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 Quand une complicité née [Izar]

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MessageSujet: Quand une complicité née [Izar]   Quand une complicité née [Izar] Icon_minitimeLun 9 Jan - 20:18

Une lettre. Le père d'Irinushka lui écris.

Citation :
Ma très chère fille,
Je me doute que tous ce que nous te demandons dois bien te peser. Mais aujourd'hui encore je fais appel à toi. Pour nous Londres est encore bien loin. Ma fille je te demande ce matin d'aller dans le magasin, tu sais bien duquel je parle, et de récupérer l'objet, tu sais également lequel. Dis au vendeurs que cela viens de ma part, il saura quoi faire.
Mon enfant je sais que tu es une grande fille, je sais aussi que tu connais beaucoup de la magie mais tout de même je te demande de faire attention, ne touche pas l'objet que l'on va te remettre. tu comprendra en le voyant.
Garde le près de toi, je t'en fais cadeaux.
Prend soins de toi.
Ivannov qui t'aime

*Et bien je sais ce qu'il me reste à faire.* pensât la jeune femme.

Rapidement elle attrapa ses affaires et traversa la rue. Elle regarda autour d'elle et s'assurant qu'il n'y avait personne, elle entra dans l'allée des embrumes. On sentais ici l'atmosphère de la magie noire. Le chemin de traverse était ensoleillé, l'allée plongée dans la pénombre, comme si un orage allait éclater. L'allée était ce matin vide ce qui n'était pas courent. Iris en se dépêchant entrât chez Barjow et Beurk. L'un des vendeurs la regardant en souriant, un sourire assez mal placé à vrais dire.

"Mademoiselle cherche quelque chose ?"


Iris le regarda droit dans le yeux avec un air de défis. Sur le chemin de traverse elle était connue comme la gentille petite vendeuse de baguette qui avait oui beaucoup de talent et de finesse, mais hélas très peu de client. Seul quelques rare personne connaissait sa véritable identité et le vendeurs n'avais pas l'air de la connaitre.

"Non mademoiselle ne cherche rien, je viens pour une commande."


Avec le même regard déplacé l'homme s'approcha D'iris et effleura sa jupe au niveau de ses fesses. Il n'eut pas le temps de dire ouf que déjà Iris passa à l'attaque.

"Endoloris."


Et c'est dans un simple murmure de jeune femme que l'homme s’effondra.

"Je viens de la part d'Ivannov pour un paquet vous savez lequel, vous devez me le remettre. Ivannov Shreder, vous savez surement. Et tant que vous y êtes regardait moi bien attentivement."


C'est à ce moment la que le second vendeur entra dans la pièce.

"Mademoiselle Shreder, je vous prie d'excuser ce rustre, il ne sais pas qui vous êtes. Ce qui est fort regrettable pour lui."


Il prononça la dernière phrase avec plus d'intensité et regardant l'homme qui se tordait de douleurs. Iris décida de relâcher le sortilège et rangea sa baguette.

"Suivez moi mademoiselle,"
et tendant le paquet "le voici".

Iris le déballa soigneusement. A l'intérieur se trouvait un collier d'opale ensorcelé. Elle l'admira quelques instant et le rangea.

"Merci."

Et sur ces simple mot elle sortit. Irinushka commença donc à traverser l'allée des embrume quand elle aperçut un homme dont les trait lui rappelais vaguement quelqu'un. Au loin on pouvez toujours entendre la voix de Brajow et Beurk l'un hurlant sur l'autre qu'il était un sombre crétin. Iris n'y prêtât pas attention et se concentrât sur l'homme.

"Hey attendez !" Criat-elle.
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MessageSujet: Re: Quand une complicité née [Izar]   Quand une complicité née [Izar] Icon_minitimeMar 10 Jan - 19:42

Il n’était pas toujours facile de déménager. Surtout quand on partait dans un autre pays, totalement différent de celui de départ. Pour ma part c’était comme si je revenais au pays mais bon, ça m’avait tout de même pas mal touché.
Premièrement, Londres, l’Angleterre, tout ça c’était synonyme d’une vie que j’avais oublié, enterré, rayé de ma mémoire.
Mais bien sûr si j’étais revenu c’était pour une bonne raison, très bonne raison, alors pourquoi s’en plaindre ?
Le seul truc c’est que j’avais passé pas mal de temps à l’étranger et donc ici mon nom n’était pas forcement très connu. On se rappelait bien sûr de Evan Rosier mais qu’en était il de Izar ?
Il fallait donc que je m’occupe de mettre les choses en ordre et les personnes ignorantes à leurs places. Les choses avaient changé après tout. Nous étions à deux doigts de la victoire il fallait donc que mon nom soit bien connu pour que je me fasse une place dans tout ça.

C’est pour cela que je m’étais dirigé vers l’Allée des Embrumes pour ma première sortie officielle depuis mon retour de mission. Enfin j’étais là où tout se passait. Fini la retraite et les petites missions, me voilà dans les petits papiers du Lord. Et il n’y avait rien de mieux que l’Allée des Embrumes pour propager cette nouvelle.
J’avais troqué la cape noire encombrante des Mangemorts pour une tenue plus classe qui en imposait plus. Et puis même si on commençait à gagné du terrain ce n’était pas pour autant que nous n’avions plus d’ennemis. Au contraire, il fallait faire attention aux différents sorciers téméraires qui pensaient avoir une chance de nous contrer.
J’étais donc dans l’Allée des Embrumes, baguette à la ceinture, sur le qui vive, à marcher sans trop savoir où aller et surtout à la recherche de compagnon marqué. Au fond j’aurais voulu tomber sur Yaxley pour lui faire un peu peur et lui montrer ce que j’étais devenu. Mais il ne semblait pas vraiment traîner dans le coin. Il me restait plus qu’à aller au Manoir Malefoy pour secouer un peu les blondinets.

