté et pris la suivante. Une autre robe violette. Encore du violet, mais celle ci était plus simple et moins ample que la première. Malgré qu'elle soit moulante et que je ne voulais pas montrer mes hanches, elle me plaisait. Je l'essayais et sortie encore une fois, répétant mon ''défilé de mode devant les filles''.
"Jusqu'a la, quelque chose vous convient? Elena la noir est belle mais je vais éviter les couleurs sombres, a moins qu'il y ait vraiment quelque chose de magnifique.."

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Pré-intrigue

La mode se démode, le style jamais

« Maria ! Essaye quand même les robes que tu as choisies ! Elles ont l'air d'être très jolies portées. » Elena acquiesça à la proposition d’Ariel, plus Maria essayerai de robes, plus elle aurait de chance de trouver la robe parfaite. D’ailleurs, la blonde se tourna vers la rousse et observa attentivement les deux robes que la jeune gryffondor essaya. Elena eu tout de suite le coup de foudre pour la rose ! Elle était vraiment magnifique et il se révéla qu’Ariel pensait la même chose qu’elle, ce qui la ravie. Elles avaient vraiment les mêmes goûts ! Elle se tourna ensuite vers Maria qui apparaissait et disparaissait avec différentes robes. « Jusqu'a la, quelque chose vous convient? Elena la noir est belle mais je vais éviter les couleurs sombres, a moins qu'il y ait vraiment quelque chose de magnifique… » Elena acquiesça, chacun ses goûts et Maria n’aimait pas les couleurs sombres, c’était bien loin de la déranger, au contraire, ainsi elle connaissait mieux les goûts de la brune. « J’aime bien la rose, mais elle fait plus robe de soirée que robe de bal, pourquoi n’essayerai-tu pas la blanche ? Je suis certaine qu’elle serait parfaite et donnerait un contraste saisissant à ta peau ! Oh et essaie celles que tu t’étais choisies aussi ! C’est important que tu les essais. » Elle lui adressa un clin d’œil complice lorsque son regard capta quelque chose. Elle se tourna vers un bout de tissu qui dépassait entre deux robes. Elena s’en approcha et découvrit une magnifique robe rose. Elle en resta bouche bée. Bon elle se retrouvait avec deux robes maintenant, elle devait demander à ses amies laquelle lui allaient le mieux. Elle se jeta dans une cabine d’essayage et sorti de la cabine deux fois, avec les deux robes. Fort heureusement, quelle que soit la robe que les filles préféraient, elle garderait ses escarpins. Elle pris la pose devant elles. « Alors ? Rose ou noire ? »

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