Alors que j’allais transplaner, une blonde arriva devant moi, m’interpelant de vive voix. Vaguement intéressé je stoppai ma manœuvre pour la détailler. Son visage ne me disait rien … Ou peut être légèrement quelque chose mais je ne sais pas vraiment d’où ça pourrait me venir. D’après ce que j’avais pu comprendre elle sortait de chez Barjow et Beurk, conclusion : Elle était surement du bon coté, le notre, le mien. Un léger sourire se dessinai sur mes lèvres, signe que je me détendais suite à cette conclusion. Je n’aime pas vraiment les personnes qui m’accostent de telle manière mais là c’était différent. « Est ce que je peux vous aidez ? ». Mangemort certes mais c’était pas pour autant que j’étais une grosse brute qui ne connais pas la politesse.


Dernière édition par Izar E. Rosier le Mer 11 Jan - 22:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand une complicité née [Izar]   Quand une complicité née [Izar] Icon_minitimeMer 11 Jan - 11:58

Irinushka stoppa sa course et regarda l'homme avec attention. Il venais de se retourner. La jeune femme le regarda fixement. Qu'il était beau avec ses cheveux noir charbon et ses yeux poignant. Elle se surprit même à pousser un tout petit soupir. La jeune femme se repris immédiatement. "Irinushka se fiche de la beauté des autres et ne s’intéresse qu'a elle !" Telle était sa manière de vivre, ne s’intéresser qu'a soit. Elle le regarda encore fixement quelque seconde jusqu’à ce que l'homme prononce une phrase.

« Est ce que je peux vous aidez ? ».

Sa voie suffi à faire sortir la jeune femme de ses songe.

"Oui heu enfin non pas exactement." Quelques seconde de silence. "Votre visage, vous me rapeller quelqu'un. Je ne saurais pas dire qui mais vraiment. Un ami d'enfance peut être. Quoi que non. Je ne saurais pas dire. Vous faites quoi de votre vie, où aller vous régulièrement. A mon avis nous nous sommes déjà croisée. Rapidement certe mais j'en suis sure."

Iris regarda encore l'homme. Elle analysa sa manière de s'habiller. Une tenue très chic, une coiffure bien faite. Le décors de l'allée des embrumes. Cet homme n'était pas la par hasard. Son regard était froid. Lui par contre était très serviable. Il n'était pas non plus n'importe qui. Iris tendis sa main.

"Je me présente Irinushka Shreder."

De toute manière Iris ne craignait rien même en se présentant sous sa véritable identité. De tous les sorciers elle était vus comme la gentille petite sorcière qui ne veut surtout pas se mêler des affaires trop importante. Pour les mangemort elle était la fille Shreder. Une des leurs bientôt. Et son père n'avais jamais offensé le seigneurs des ténèbres ce qui était une bonne chose pour la famille. Elle n'hésitait donc pas à révéler son identité.
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MessageSujet: Re: Quand une complicité née [Izar]   Quand une complicité née [Izar] Icon_minitimeMer 11 Jan - 17:37

Nous nous étions donc déjà rencontré. En tout cas tout laissait croire ça car elle me disait quelque chose et apparemment mon visage lui était familier. Je la trouvais tout de même bien curieuse et ça en était presque agaçant. La curiosité est un vilain défaut quand il est mal utilisé.
Personnellement je suis de nature curieuse mais ce n’est pas pour autant que je bombarde les gens de questions comme si c’était normal. Je pris lentement une position plus offensive afin de montrer que je n’étais pas naïf. Si ça se trouve je l’avais trop rapidement placé dans la case des amis… Et puis elle avait cette façon de me détailler … S’en était gênant, agaçant … Je souriais moins tout à coup, mon visage était plus fermé, plus sombre. « Je me présente Irinushka Shreder.» Je ne pu m’empêcher d’éclater de rire. Voilà, il aurait fallu commencer par ça. Au moins ça m’aurait évité cette torture mentale pour essayer de deviner ses intentions. Il était peut être temps que je me mette à la Légilimencie.

C’était donc une Shreder. Amie donc. Shreder. Oui maintenant je me souvenais. Ils avaient bien une fille qui devait avoir un an de plus que moi. Je ne l’avais jamais vraiment parlé et jamais vraiment vu. A l’époque où Evan était encore en vie il me gardait dans l’ombre pour lui éviter certaine vacherie et une fois mort Yaxley, chargé alors de mon éducation, avait fait de même.
Mon sourire avait repris sa place sur mes lèvres. Passant ma main dans mes cheveux sombre je pris une grande bouffé d’air, soulagé. « Effectivement on se connaît. Enfin je connais tes parents. » Je ne les avait pas revu depuis que l’on m’avait imposé la marque il y a de ça trois ans mais ils m’avaient donné une très bonne impression. Quand au tutoiement, il était arrivé tout seul. C'était normal après tout, elle n'était plus une inconnue étrange mais l'héritière d'une famille assez importante. « Je suis Izar. Izar Rosier. » Pas la peine de précisé que je portais en plus le nom de mon père, je pense qu’en entendant mon nom de famille elle avait comprit.

« Alors. Dis moi ce que tu viens faire ici ? Tes courses chez Cradow et Crabeurk ? » Je ne pouvais m'empêcher de les surnommer ainsi tant ils me répugnaient. Ils ne représentaient rien à mes yeux, c'était juste deux verracrasses qui rampaient aux pieds du Lord pour ne pas se faire tuer. Répugnant.
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